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1693 |
aujourd'hui |
La vie active de cette famille se passe principalement à Boulogne-sur-mer en Picardie. 1 Cette ville gauloise 2 reçu entre 550 et 650 un apport germanique, surtout saxon, très important. Puis de 800 à 900, Boulogne résiste à l'invasion des Vikings (les Norses prirent le port mais pas la ville) épargnant, jusqu'à la Révolution, un riche patrimoine de leur pillage. Prise beaucoup plus tard par d'autres «germains», les Allemands, Boulogne sera libérée en1945 par des Québécois du Régiment de la Chaudière.
Au début du X e siècle, Boulogne, déjà très ancienne (appelée Gesoriacum par César )3 atteste le travail de la pierre par ses habitants. Quand Noël BREM (fils de Jehan de Bremme) se fera carrier, c'est-à-dire travailleur de la pierre, il héritera d'une tradition bien établie. À cette époque éloignée, les gens de cette région parlaient le Picard. 4
Selon mes recherches, Jehan de Bremme (Bresme) serait né le 1er février 1629 à Havernas (ou Amiens) dans la Somme. Il avait été baptisé sous «Le brant» par le ministre de l'église réformée Delacloche. D'après l'âge qu'on lui donne à son décès, il serait né un peu avant mais j'ai remarqué que l'on tend souvent à vieillir de quelques années les personnes qui décèdent à un âge avancé. Ainsi, son fils Noël, le sujet de la génération suivante, est dit âgé de 112 ans à son décès alors qu'il n'en avait «que» 91.(Ref. Tanguay, vol. 5, page 232) La présence d'une soeur Jeanne (comme à son mariage) montre qu'il s'agirait bien de «notre» Jehan. Sa fille Marie Jacqueline épousera Jehan Leseure membre d'une famille de Boulogne reconnue pour son zèle réformiste. L'histoire régionale de cette partie de la France nous apprend d'ailleurs que la population de Boulogne avait fuit vers le sud pendant l'occuption anglaise. Sa soeur Jeanne serait née un an et trois mois avant lui, soit le 20 octobre 1627. Elle avait été baptisée sous «Le bram» 4a Si cette piste est exacte, le père de Jehan de Bremme (Bresme) serait François Lebrant (Lebram) et sa mère Madeleine Dubois-Leroy mariés le 15 juin 1625 à Amiens et son grand-père Henri Lebrant (Lebram). François Lebrant (Lebram) est décédé le 22 mars 1654 à Wargnier près d'Amiens à l'âge de 50-52 ans.
«Le 22e mars[1654]est decedé francois le bran aage de 50 a 52 ans [à Wargnier près d'Amiens] » 4b
Sa mère, Madeleine Dubois-Leroy était enceinte au décès de son mari et donna naissance à un enfant décédé le 23 juillet 1654 et inhumé à Wargnier. Elle-même décéda le 16 janvier 1661 également à Wargnier.
«Le 16e janvier[1661]est decedée la vefve lebran [à Wargnier]» 4b
Jehan de Bremme (Bresme) aurait aussi eut, en plus de Jeanne, une autre soeur Maryse Lebram née le 7 juin 1632. (Ref. Microfilm des Mormons 1958706 Registres de l'église Réformée conservés à Amiens).
«Le premier febvrier [1629] fut né Jehan le brant fils de françois le brant et madeleine du bois et fut baptizé le 3 en suivant et présenté par Jacques du bois» 4d
Catherine Caffier pour sa part était née le 22 mars 1632 et avait été baptisée en la paroisse Saint-Joseph de Boulogne.
"Le vingt deuxième jour de mars 1632 a esté baptisé Catherine Caffier fille d'Anthoine Caffier et de Marie Caron et a eu pour parin Louis Ricouart assisté de Leclercq. La marine Damlle Catherine Preudhomme assit Damlle Nicolle Heuze" 4e
Elle était la fille d' Anthoine Caffier, 4f maitre tailleur d'habits, décédé le 1 novembre 1669 à St-Joseph de Boulogne et de Marie Caron. Son parrain avait été Louis Ricouart et sa marraine Catherine Preudhomme. Catherine Caffier avait une soeur Judicque (Judith) née le 3 février 1631 dont le parrain avait été Florent Caffier et la marraine Judicque Caron. 5 A noter qu'il y a à la même époque deux autres Catherine Caffier, l'une mariée avant 1627 à Bastien de Rui (ils font entre autre baptiser une fille, Marie, le 28 juillet 1630 à Saint-Joseph de Boulogne; parrain: Anthoine Caffier, marraine: Marie Caron père et mère de «notre» Catherine Caffier) et l'autre mariée à Jacques Cuinot le 16 juin 1636 également à Saint-Joseph de Boulogne. Si quelqu'un a plus de précisions sur la distinction entre ces Catherine Caffier je ferai les corrections si nécessaires.
C'est dans le faubourg Saint-Nicolas de Boulogne que nous pouvons retracer le mariage de Jehan de Bremme et Catherine Caffier. Le 31 janvier 1661, nos ancêtres unissent leur destinée devant Dieu et les hommes. Jehan est accompagné de sa soeur Jehanne et son mari Jacques Riquier alors que Catherine l'est de son père Anthoine et de sa belle-mère Françoise Pruvost. Les père et mère de Jehan ne sont pas présents ni mentionnés. Son père (François) était décédé en 1654 et sa mère (Madeleine Dubois-Leroy) 15 jours seulement avant le mariage.
"Le 31 janvier 1661 après les fiancailles et publications des bans ausquelles nul ne se seroit oppose entre Jehan Bresme et Catherine Caffier je ptre vicaire en cet eglise certifie les avoir conjoints en mariage solennelement en présence de Jacques Riquier beau frère dudit Bresme et de Janne Bresme sa soeur et de Antoine Cafier père de laditte Anthoinette (sic) et Francoise Pruvost sa belle mere et aultre soussignez" 5a
Le premier enfant de Jehan et Catherine, Gille nait et est baptisé le 10 novembre 1661 en la paroisse Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer.5b En 1664, ils ont un deuxième garçon Anthoine qui meurt en bas âge. Anthoine est inhumé le 19 novembre à Saint-Nicolas. Détail intéressant, lors de cette sépulture, il est écrit: «Estant de Calais ...» J'ai consulté les régistres de Calais mais je n'y ai rien trouvé de révélateur. 5c Nait ensuite Noël, celui qui émigrera au Québec et qui est le sujet de la prochaine génération de cette monographie. Il est baptisé le 22 novembre 1665 également à Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer. 5d
A partir de l'âge de 41 ans, Jean de Bremme (Bresme) exerce le métier de guetteur au beffroi de Boulogne-sur-mer. Jean de Bremme (Bresme) et Catherine Caffier ont eu au moins deux autres enfants.
D'abord une fille née le 1ier mai 1670 et inhumée le même jour en la
paroisse St-Joseph. 13
Puis une autre fille qu'ils font baptiser sous le prénom de Marie Jacqueline le 23 septembre
1671 également en la paroisse Saint-Joseph de Boulogne. Le parrain avait été
Renault Naier (Nayet) négociant, et la
marraine Jacqueline Vaillant. 14
Jacqueline épousera en la paroisse Saint-Joseph de Boulogne, le 21 janvier 1700,
Jehan Le Seure de St-Germain-en-Laye de Paris.
15
Jean de Bremme (Bresme) meurt le 9 février 1700 (sous le nom de Le Bresme) en
la paroisse Saint-Joseph de Boulogne quelques jours après avoir assisté au
mariage de sa fille. Il est dit âgé de 75 ans. Catherine Caffier pour sa part,
décède le 2 septembre 1712 en la même paroisse. Elle est dite âgée de 90 ans
mais n'en a que 80 puisque née en 1632. 16
A noter qu'une des deux autres Catherine Caffier vivant à Boulogne était décédée le 22 avril 1676.
Tour
d'Ordre
An
0La tradition de guetteur est très ancienne à Boulogne. Elle remonte à
l'époque romaine alors que César y fit ériger la Tour d'Ordre pour servir
de point de départ pour la conquête de la Grande-Bretagne. Cette tour fut
restaurée sous Caligula ce qui lui valu aussi le nom de Tour de Caligula.
De ses douze étages, on pouvait surveiller la côte anglaise et surtout
les mouvements de navires. Elle s'écroulla en 1644, après seize siècles de
bons services dont celui d'un guet synchronisé avec le beffroi durant la
période où les deux coexistaient. Selon Grolier, le guetteur était celui
qui jadis se tenait dans le beffroi pour sonner l'alarme en cas
d'incendie, d'attaque ou autres situations d'urgence. Le verbe guetter
viens de l'ancien haut allemand wahtan et qui signifie veiller.On
appellait d'ailleurs parfois le guetteur le «Waite» 5e
Le registre comptable pour l'exercice 1415-1516 dressé par Jehan Haigneré,
clerc de l'argentier de "Boullogne-sur-la-Mer" nous rappelle que le
guetteur de la Tour d'Ordre recevait 8 livres par an pour son travail. À
titre de comparaison, un homme d'entretient recevait une livre pour la
même durée. 6
Au cours de l'histoire, le service du guet à Boulogne avait
toujours eu beaucoup d'importance. Au XVIième siècle, il avait
été placé sous la direction de sept notables. Le guetteur du beffroi ainsi
que son collègue de la Tour d'Ordre signalaient l'arrivée de gens à
cheval, le passage des navires au large et pendant les moments troubles
les «maraudeurs anglais». Il annonçait aussi le couvre-feu, l'heure du
marché, celle des assemblées communales, celle du balayage des trottoirs
et l'arrosage de la chaussée par devant les maisons.
Il arpentait la ville entière lorsqu'il apercevait le
plus petit nuage de fumée ou le moindre danger, en faisant résonner le
«gros bourdons». Lors des grands événements ou des grandes fêtes, les
guetteurs dirigeaient l'équipe des compagnons brefmans afin de
mettre en branle les cloches «bankloque» et «l'estourmie». Une
équipe d'une vingtaine d'hommes était alors nécessaire et l'on s'adressait le plus souvent à des compagnons-tonneliers qui «roulaient les
barriques et les tonneaux pour les descendre dans les caves». À partir de
1685, le budget municipal précise que les deux guetteurs toucheront, en
plus de leurs gages, six razières de charbon.7
Notre ancêtre faisait alors partie de ceux-ci.
Cloche
du
beffroi Jean de Bresme a exercé ce métier pendant au moins 29 ans soit de 1670
à 1699. Le 1ier mai 1670, à l'acte de décès et sépulture de sa
fille d'un jour, son occupation de guetteur est spécifiée. Puis on
retrouve Jean de Bresme sur la liste des gages payés aux guetteurs du
beffroi de Boulogne pour la période allant de 1686 à 1699. On constate que
ses deux compagnons de travail ont été Hiérosme de Saint-Georges (de 1687
à 1692) et Robert du Vallon (de 1692 à 1699). 8
Au niveau de la municipalité, l'année commençait le Jour de la
Mairie. Il y avait donc trois calendrier: le municipal qui débutait
avec la Jour de la Mairie, entre le 14 et 21 septembre, le calendrier
religieux qui débutait avec l'Avant (quatre dimanches avant Noël) et le civil qui
débutait avec le Jour de l'An, le 1ier janvier.
Trompe
du
guetteur
Toutes ces occasions étaient sujettes à réjouissances. Ainsi, le Jour
de la Mairie, le guetteur était honoré du vin aux guetteurs
lors du cérémonial du renouvellement de la Loi. Il en allait de même la
veille de la Toussaint (1ier novembre) et à la Franche Fête
(11,12 et 13 novembre). Noël, le 25 décembre, était aussi l'occasion
du vin aux guetteurs ainsi que le Jour des Rois (6 janvier), au
behourdi 9
(1ier dimanche du carême) et aux quarimiaux à la
mi-carême.
Jean de Bresme signait avec la particule "de" ce qui
pourrait indiquer une origine noble. La fonction de guetteur était un
poste de confiance qui ne devait pas être donné à n'importe
qui.
Escalier
du
beffroiLe beffroi où notre ancêtre à été guetteur avait été construit par
Renaud de Dammartin entre entre 1203 (octroi par celui-ci d'une charte
pour Boulogne) et 1227 (son décès). Renaud de Dammartin était le fils de
Alberic II comte de Dammartin (né en 1135 à Dammartin, Seine et Marne, et
décédé le 19 septembre 1200 à Londres, Angleterre, époux de Maude de
Ponthieu et de Clermont). Renaud avait épousé Ide de Flandre, comtesse de
Boulogne fille aînée de Mathieu d'Alsace et de Mahaut de Boulogne. 10
Huis
du
beffroi En 1263, le roi de France saint Louis en punition du meurtre de deux
de ses officiers avait ordonné la destruction du beffroi de Boulogne.
Selon Camille Enlart, 11
le beffroi n'aurait pas été détruit entièrement. On se bornait parfois à
ne faire qu'enlever les cloches. Le beffroi de la ville de
Boulogne-sur-mer existe toujours (en l'an 2000) et a été englobé dans
l'Hôtel de Ville. Il porte le no. 4 sur le plan de la Haute-Ville de
Héliot. Lorsque Jehan de Bresme était guetteur au beffroi, celui-ci avait
sa partie supérieure ou flèche en forme de cône comme on peut le voir sur
l'illustration "Beffroi 1690" ci-haut. Elle lui servait de loge. Il
accédait à son poste de guet par l'escalier de pierre logé dans
l'épaisseur du mur.
Pour signaler le danger et peut-être les heures, il disposait d'une
énorme cloche nommée l'Estourmie (l'Éveil) dont celle d'aujourd'hui a été
fondue à l'identique de celle qui avait servi à partir de 1415. Le
guetteur disposait aussi d'une trompe. Même après l'arrivée des horloges,
les guetteurs continuèrent à «crier l'heure» la nuit dans ces
porte-voix. Cela permettait de s'assurer de leur vigilance
nocturne. Notre ancêtre devait donc en plus d'avoir une bonne vue,
disposer d'une forte voix. L'huis (porte) de sortie à l'extérieur que nous
retrouvons encore en usage aujourd'hui est probablement contemporaine de
notre ancêtre car elle date au moins de cette époque. Elle rappelle celle
qui fut réparée au XVe siècle: même ferrures, clous aigus, verrou et
"wicquet" (guichet). Les «WC» (toilettes) d'époque sont toujours là,
comme objet de musée évidemment. À noter que l'ensemble de la Haute-Ville
n'a pratiquement pas changée ces derniers 600 ans.
Beffroi
1922 Je n'ai rien trouvé sur sa résidence. Il serait surement utile de
consulter les archives ecclésiastiques car à cette époque d'avant la
Révolution, Notre-Dame, église et abbaye était très riche. Elle possédait
bon nombre de maisons de la vieille ville.
Théodore Tourniquet a
été le dernier guetteur au sommet du beffroi de la ville de Boulogne. Le
31 mai 1922, au soir, il avait fait sa dernière ronde sur la
plate-forme. La décision par la municipalité
de supprimer le service du guet d'incendie avait été définitive.
À la suite d'un incendie en 1712, le haut du beffroi a perdu sa flèche
en charpente recouverte d'ardoise qui prenait naissance à la hauteur des
échaugrettes et où se trouvait la loge du guetteur. Elle fut restaurée
entre 1720 et 1728 en la remplaçant par un étage octogonal que
Camille Enlart qualifiait de hideuse. 12
Il suffit de faire la comparaison avec son apparence en 1690 pour être
convaincu qu'il avait raison. La partie octogonale semble avoir été
inspirée de la Tour d'Ordre érigée par les Romains au premier siècle de
notre ère.
(Cliquez sur l'une des images pour obtenir son
agrandissement)
1
Aujourd'hui dans le Pas-de-Calais.
2
Nawbelearts, page 117.
3
Idem, page 121.
4
Dr. Jean-Pierre Dickès, De Québec à Boulogne, dans CURIOSITÉS EN
BOULONNAIS, Société Académique du Boulonnais, no. 27, 2000, page
53.
4a
Le 20ieme octobre [1627] a esté baptisé Jehanne le bram fille de François le bram et de Magdeleine du bois leroy. Baptême no. 629, microfilm des Mormons no. 1958706.
4b
microfilm des Mormons no. 1958706 actes sous l'édit de Nantes conservés à Amiens. Église Réformée incluant Wargnier.
4c
Baptème no. 785, microfilm des Mormons no. 1958706 actes sous l'Édit de Nantes conservés à Amiens. Église Réformée, incluant Havernas. Actes rédigés par Delacloche..
4d
Source: microfilm no. 1865854 des Mormons (Régistres de la paroisse Saint-Joseph de Boulogne-sur-mer, France).
4e
Signature prise lorsqu'il a été parrain au baptême d'Élizabeth Rigal, le 3 janvier 1659 en la paroisse Saint-Joseph de Boulogne-sur-mer. Microfilm des Mormons no. 1865855.
5
Extrait de registre des baptêmes de la paroisse Saint-Joseph de
Boulogne-sur-mer pour l'année 1631.
5a
Source: microfilm de Mormons no. 1861096 (Régistres de la paroisse Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer, France).
5b
Source: microfilm de Mormons no. 1861096 (Régistres de la paroisse Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer, France).
«Gille fils de Jehan bresme et de Catherine Caffier est né le 10 novembre [1661] et baptisé le mesme jour le parrin est Gille Caron la marrine Charlotte de Cause [Coze] de cette paroisse»
5c
Source: microfilm de Mormons no. 1861096 (Régistres de la paroisse Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer, France).
Anthoine fils de Jehan de breme et de Catherine Cafier ses parents est décédé Le disx neufvieme [novembre 1664] et inhumé le Mesme jour Estant de la paroisse de Calais est décédé le 19ieme et a ester transporter le vingtieme
5d
Source: microfilm de Mormons no. 1861096 (Régistres de la paroisse Saint-Nicolas de Boulogne-sur-mer, France).
«Noel fils de Jean de bhram et de catherine cafié est né le 22 [novembre 1665] et a esté baptisé et nommé par Noel gorrey [Gorré] et Anne du sautson [Chaussoy] ses parren et mareine tous deux de cette paroisse. Signatures: Noel gorre, Anne du Chaussoy et De la Court [curé]
5e
A. de la Fons-Mélicocq, UNE CITÉ PICARDE AU MOYEN ÂGE ..., p.34.
Cité dans M. BATTARD, BEFFROIS, HALLES HÔTEL DE VILLE dans le Nord de la
France et la Belgique, librairie Brunet, Arras, 1948, page 33.
6
Isabelle Clauzel, BOULOGNE-SUR-LA-MER EN 1415, page 153, Société
Académique du Boulonnais, 2001.
7
Article IL Y A CINQUANTE ANS, MOURRAIT LE DERNIER GUETTEUR DU BEFFROI
DE BOULOGNE, Les dossiers de l'histoire boulonnaise, No. 27, Mai, juin
1981, pages 3 et 4.
8
Registre des deniers communs (livre des comptes de la municipalité de
Boulogne)
- liasse n° 29 (année 1687-1688): Jean Bresme et
Hiérosme de Saint-Georges, folio 35 recto, folio 40 verso.
-
liasse n° 30 (année 1688-1689): Jean Bresme et Hiérosme de Saint-Georges,
folio 34 recto-verso; folio 39 recto.
- liasse n° 31 (année
1689-1692): Jean Bresme et Hiérosme de Saint-Georges, folio 39
recto-verso, folio 43 verso; folio 86 recto, folio 91 verso; folio 142
recto-verso, folio 147 verso.
- liasse n° 32 (année 1692-1693):
Jean Bresme et Robert du Vallon, folios 43 verso, 44 recto, folio 49
verso.
- liasse n° 33 (année 1693-1694): Jean Bresme et Robert
du Vallon, folio 42 recto-verso, folio 48 recto.
- liasse n° 34
(année 1694-1695): Jean Bresme et Robert du Vallon, folio 37 recto, folio
40 recto.
- liasse n° 36 (année 1695-1696): Jean Bresme et
Robert du Vallon, folio 36 verso, folio 40 recto-verso.
- liasse
n° 38 (année 1696-1697): Jean Bresme et Robert du Vallon, folio 41 recto,
folio 45 verso.
- liasse n° 39 (année 1697-1698): Jean Bresme et
Robert du Vallon, folio 29 verso, folio 32 verso.
- liasse n° 40
(année 1698-1699): Jean Bresme et Robert du Vallon, folio 34 recto, folio
37 recto.
Relevé par Bruno Haffreingue de Boulogne-sur-mer que
je tiens ici à remercier
9
LES CAHIERS DU VIEUX BOULOGNE, Premier semestre 1997, no.40 page
20.
10
C. Enlart, BOULOGNE MONUMENTAL, page 20.
11
Incorrectement appelée Catherine GAUTHIER dans le Dictionnaire
Généalogique des Familles Canadiennes de Mgr Tanguay vol. 1, page 359 et
Rosalie LASERRE dans le Dictionnaire National des Canadiens-français de
l'Institut Généalogique Drouin.
12
M. Battard,BEFFROIS, HALLES et HÔTELS DE VILLE dans le Nord de la
France et la Belgique, librairie Brunet, Arras, 1948, page 41.
13
Extrait du registre de catholicité de la paroisse Saint-Joseph de
Boulogne pour l'année 1671. Archives Communales de Boulogne-sur-mer,
France. Archive communale no. 1974..
14
Extrait du registre de catholicité de la paroisse Saint-Joseph de
Boulogne.
15
Source: microfilm des Mormons no.1865855 (Régistres de la paroisse Saint-Joseph de Boulogne-sur-mer, France. 21 janvier 1700).
16
Extrait du régistre de catholicité de la paroisse Saint-Joseph de Boulogne.