Océanie

 

Il n’y a pas de communauté occitane organisée. Les gens sont éparpillés comme Henri Jeanjean, parti en 70 pour l’Australie et devenu universitaire.

 

 (version fr)

 

Amérique du Nord

 

- Canada : Il existe “ l’Associacion Occitana del Quebec ” avec son bulletin Oc sulpic, groupe d’Occitans et d’amis de l’Occitanie qui font la promotion de la culture occitane avec des activités depuis 1976.

 

Réf. : site Internet des Occitans d’Amérique <http://pages.globetrotter.net/occitan/>

 

- États Unis d’Amérique:

 

- Californie

Dans  cet Etat il n’y a pas de communauté organisée. Il y a une ville qui s’appelle Nice (ce n’est pas un jeu de mots anglais) en référence à la ville de Nice. Mais, il existe une association qui s’appelle"Lus niçards dau cap dau mond" qui a de nombreux membres en Californie.

 

Réf. : site Internet <http://www.nice-coteazur.org/francais/tourisme/bout_monde/>, des exilés écrivent régulièrement pour témoigner.

 

- New York

L’émigration des ariégeois montreurs d’ours a continué dans cet Etat (voir supra). La seconde phase s’est déroulée pendant et après la première guerre mondiale. La première phase n’avait concerné qu’une grande majorité d’hommes, mais à partir de la deuxième phase, un grand nombre de femmes ont participé à ce mouvement d’émigration qui, plus qu’avant, s’est concentré sur New York et sur l’exercice des métiers de l’hôtellerie et de la restauration.

Une troisième phase s’est produite après la Seconde Guerre Mondiale. Une nouvelle vague d’habitants de la vallée du Garbet a émigré alors vers les États Unis d’Amérique, accueillie par des parents ou amis arrivés quelque temps avant et se trouvant majoritairement à New York spécialisés dans la restauration. C’est ainsi qu’aujourd’hui 5 restaurants de New York sont tenus par des habitants d’Ercé. Les émigrants désiraient se rencontrer entre personnes de la même vallée. Alors –peut-être dés la période des montreurs d’ours- il s’est créé un point de rencontre à New York dans Central Park, où existaient quelques rochers, point de rencontre qui fut baptisé Le Rocher d’Ercé.

Au début il s’agissait d’une émigration temporaire et fortune faite chacun sans exception revenait au pays. Actuellement ce n’est plus pareil et beaucoup de personnes passent des vacances dans les vallées.

Cette émigration a marqué la vallée du Garbet. Encore maintenant, rares sont les maisons de la vallée où les habitants n’ont pas séjourné en Amérique ou au moins n’y ont pas de la famille.

La majeure partie aujourd’hui s’est fondue dans la population anglo-saxonne.

Il existe une "Association des Amis d'Aulus et de la Vallée du Garbet", coordonnées de son responsable Jean Louis Deschamps 09 140 Aulus.

 

Quelques occitans de la diaspora se sont reconvertis dans la restauration, restaurants tenus par des habitants d’Ercé :

- "La Pergola des Artistes", 252 W. 46th St. Jacques et Marie-Rose PONSOLLE (212) 302-7500

- "René Pujol", 321 W. 51st St. Hélène et René PUJOL (212) 246-3023

- "Les Pyrénées" 251 W. 51st St. (212) 246-0044

 

Bibliographie :

 

REAMAN G. Elmore, 1986. The Trail of the Huguenots in Europe, the United States, South Africa, West Indies, and Canada, Baltimore Genealogical Publishing Co. Inc.

REVELLI Notto, 1970. Il mondo dei vinti (“ Le monde des vaincus ”), explique comment les personnes des vallées sont parties pour les Amériques de New York jusqu’en Oklahoma (États Unis d'Amérique) et le Mexique pour ceux du Nord.

VANGELISTA C., 1997. Dal vecchio al nuovo continente. L'immigrazione in America Latina, Torino, Paravia.

VECOLI Rudolph, 1987. Italian Immigrants in Rural and Small Town America, New York, American Italian Historical Association.

VECOLI Rudolph, The Italian immigrant and the church: whose problem?, Champaign, IL, University of Illinois.

 

Réf. : sites Internet

<http://www.ariege.com/francais/que_faire/ours.html>,

<http://www.aulus-les-bains.com/faune/montreur.htm>

<http://www.ac-toulouse.fr/culture/cinema/ours.htm>

<http://membres.lycos.fr/simorre/linha/erce.htm>

 

DEBUT

 

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