En province : Grenoble



« Un peu partout en France, la colère gronde ... »


Informez-nous des actions dont vous avez connaissance

Ile-de-France - Appels parisiens - Lycées professionnels - Refus des TPE
Lire aussi la revue de presse : Refus de la carte scolaire (février 2000)
Ardèche - 15 mars Romans Hte-Savoie - 16 mars
Aubenas - 28 mars Voiron L'isle d'Abeau - 19 mars
Grenoble - 23 mars Montélimar - 23 mars Evian - 3 mai


Evian

Mise à jour du:
Mercredi 3 mai 2000
Lettre ouverte au premier ministre et au ministre de l'Education Nationale : une pétition demandant le retrait des réformes après le départ d'Allègre ainsi qu'un point de vue sur le système éducatif.
L'isle d'Abeau

Mise à jour du:
Dimanche 19 mars 2000
Lycée P. Delorme: grève reconduite du 20 au 25 mars

Pourquoi reconduisons-nous la grève la semaine du 20 au 25 mars 2000 au lycée P. DELORME de l'ISLE d'ABEAU?
Hte-Savoie

Mise à jour du:
Jeudi 16 mars 2000
Comité de grève de la Haute Savoie pour le retrait des réformes Allègre

Réunis le 16 mars à Annecy, les grévistes de différents établissements du département, syndiqués et non syndiqués, décident :
- de se constituer en comité de grève,
- de convoquer des assemblées générales dans tous les établissements,
- de la reconduction de la grève dès lundi,
- de convoquer une assemblée générale départementale de grévistes lundi après midi à 15 heures à la Roche sur Foron,
- de préparer la montée à Paris au ministère de l‚éducation nationale.
Etaient présents : lycée du Mont Blanc de PASSY, lycée Charles Poncet de CLUSES, lycée Gabriel Fauré à ANNECY, LP de Vovray à SEYNOD, lycée Guillaume Fichet de BONNEVILLE, LPl Les Carillons de Cran Gevrier , lycée Berthollet à ANNECY.
Avec la participation des syndicats : FO , SNES , SNETAA.
Montélimar

Mise à jour du:
Jeudi 23 mars 2000
Lycée A. Borne:
Semaine lycée-mort décidée par les élèves du 20 au 24 mars - manifestation le 21 à 10h devant le lycée puis à travers la ville à l'appel de tous les syndicats et parents d'élèves.

Mardi 21 mars 2000
Cité scolaire A.Borne:
aujourd'hui (21 mars) 80% de grévistes; manifestation à 10h ce matin: 1000 participants environ, professeurs, élèves, parents.

(Message reçu lundi 20 mars)
Action concertée pour la journée du 21 mars entre le lycée Alain Borne et le Lycée Technique des Catalins. Une manifestation prof/élèves/parents d'élèves est prévue demain matin à 10 heures dans les rues de la ville. "Lycée Mort" à Alain Borne mercredi !
Lycée professionnel des Catalins : une coordination d'enseignants s'est crée pour organiser la lutte. Ici, le snetaa prend maintenant ouvertement le parti du ministre, brisant la grève de demain et n'appelant à rien pour vendredi. La coordination a décidé d'organiser au mieux l'action pour vendredi mais la situation est difficile. Nous avons besoin de tous les soutiens. Merci à la CGT qui prête son espace d'affichage pour les tracts de notre collectif.

Vendredi 17 mars 2000
LP Les Catalins: les professeurs du Lycée technique réunis en assemblée générale, ce 17 mars 2000, à 10 heures ont voté
la poursuite du mouvement de grève jusqu'à la journée d'action du mardi 21.
Certains professeurs du lycée professionnel se sont associés au mouvement. Il faut savoir et faire savoir que l'action du lycée professionnel est ralentie du fait de la position ambigüe du Snetaa. La grève reconductible devrait être votée au lycée professionnel le 21.
Cette matinée a été aussi marquée par une importante manifestation des élèves du lycée Alain Borne qui ont entraînés une partie de leurs camarades des Catalins.
Plus que jamais, la lutte continue à Montélimar.

Jeudi 16 mars 2000
LP Les Catalins (chiffres arrondis)
- 85 % de grévistes au lycée professionnel.
- 75 % de grévistes au lycée technique
- 82 % des agents
Les deux chefs des travaux et l'intendant se joignent au mouvement
Collége et Lycée Alain Borne: 96,1 % toutes catégories confondues. (dont le proviseur)

Mercredi 15 mars 2000
LP Les Catalins: Le mardi 14 mars 2000, les élèves ont voté la grève. Deux journées "Lycée mort" mardi et mercredi.Le mouvement a été largement suivi malgré une intervention efficace de l'Administration accusant les professeurs de "monter la tête" aux élèves.
Ardèche

Mise à jour du:
Jeudi 16 mars 2000
Le matin : Une centaine d'enseignants (primaire, collèges, lycées) devant la permanence du député Alaize (PS). Une délégation spontanément constituée a été reçue par le député-maire comprenant les représentants syndicaux des enseignants, de la FCPE et aussi des représentants (dont moi-même) des enseignants qui ont initié le mouvement, de leur propre chef. Les délégués syndicaux ont insisté sur leur mot d'ordre : plus de moyens, mais j'ai pu expliquer que notre mécontentement allait plus loin, et en quoi il allait plus loin. Plusieurs délégués/représentants ont mis l'accent sur le fait que ce n'est pas l'homme Allègre qui est visé, mais sa politique, et que celle-ci, initiée par Jospin, est celle du gouvernement. Le député maire a pris force notes, et a déclaré qu'il ferait remonter nos propos et motifs de mécontentement. Il n'a évidemment pas pu répondre sur le fond, paraissant très gêné lui-même par à la fois la politique et le personnage du ministre de l'éducation nationale. Il nous a d'ailleurs confié que cela ne se passait pas très bien avec Allègre, même entre ministres.

L'après-midi : manifestation et réception de délégation (représentants syndicaux seulement) à l'Inspection d'Académie de Privas, préfecture, puis défilé jusqu'au conseil général et devant la préfecture, puis station devant le domicile ou la permanence (je n'ai pas bien compris) du député du lieu, puis dissolution. En tout environ 800 personnes, ce qui est beaucoup pour l'Ardèche.

Mouvement plutôt bien perçu par la population locale, d'après les bribes de conversation que j'ai saisies en laissant traîner mes oreilles dans le bistrot où nous avons pris un pot bien mérité après cette journée très ventée et bien remplie
AG (heure syndicale) demain matin de 8h à 9h
(M. Bernex)

Samedi 11 mars 2000

Le 9 mars : LP d'Aubenas, Le Teil, Privas en grève depuis 6 mars
Romans
Mise à jour du :
Mercredi 7 mars 2000

70% des LP en grève
Aubenas
Mise à jour du:
Mardi 28 mars 2000
Communiqué à la presse :
Les enseignants du lycée Marcel Gimond se sont réunis en Assemblée générale ce mardi 23 mars 2000 pour décider de la poursuite de l'action à mener. Ils ont décidé
  • de faire grève ce jour pour exiger :
    - Le retrait des réformes " Allègre "
    - L'arrêt des recrutements précaires et l'ouverture des postes de titulaires nécessaires
    - l'ouverture d'une consultation nationale sur le service public de l'Education, suivie de réélles négociations pour adopter des réformes efficaces.
    - L'attribution des moyens nécessaires à ces réformes et, d'ici là, le rétablissement des moyens supprimés par les débuts d'application des réformes " Allègre "
  • d'organiser dès la semaine prochaine, au plan local, une réunion associant parents, élèves, enseignants, et personnels ATOSS (Administratifs, Techniciens et Ouvriers de Service et de Santé) sur le thème " Mieux travailler à Gimond… et dans l'Education Nationale ".

    Pour le lieu et l'heure de cette réunion, une information sera diffusée en temps utile à la sortie du lycée.

Février 2000 (des "gens qui travaillent 18 heures ..." : des collègues réagissent)
Lettre ouverte des professeurs du lycée Marcel Gimond envoyée à C. ALlègre (02/00)
Lettre de Michel George (Professeur de Mathématiques) au proviseur du lycée Marcel Gimond (05/02/00)



8 février 2000
Appel pour une école publique réellement démocratique contre l'école à deux vitesses

Le ministre de l'Education Nationale, Monsieur Claude ALLEGRE, met actuellement en place une politique de démantèlement systématisé de l'Ecole Publique, démocratique et républicaine. Il met en œuvre son alignement sur les impératifs d'une « société de plus en plus marchande » (sic).

Il a, dans cette action, le soutien actif du 1er ministre, Monsieur Lionel JOSPIN et d'un certain nombre de ses collègues ministres et députés de la majorité « plurielle », ainsi que l'accord tacite des autres.

Nous sommes résolument opposés à cette politique nuisible, même si le ministre et le gouvernement refusent de nous entendre et même si, contrairement à eux, nous n'avons aucun droit à l'expression publique médiatique.

Nous rappelons que nous saurons agir de façon cohérente lorsqu'il s'agira pour nous de faire valoir le seul droit qui nous reste, celui de vote :

Les soussignés déclarent que, dans l'avenir et tant qu'une telle politique de l'éducation restera mise en œuvre, ils ne voteront plus pour aucun des représentants des partis qui en sont à l'initiative ou qui la cautionnent.

Fait à Aubenas le 8 février 2000.

Nom

Fonction

Signature

.    



Grenoble
Mise à jour du:
Jeudi 23 mars 2000
Communiqué de presse de la Coordination Lycéenne de Grenoble
Message de soutien au mouvement des Professeurs
Le mouvement de grève des Enseignants, qui a débuté dans certaines régions voilà presque un mois, a désormais gagné en force et sest étendu à la France entière. Devant lampleur de ce mouvement, la Coordination a étudié les revendications des professeurs. Il apparaît nettement que
les doléances des Professeurs correspondent pour la plupart aux doléances des Lycéens.

En effet, des réformes inacceptables aux classes surchargées, en passant par la demande de la démission de C. Allègre, quasiment toutes nos exigences sont communes. En conséquence, les Lycéens de la région grenobloise décident de soutenir leurs Professeurs, dans leurs revendications et dans leurs actions, et sassocient à leur mouvement.
La première action commune aura lieu vendredi 24 mars, où les lycéens seront invités à participer à la journée de protestation.
Le 22 mars 2000
La Coordination
N.B. : La Coordination Lycéenne de Grenoble est une représentante apolitique et indépendante des Lycéens de Grenoble pour défendre leurs droits ainsi que faire connaître et accepter leurs revendications.


Février 2000 (des "gens qui travaillent 18 heures ..." : des collègues réagissent)
Des collègues portent plainte
pour diffamation (02/00)
Voiron
Février 2000 (des "gens qui travaillent 18 heures ..." : des collègues réagissent)
Pétition
, signée par 52 profs du Lycée Ferdinand Buisson de Voiron (Isère), envoyée à C.Allègre (02/00)
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