06.10.07
Exhortation à l'Amérique
Quoi qu'on dise où qu'on fasse, nous sommes les sujets d'un empire
dont le coeur bat à Washington. Hélas, il y a un caillot dans
l'aorte. De toutes les stratégies pour bâtir un monde meilleur,
il n'y en a pas de plus simple ni de plus indispensable que d'agir sur la
politique américaine. Un simple pontage suffit pour que les flux
de la science et de la richesse reprennent leur cours normal, pour que la
fièvre baisse, que le pouls se calme, que la paix revienne et que
notre civilisation survive.
Hosannah, l'Amérique a encore la santé pour que cette
intervention se fasse sans danger. Le 7 novembre 2006, l'opération
sera tentée. Une défaite des Bushistes aux élections
pour le Congrès et le Sénat donnera aux partisans du bon sens
les moyens d'arrêter les métastases de l'obscurantisme, de
la corruption, du fascisme et de la simple bêtise qui s'apprêtent
à faire mourir l'Amérique.
On ne réalise pas à quel point l'Amérique est au
bord d'une guerre civile, à la merci d'un autre New-Orleans ou du
premier accident boursicoto-monétaire. Si l'Amérique meurt
ou paralyse, on la regrettera, car il n'y a pas encore en Occident un pays
ou bloc qui puisse prendre sa relève.
Si vous connaissez un Américain... parlez-lui ! Exhortez-le à
ne pas laisser passer ce rendez-vous avec l'Histoire auquel n'est invité
que le « Civis Americanus » encarté, même si ce
sont nous tous du reste du monde qui ferons aussi les frais de sa décision.
Il y a une multitude de bonne raisons pour arrêter Bush le 7 novembre.
Ce site en a souligné quelques-unes que je rappelle ci-dessous.
Nous comptons sur l'Amérique. Elle a le choix... nous pas.
Pierre JC Allard
PETIT FLORILÈGE DU GRAND'OEUVRE BUSHIEN