Jean Nichol

Regarde sous ton balcon (Vidéo)

Chaque soir, plein d'espoir, il venait sous son* balcon,
déclamer et chanter la plus brûlante passion
Mais jamais ell' n'ouvrait ses rideaux bien tirés
Et sans trêve, comm' en rêve, il lui répétait :

(Refrain :)
Tu es plus bell' et plus fraîche qu'un rayon de lune,
plus sucrée, plus dorée que le matin qui revient
Montre-toi just' un instant, n'écoute pas tes parents
Regarde sous ton balcon, c'est l'amour qui t'attend.

Les années ont passé sur cet amour insensé
Et un soir, on put voir la fenêtre qui s'ouvrait
Mais la bell' trop cruell' n'entendit qu'un refrain,
comm' un rêve qui s'achève et qui vient de loin :

Refrain (bis)
|: Regarde sous ton balcon, c'est l'amour qui t'attend :|


*Damit ist natürlich nicht sein eigener Balkon gemeint, sondern der seiner Angebeteten - im Französischen richtet sich das Geschlecht des Possessivpronomens idiotischerweise nicht nach dem besitzenden Subjekt, sondern nach dem besessenen Objekt. Das ist übrigens die einzige mir bekannte Sprache, in der das so ist, und niemand kann so richtig erklären, warum - im Lateinischen ist es jedenfalls nicht so, ebensowenig in seinen anderen romanischen Tochtersprachen. Es stimmt auch nicht, daß dadurch keine Mißverständnisse aufkommen können - hier z.B. liegt ein solcher zweideutiger Fall vor.

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