Ce message passera sans doute 10 m�tres par-dessus la t�te
de certains mais si on n'essaye pas, un d�sastre ne sera assur�ment
pas �vit� ... surtout que nous sommes TOUS concern�s.
Suivez ici.....
M SENGUL Savas
Voici le plus vieux r�cit que j'ai
trouv� sur les habitants de Dersim et en plus on y trouve le nom
d'une tribu, celle peut-�tre des Alan. Je reste prudent car rien n
eput nous le confirmer, mais c'est la seule qui avec ce nom sans
rapproche. Cela confirme que des Dersimis y vivaient d�j� � cette
�poque. Ici, il est question de tribu kurde, proche d'eux on nous
reconna�t qu'ainsi. Il n'y a que ceux proche de notre peuple et qui
on acquis des connaissances sur notre peuple, qui peuvent savoir
qu'au Dersim on ne peut �tre kurde.
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CAPTAIN L. MOLYNEUX-SEEL - Librairie Scrupule
L'ORIGINE MIRACULEUSE DE MUNZUR SU
CAPTAIN L. MOLYNEUX-SEEL
LA TRADITION DE L'ORIGINE MIRACULEUSE DE MUNZUR SU
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M Sengul Savas
Plusieurs passages historiques de
Tercan
D�apr�s l��crivain Aristak�s, quand les turcs arriv�rent en Arm�nie,
ils d�truisent � en ruinant de fond en comble 24 districts par le
feu, le fer et mirent la population en esclavage �. Une partie de la
population de Dersim, alla se r�fugier, au sud de Tercan, dans le
Wizan actuel. lire...
Sengul Savas
Tunceli (la main de fer en turc), repr�sente la marque de
l�ethnocide. Changer Dersim en Tunceli et l�accepter, c�est accepter
cette �tat et tous les actes qu�il a commit envers Notre Peuple.
Accepter Tunceli, c�est reni� notre histoire. Tunceli est un nom
barbare, un nom �tranger, impos� par la force. N�acceptons pas cette
force, cette dictature. Dersim est un simple nom diront certains.
Oui, mais c�est Le Notre, celui de notre histoire, de notre pass�e,
c�est celui de notre identit�. Ne l�oublions pas.
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Sinan
Yerlikaya - Librairie Scrupule 2005
La Turquie et les mines
antipersonnelles :
� quand le d�minage des terres d�Anatolie orientale ?
Le d�sir de retour des habitants dans leurs villages du Dersim
continue � �tre emp�ch� par l�Etat autoritaire turc, malgr� les
discours officiels constants � propos des droits de l�homme, du
droit des minorit�s, etc. Si le d�minage n�avance pas, les violences
militaires perdurent (sous n�importe quelles conditions climatiques�)
et demeurent la seule mani�re d�administrer le pays.
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M SENGUL Savas
Voici mes �cris, mes recherches, mes
r�flexions pour pr�parer cette conf�rence sur le Dersim. exp�rons
que cela ne soit pas la derni�re pour le Dersim, il nous agir et aps
rester en t�l�spectateur de ce qui se trame au Dersim.
J'aurai pu l'am�liorer, mais se sont plus des notes personnel afin
de ne pas me perdre et de me guider durant les �changes.
THEME : DERSIM
� Kamk� asle ru nas ne keno, rojta na dinara dur maneno.
Celui qui ne conna�t pas ses origines, est loin de la lumi�re. �
Sey Khekilo Kuresiz
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Sengul Savas
UNE SECTE A NOS FRONTERES
L�Arm�nie eu le droit a sa secte, du VII au XIII s. Elle faisait
r�f�rence � Paul de Samosate, �v�que d�Antioche au III si�cles. Cet
�v�que se prenait pour J�sus de Nazareth : � Moi aussi, si je le
veux, je serai le Christ, disait il, puisque moi et le Christ, nous
sommes d�une seule et m�me nature�.
Le meilleur ouvrage que j�ai pu trouv� sur cette secte est celle de
l�anglais Steve RUNCIMAN, traduit en francais par Simon PETREMENT et
Jacques MARTY � Le manich�isme m�di�val, 1972, au �dition Payot�. Il
est rare de trouv� un ouvrage complait sur cette secte. Cette chance
je la dois au hasard, et il �tait important d�en conna�tre les
d�tails car elle a marqu� l�histoire de Dersim.
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Mr
Sengul Savas ou Torn�-Colax
Qui sommes nous ?
Ne vous demandez pas qui vous �tes, vous le savez. Vous �tes du
Dersim, vous appartenez au peuple Kirmands, votre langue est le
kirmancki et votre religion est celle des adorateurs du soleil.
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Mr
SENGUL Savas ou Torn�-Colax
Sa1-e-Moru
ou Le Roi-des-Serpents
Qui, quand et d�o� vient cette histoire ? Plus Personne au Dersim ne
le sait. Dans le livre de Moise de Khor�ne2, l�auteur nous dit que
Sa-e-Moru �tait un prince dont �t� amoureuse une princesse assyrienne.
Mais, je n�ai pas retrouv� trace dans l�histoire de ce peuple Sa-e-Moru
ou un nom proche de celui-ci. Donc, cela restera un myst�re.
Lire....
SENGUL
Savas
MUNZUR AXA OU ENTRE EMOTION ET MORT AU
DERSIM
M�nz�r CEM auteur Kirmands, dans un de ses livres, (Tay� Kilam�
Dersimi � Quelles que chansons de Dersim �, Stockholm 1993), nous
raconte l�histoire des chansons populaires. Toutes ces chansons
proviennent de fait r�el, datant du d�but du XX si�cles.
Ces 320 pages sont remarquable et tr�s compl�tes, avec les auteurs, les
lieux, les personnages, les dates, leurs histoires ... Les th�mes sont :
les tribus1 ; la r�volte de 37-38 ; l�amour et la religion.
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Sengul Savas
Pour conna�tre au mieux la g�ographie de
Dersim, j�ai repris les
excellents �crits de Raoul BLANCHARD, dans son ouvrage, qui s�intitule :
- Asie Occidentale, Tome VIII, chez Armand Colin.
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Pascal Faure
Massacre ou g�nocide ? (Cf Les g�nocides dans l�histoire, dans Le
Monde diplomatique, Mani�re de voir, Aout-Septembre 2004, 76)
Le terme g�nocide est un terme moderne, faisant r�f�rence � une
extermination moderne. Les g�nocides impliquent, comme le rappelle Enzo
Traverso (Les g�nocides dans l�histoire, 2004, 13), le monopole �tatique
de la violence, monopole qui est interpr�t� habituellement (cf Elias)
comme un vecteur de pacification de la soci�t� et donc du processus de
civilisation. Or c�est ce monopole de la violence qui est � l�origine de
l�Etat moderne et qui est aussi la condition indispensable des g�nocides
et des violences totalitaires du XXe si�cle.
Dans l�exemple des camps de morts nazis, on trouve une rationalit�
administrative (division du travail, hi�rarchie dans le processus
d�cisionnel), la s�paration entre id�ation et ex�cution, la
bureaucratisation des fonctions, la de-responsabilisation �thique des
acteurs sociaux : la cha�ne g�nocidaire suppose ainsi un certain
auto-contr�le des pulsions et des affect (Elias)�
Suivez....
Pascale Faure
Existe-t-il une diaspora de Dersim ?
Qu�est-ce qu�une diaspora ?
(cf Diasporas, Espaces et territoires de diasporas de Michel Bruneau,
GIP Reclus, 1995).
De fa�on large, la notion de diaspora sert � d�signer toutes sortes de
ph�nom�nes r�sultant de migrations de populations dans diff�rents pays �
partir d�un pays �metteur. La d�finition du Petit Robert nous rappelle
que ce terme fait d�abord r�f�rence � la dispersion du peuple juif exil�
de leur pays � travers le monde antique puis par extension, � la
dispersion d�une ethnie ou d�un ensemble des membres d�une ethnie. Le
mot grec dispersion, r�sultat de l�action de semer (speiro), suppose
l�existence premi�re d�un groupe, qui est dispers� ensuite en tout ou en
partie. Il y a aussi l�id�e d�un exil sous la contrainte, d�une
conscience identitaire tr�s forte (notion de peuple �lu en relation avec
un Dieu unique pour les Juifs ), d�une pr�sence minoritaire dans une
situation de domin�s dans un assez grand nombre de territoires ou de
pays autres que celui d�origine. suivez ici...
Jaba Alexandre
Alexandre Jaba, Consul de Russie � Erz�rum, va en 1860 recueillir et
traduire ce texte en fran�ais. Il est maintenant publi� dans un ouvrage
collectif sur le Kurdistan, ouvrage compos� de textes litt�raires ou de
r�cits de voyage choisis et pr�sent�s par Chris Kutschera (journaliste
et �crivain sur la question kurde ) dans l��dition Favre, Lausanne,
1998.
Ce texte l�gendaire situ� an temps du shah Isma�l (XVIe si�cle) retrace
les relations belliqueuses existant entre les Kurdes et les Kizilbaches(nom
donn� � une population locale rebelle � l�islam sunnite) qui seront les
pr�curseurs de l�al�visme, religion ni sunnite, ni chiite. Le pays du
Dersim o� se trouvent les Kizilbaches, est une montagne refuge qui
restera traditionnellement rebelle et continuera � se distinguer du pays
appel� Kurdistan, par son syncr�tisme, sa langue (dialecte iranien
voisin du kurde appel� zaza, kirmandj, so-be ou zone ma) et la
composition de son peuplement. Suivez ici
Faure Pascale
Les Al�vis et les missionnaires
protestants : identit�s, ethnicit�s �
Parler d�identit�, c�est parler de fragilit�
L�identit� fait l�objet de nombreuses d�finitions qui la situent au
carrefour de plusieurs champs disciplinaires, elle fait r�f�rence �
diff�rents registres, th�oriques et pratiques, subjectif et objectif,
individuel et collectif ; elle se fonde dans l�histoire et la structure,
convoque le social, le communautaire, �nonce le collectif et le
transcendantal...
L�identit� est un construit social : les processus de distinction,
d�finir un � nous � et un � eux � sont le fait de tout groupement humain
et permettent de se d�finir et de d�finir l�autre. Elle renvoie � des
normes d�appartenance n�cessairement conscientes car fond�es sur des
oppositions symboliques�
suivez ici...
Sengul
Savas
Varaz, prince de Balabit�ne
Le prince de Balabit�ne, un Palunide, �tait un ami d�vouait � Sembat,
tous les deux menaient une guerre sans merci contre les perses, sans en
perdre aucune. Ces guerres �taient un jeu pour eux.
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Sengul
Savas
Le Christianisme
D�apr�s Adontz, les arm�niens embrass�rent la religion chr�tienne et
la rendirent officielle en l�an 288, et non en 301, comme on la toujours
cru. C��tait le premier pays au monde, � avoir rendu cette religion
officielle, apr�s avoir perdu l�influence des Perses. Ceux sont des
missionnaires d�Edesse (Urfa) et d�Antioche qui ont christianis�s la
r�gion en commencent par le sud du pays.
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Mohammad Mokri- transfert par Pascale
Faure
Ce texte important
de Mohammad Mokri concerne les Ahl-e Haqq (Les Fid�les de la V�rit�), une
communaut� pr�sente dans l’ouest de l’Iran et dans la r�gion de Guran, qui pratique une croyance faite d’un syncr�tisme religieux. Cette croyance
comporte notamment l’incarnation, la r�incarnation et la vision. Les Ahl-e-Haqq et les Persans partagent les m�mes l�gendes au XIe si�cle.
Les visions (par l’interm�diaire des songes, des r�ves) ont une grande
importance dans la vie des Ahl-e-Haqq : s’appuyant sur l’exp�rience
affective de l’extase , elles rejoignent ainsi les pratiques des Derviches
qui puisent dans le zoroastrisme, le mazd�en : corps et �me sont compar�s au
temple du feu et au feu sacr�.
(....)
Liberation
�La politique dans une oeuvre litt�raire,
c'est un coup de pistolet au milieu d'un concert, quelque chose de
grossier et auquel pourtant il n'est pas possible de refuser son
attention. Nous allons parler de fort vilaines choses�, l'avertissement
est de Stendhal et concerne la Chartreuse de Parme, Orhan Pamuk l'a
plac� en exergue de son dernier roman traduit en fran�ais, Neige, un
roman plein de neige et de coups de pistolet, sans la moindre
grossi�ret� mais rempli de ces deux univers peu miscibles : la politique
et la po�sie. La libert� de penser librement la politique est mal port�e
en Turquie, et peut tomber sous le coup de la loi. Dans les livres
d'Orhan Pamuk, la libert� est totale, les censeurs trouveraient de quoi
l'envoyer en prison pour dix mille ans, � condition de savoir lire, mais
les censeurs ne lisent gu�re les livres.
Lire...
Hans-Lukas Kieser
L�al�vit� du Dersim et son r�le dans le premier soul�vement kurde
contre Mustafa Kemal (Ko�kiri 1919-1921)
...
Suivez
Le probl�me turc
Je tenais � �crire quelques mots sur
le sujet, car il y a beaucoup de confusions. On parle � tord et �
travers des kurdes en disant, il y a un probl�me kurde. C'EST FAUX,
TOTALEMENT FAUX. En Turquie et dans les autres pays o� vivent les
Kurdes, il n'y a pas et jamais eu de probl�me kurde. Prenons l'exemple
de la Turquie. Le probl�me c'est eux qui le cr�ent, avec leur lois et
leur r�gime discriminatoire. Qui que se soit et o� que se soit sur
cette terre, qui ne peut s'exprimer, vivre sa culture, sa vie, �couter
sa musique, sa langue, parler, rire, chanter, danser, manger, pleurer,
travailler, courir, marcher, blaguer, r�ver, cauchemarder, lire, �crire
et je vous laisse compl�ter ce qui manque, pour cette personne cela
sera un probl�me. ....
La Turquie coupable du g�nocide perp�tr� �
Dersim en 1938
Dans le cadre de leur projet de construction
d�une nation turque, les nationalistes turcs ont
men� une sanguinaire campagne contre les
�l�ments non-turcs et non-musulmans de l�empire.
La premi�re guerre mondiale a servi de pr�texte
aux Jeunes Turcs, puis au gouvernement turc,
pour �liminer la communaut� arm�nienne. Ce fut
une guerre d�lib�r�e et durable, au cours de
laquelle des centaines de milliers d�Arm�niens,
de Syriens et de Grecs ont �t� brutalement
assassin�s ou forc�s � l�exil. L�effondrement de
l�empire a laiss� un vide politique, rapidement
rempli cependant par une autre section de
nationalistes turcs, surnomm�s k�malistes par la
suite.
En 1937-38, c�est-�-dire � un moment o�
l�attention du monde se portait sur les
�v�nements annon�ant la seconde guerre mondiale,
les nationalistes turcs ont commis un autre
g�nocide. Cette fois-ci, les victimes �taient
les Dersimis, �galement d�sign�s comme Kizilbach
ou Al�vis. Entre 40 000 et 70 000 d�entre eux
ont alors �t� tu�s ou forc�s � l�exil. Le
g�nocide de Dersim de 1937-1938 s�inscrit dans
la continuation de l�extermination des Kizilbach
de l��poque ottomane ; il s�agit �galement de
l�extermination d�un peuple distinct des Turcs
en termes ethniques.
La m�moire de ce qui s�est alors pass� a �t�
transmise aux derni�res g�n�rations par le biais
de parents et grands-parents, t�moins directs
des massacres ; certains d�entre eux sont
aujourd�hui encore vivants. Par ailleurs, les
lieux des diff�rents charniers � travers Dersim
sont bien connus et peuvent facilement �tre
localis�s si n�cessaire. Les ruines de
l�h�ritage culturel de la r�gion, y compris des
Eglises appartenant � la communaut� chr�tienne,
sont encore visibles.
Nous voulons aujourd�hui voir justice rendue.
Cette qu�te de justice a d�ores et d�j�
commenc�. Une action l�gale contre la Turquie
devrait �tre entreprise � terme.
Nous, signataires, demandons justice et soutien
dans les initiatives visant � porter la Turquie
devant les tribunaux.
Dersim et son
histoire
Le Dersim n'est pas
le nom d'une ville, d'un peuple ou d'un village.
Dersim c'est le nom d'une r�gion d'Anatolie. De
notre r�gion. Que signifie t-il? Personne ne c'est
vraiment. Certains pensent qu'il vient du kurde: Der
la porte et sim argent. Cela donnerai porte d'argent.
En turc cela ne signifit rien. En arm�nien non plus.
En persan, j'ai demnad�, rien aussi. Un assyrien m'a
dit un jour que Dersim signifier dans sa langue,
l'�glise de Sim. Der serait l'�glise et Sim, �tait
un sage chr�tien venu s'intall� pr�t de notre r�gion
(d'apr�s le plus vieux historien arm�nien, Mo�se de
Khor�ne, datant du IV
(...Suivez...)
Le Peuple Zaza fait partie de ces peuples.
Lors du massacre g�nocidaire contre le Peuple Arm�nien,
notamment en 1915, le Peuple zaza, ami des Arm�niens, a refus� de prendre
part � ce g�nocide et ont aid� et recueilli les Arm�niens rescap�s dans
leur d�tresse. Dans la foul�e de ce g�nocide, depuis 1919-1925-1938 et
encore aujourd'hui, le Peuple Zaza (ou Dimli) est victime des forces arm�es
turques et a perdu par dizaines et dizaines de milliers, on parle de
centaines de milliers de personnes!
et
articles connexes >>
�crire l'histoire des gens, ce n'est bien s�r pas sauver leur
vie, perdue dans la mitraille de la r�pression. C'est la m�moire des
vivants qu'on essaie de sauver. Vous trouverez ici un t�moignage de
cette �poque.
et
articles connexes >>
Nous sommes un vieux peuple de Communaut�s et nous avons forg�, au long
de notre longue Histoire, notre propre vision du monde, mais aussi notre
propre sentiment d�appartenance, notre propre syst�me de valeur,
notre propre action sur le monde
Nous avons ainsi adopt� un
Mode
de vie ouvert, accueillant, chaleureux, respectueux des traditions humaines
autres, des perceptions du monde autres. Et, jusqu�� cette �re dite � moderne �,
jusqu'il y a peu..., nous nous sommes maintenus dans l�attache originelle
d�o� nous.
LA CULTURE ZAZA MENACEE PAR DES BARRAGES
"Cet article a �t� publi� lundi 19 juillet 2004 dans le
quotidien H�rault du Jour"
(Quentin LE
CLEAC'H H�rault)
Je fais des recherches depuis 10
ans maintenant sur le Dersim
D'un point de vu anthropologique (religion, linguistique, mythe,
g�ographique, ethnologique, historique, politique,
�conomique, sociologique, psychologique,...)
A bientot
peut-�tre. Merci pour ta traduction et surtout de faire
conna�tre notre culture au monde et surtout aux jeunes de
chez nous. (...)
Selman Ye$ilg�z,
Violation de l�article 11
Yeşilg�z c. Turquie (no 45454/99) Violation de l�article 13
Selman Yeşilg�z, un ressortissant turc n� en 1962 et r�sidant �
Istanbul, est le pr�sident de l�Association culturelle et d�entraide
de Tunceli (Tunceli K�lt�r ve Dayanışma Derneği).
Lire....