Le XVIIIè Siècle et la Révolution
 

El Siglo XVIII y la Revolución
 

Au 18è siècle, Paris devient le foyer des idées philosophiques des "lumières".

Dans les salons, dans les premiers cafés (dont le Procope), on discute avec passion d'égalité, de libertés et de souveraineté nationale.

En el XVIII, París se convierte en la cuna de las ideas filosóficas de "las Luces".

 

En los salones de Damas elegantes, en los primeros cafés (como el "Procope"), se discute con pasión de igualdad, de libertades y de soberanía nacional.

 De nouveaux édifices sont construits : l'Ecole militaire, l'Odéon, le futur Panthéon et Saint-Sulpice.

Le pont Louis XVI (de la Concorde) conduit désormais à la place Louis XV, la première place royale ouverte (place de la Concorde)…

Se hacen nuevas edificaciones: l'École militaire, el Odeón, el futuro Panteón y Saint-Suplice.

 

 

El puente de Luís XVI (de la Concorde) conectará a partir de ahora con la Place Louis XV, primera plaza real abierta (Place de la Concorde).

En 1785, les fermiers généraux chargés de percevoir l'octroi, péage payé par les marchandises entrant dans Paris, font édifier par Ledoux les rotondes de la nouvelle enceinte (place Stalingrad, de la Nation).

Dépourvu de fonction défensive, ce "mur qui rend Paris murmurant" devait délimiter Paris jusqu'à 1860.

Les jardins du Palais-Royal, réaménagés et ouverts au public, deviennent un lieu de discussion et d'effervescence, notamment le 12 juillet 1789.

En 1785, los encargados de recaudar el octroi, peaje pagado por las mercancías que entraban en París, hacen construir por Ledoux las rotondas de la nueva muralla (place Stalingrad y place de la Nation).

 

Desprovisto de función defensiva, este "muro donde murmura París" seguirá delimitando la ciudad hasta 1860.

 

Los jardines del Palais-Royal, reacondicionados y abiertos al público se convierten en lugar de discusión y de efervescencia, en ejemplo: el 12 de julio de 1789.


La toma de la Bastilla el 14 de julio de 1789

La Révolution française replace d'un coup Paris à la tête de la France.

La capitale est le théâtre de la plupart des événements révolutionnaires.

La victoire des Jacobins sur les Girondins accentue le mouvement de centralisation.

La Revolución francesa vuelve a situar, súbitamente París a la cabeza de Francia.

 

La capital es el teatro de la mayoría de los acontecimientos revolucionarios.

 

La victoria de los Jacobinos sobre los Girondinos no hace más que acentuar el movimiento de centralización.

Anecdotique mais révélatrice, la cocarde tricolore est  constituée des couleurs de la Ville de Paris, le bleu et le rouge, entrelacées du blanc monarchique.

"Puisque Paris prétend se substituer au reste du pays, et représenter seule la nation tout entière, les Parisiens ne peuvent pas prétendre jouir de la même autonomie que les habitants des autres villes.
Ils sont  liés au pouvoir central, pour le meilleur et pour le pire".

Anecdótico pero revelador, la "cocarde tricolore" está constituida por los colores de la ciudad de París,  el azul y el rojo entrelazados del blanco monárquico.

 

" Puesto que París pretende substituirse al resto del país y ser representante único de la nación, los parisinos no pueden pretender gozar de la misma autonomía que los habitantes de las demás ciudades. Están  unidos al poder central para lo bueno y para lo malo".

 

Napoléon en tira les conséquences en soumettant Paris à un statut spécial, sans maire ni conseil municipal, "sous la tutelle d'un préfet de la Seine et d'un préfet de police directement aux ordres du gouvernement" (Michel Mourre).

Napoleón Bonaparte toma medidas sometiendo París a un estatus diferente: no habrá ni alcalde ni consejo municipal, la ciudad estará bajo la tutela de un "préfet" del Sena y de un "préfet" de policía directamente a las órdenes del gobierno.

Jacques-Louis DAVID: "Sacre de Napoléon Ier" - Musée du Louvre


La centralisation va se poursuivre au 19è siècle et s'accentuer avec les révolutions industrielles, l'exode rural et la création des réseaux de communication (ferroviaires et puis routiers.


La centralización continúa en el siglo XIX  y se acentúa con las revoluciones industriales, el éxodo rural y la creación de redes de comunicación (primero ferroviarias y luego de carreteras).

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