Il pleuvait sur les derniers lilas, et les rues étaient presque désertes J'étais seul et triste ce jour-là, just' avant de le connaître, cet enfant qui m'a dit : Viens chanter ! Il avait un sourir' plein de lumière* Près de lui d'autres enfants dansaient la même rond' au bord de la rivièr'.* Dès qu'un enfant chante, chant', il fait meilleur Il fait soleil dans notre cœur Il vient au mond', et c'est lui qui nous entrain',* qui nous apprend à dir' "je t'aime !"* Dès qu'un enfant chante, chant', il fait plus clair autour de nous, mêm' en hiver Il nous conduit au pays de l'innocence et nous ramèn' vers notr' enfance. Dès qu'un enfant chante, chant', on est heureux Un ciel tout gris devient tout bleu Nos souvenirs font plusiers sauts en arrièr',* et l'on retourn' à la marraine.* Quand les enfants chantent chantent, il fait meilleur dans notre vie, dans notre cœur Ils nous composent, en trois secondes,* tous les enfants, la plus jolie chanson du mond'.* La la la...
*Eine Schwäche dieses Textes liegt darin, daß die Endungen so gesungen nicht aufeinander reimen: Warum wird das Endungs-e nicht einheitlich verschluckt oder mitgesungen? Beides wäre doch möglich!