Bonniche en foulard rose

 

 

Un récit maladroit, mais plein de naïveté et de fraîcheur, de Laurent (Rosette)
N-B : Les photos qui illustrent le récit sont celles de Maid Janet et non pas de Laurent Rosette.

 

J'étais un jeune homme de 21ans, et comme j'avais du temps libre, pendant mes études, j'ai trouvé du travail.

C'était quelques heures de ménage chez un Monsieur. Arrivé chez lui, nous avons discuté quelques minutes, puis il m'a dit :
- Tu vas enfiler cette blouse rose, ça fait partie de ta tenue pour faire le ménage.

C'était une grande blouse rose, sans manches, avec de grandes poches.
- Mais euh... répondis-je…
- C'est ça ou la porte, choisissez !
- Bon d'accord, répondis-je.
- À partir de maintenant tu es sous mes ordres, tu n'es qu’une bonniche.

Je n’avais pas l'habitude que l'on me parle comme ça, mais étant timide, je ne disais rien. Ensuite il m'enfila un tablier rose, j'avais l'air ridicule comme ça, je me sentais humilié devant cette personne. Et pour finir un foulard rose sur la tête, un peu comme les femmes de ménage. Il tourna autour de moi, me regarda, il avait l'air content de son travail.
- Tu est une belle bonniche, avec cette belle blouse, et ce tablier, ainsi que ce beau foulard, ah, ah, ah !
Il éclata de rire. Moi je ne pensais pas autant, je n’aurais jamais pensé en arriver là.
Il me fit voir la cuisine, où un tas de vaisselle attendait d’être lavé.

- Tu vas me nettoyer cette vaisselle, espèce de feignasse de bonniche.
- Oui Monsieur.
- Mais avant viens là, je vais te donner un beau torchon, que je vais mettre sur le rebord de ta poche de ta blouse, quand tu auras fini tu devras remettre ce torchon sur ta poche, allez va !

Et je commençais à nettoyer la vaisselle ; il regardait la télévision, puis au bout de quelque temps, il revint me voir :
- Alors t'en es ou grosse bonniche, tu n’as pas encore fini ?
- C'est que... euh...
- On ne discute pas, tu n'es qu’une bonniche, une feignasse, une grosse limace ! Et comme tu réponds, je vais y remédier, viens là !
Il ouvrit un tiroir et en sortit un autre torchon, avec lequel il me bâillonna, et pour que je n'enlève pas mon bâillon, il m'attacha les deux mains devant avec une petite ficelle.
- Voilà je vais être tranquille comme ça, allez continue ta vaisselle, et plus vite que ça, j'ai jamais vu une bonniche comme ça...
Puis il me laissa en plan à finir la vaisselle, avec les deux mains attachées devant, ce n'était pas évident.

Au bout encore de cinq minutes, il m'appela :
- Bonniche viens m'apporter un verre.
Je lui obéis immédiatement ; puis arrivé dans la salle à manger devant lui, il me dit :
- Alors ça avance cette vaisselle ?
- Mmmff, mmff, je fis derrière mon bâillon.
- Articule espèce de sale bonniche, as-tu finis oui ou non ?
Il s'énerva un peu, mais moi je répondis à nouveau par des mmff, mmff, mmff…
- Bon ben qu'est ce que tu fous là si t’a pas fini, allez ouste, au turbin...

Il était content de cette situation, il en prenait un certain plaisir à m'humilier. Toujours les mains attachées, et bâillonné, il me rappela une seconde fois. J'écoutai ses ordres : arriver devant lui, encore tête baissée, après avoir mis un peu de musique.
Ceci fait, il m'ordonna de danser devant lui :
- Tu vas tourner en rond, et danser, pour que je voie ta belle blouse se soulever.
La punition était assez dure, comme j'étais ligoté et bâillonné, mais je fis de mon mieux.
- Tu vois quand tu veux tu es une belle bonniche, tu es vraiment bien comme ça, en plus tu as un beau torchon sur ta bouche, et sur la poche de ta belle blouse rose, vraiment ! Allez assez ri comme ça !
Il me détacha les mains, mais me laissa bâillonné, puis s'absenta de la pièce.
- Ne bouge pas je reviens, me dit-il...

Il revint un moment après avec une couche à la main, me l'envoya à la figure, puis me dit :
- Tu vas mettre cette couche, tu feras le ménage plus vite, ça t'évitera de perdre du temps.
J'allai dans la chambre mettre cette couche, je n'en avais jamais mis avant, puis je ressortis, et me trouvais devant lui. Il me rattacha les deux mains, et je dus repartir dans la cuisine.

Au bout d'une demi-heure, il me rappela :
- Bonniche, ma petite bonniche.
Et je courus aussitôt à son appel. Arrivé devant lui, il me jeta une éponge mouillée à la figure :
- Tu vas nettoyer les chiottes, feignasse de bonniche, ça va te faire du bien.

Alors je partis dans les toilettes, nettoyer les chiottes et la cuvette, toujours les mains attachées. Il me rappela au bout de dix minutes, et m'ordonna d'enlever la couche que j'avais mise il y a une heure, de la mettre dans les toilettes, et de retourner en cuisine. Bien sûr il m'avait détaché les mains, et débâillonné. Au bout de 5 minutes, il me rappela encore, et encore, alors je me mis devant lui.

- Alors espèce de bonniche, je te fais mettre des couches, et tu pisses dedans, t’as vu la couche, dans l'état qu’elle est ?
- Mais monsieur, je n'ai jamais fait tout ça (c'était vrai, c'est lui qui avait mis de l’urine sur la couche) je vous assure monsieur…
- On ne discute pas, tu aimes être sale, et bien je vais te faire voir, viens là.
Il prit la couche me la fourra sur le nez, et me la fixa avec un torchon assez large, sur le nez, ça sentait mauvais.
- Voilà tu es bien comme ça, tu vois tu as une belle couche.
Il me fit asseoir sur une chaise, et me saucissonna, puis enleva mon foulard, le plia, pour que ça fasse une bande assez large, et me bâillonna avec. Je ne pouvais plus bouger, et en plus, une couche sur le nez et bâillonné, la totale… Il me laissa dix minutes comme ça, il ne voulait pas que j'étouffe, juste le plaisir de m'humilier, et pour m'apprendre à être une bonne bonniche.

Il me détacha, ainsi que la couche, et mon bâillon, et s'écria:
- Alors, ça sent bon ?
- Oui, Monsieur, répondis-je tout timidement
Il me jeta un torchon à la figure, comme il fait d'habitude, puis me donna aussi un produit pour dépoussiérer les meubles.
- Allez grosse bonniche, tu n'es qu'une souillonne, bonne qu’à faire le ménage.

Je fis donc ce qu'il m'avait dit, je ne sais pas si c'était fait exprès, mais un meuble avait plein de poussière, et j'éternuai.
- Alors sale bonniche, tu ne vas pas dire que quelque poussière te fait du mal, viens là... tête baissée.
Je m'approchai de lui, il sortit un mouchoir de sa poche assez sale, et commença à me moucher en me pinçant le nez.
- Allez souffle bien, pauvre conne de bonniche.
Et moi je soufflais dans ce mouchoir, pourtant je n'étais pas enrhumé, c'était juste la poussière.
- Voilà, t’est bien mouché maintenant, ouvre ta bouche...
Il m'enfourna le mouchoir dans ma bouche, puis me remit mon foulard par-dessus.
- Comme ça, je serai sûr que tu n'éternueras plus.

Et je continuais à essuyer les meubles, bâillonné.
Puis il m'a dit d'arrêter mon travail, il m'a enlevé mon bâillon, mon tablier, et ma belle blouse rose, comme il dit si bien. Il m’a dit que je devais lui faire des courses, ce que je fis ; j'ai acheté de la viande, divers aliments, du fromage

Ensuite revenu chez lui, je dus remettre ma blouse rose, mon tablier, et mon foulard sur la tête.
- Ah, j'ai bien mangé dit le monsieur… Amène-moi le fromage que tu m'as acheté.
Et, aussitôt dit aussitôt fait, je repartis dans la cuisine, mais il me rappela, et dit :
- Qu'est ce que c'est ce fromage coulant, tu le fais exprès, bon à rien de bonniche.
- Je ne comprends pas, j'avais pris un fromage dur, Monsieur (en fait c'était lui, qui avait un deuxième fromage, qu’il avait caché, exprès encore pour me punir).
-Tais-toi ! Ou je te re-bâillonne, bonniche, viens là.
Il prit le fromage tout coulant et me l'enfonça sur le nez en appuyant bien, avec sa main.
- Voilà, comme ça tu sauras reconnaître un bon fromage, mets-toi à genoux et excuse-toi, salope de bonniche.
- Je m'excuse monsieur.
- Bon, ça va, veux-tu revenir demain ?
- Oh, oui monsieur.
- Bon et bien à demain, bonniche, désormais tu seras ma bonniche Rosette.
- Bien monsieur.

J’ôtai ma blouse et mon tablier, et revint le lendemain, pour un autre service.

Le lendemain, donc, je retournais chez le monsieur chez qui je faisais la bonniche, et il m'avait donné comme prénom: Rosette sa bonniche.

Arrivé chez lui tout était prêt sur une chaise : une belle grande blouse rose avec de grandes poches, à manches longues, un tablier qui se marie bien avec la blouse, et un foulard rose, sans oublier un torchon propre, que je dois mettre sur le côté de ma poche.

Habillé, mon maître m'attend dans son canapé, et je me présente devant lui, tête baisser. Il me contemple de haut en bas, pour voir si ma tenue lui plait.
- Alors bonniche Rosette, on aime sa tenue de soubrette.
- Oui monsieur.
- Alors si ça te plait ta tenue, au travail feignasse, tu vas laver par terre.
Il me donna un seau d'eau, et une serpillière.
- Vous ne me donnez pas de balai
- Pas besoin tu frotteras avec les mains, espèce de sale, et insolente bonniche, mal élevée, je vais t'apprendre les bonnes manières, allez zou....
- Oui monsieur.

Je commençaisà nettoyer à même le sol, avec ma serpillière en étant à genoux.
-Allez frotte mieux que ça, incapable, bonne à rien.
Et il prit la serpillière mouillée qu'il me flanqua dans la figure et je me remis à frotter.

Ce monsieur avait une amie femme qui venait de temps en temps.
Au bout d'une demi-heure, il m'appela et m'ordonna d'arrêter et de venir devant lui.
-Viens là espèce de grosse lavette de bonniche, il y a une amie qui va venir, t'as intérêt d'être impeccable, dans ta tenue pour nous servir.
J'entendis la sonnerie, et j'ouvris, et mon maître fit les présentations.
-Estelle voici ma bonniche, ma souillonne, ma bonne à rien.
Estelle était quelqu’un de riche, bien habillée.
- Allez va chercher l'apéritif, et les gâteaux.
J’avais honte devant cette femme, à l'allure hautaine.

-Maintenant que tu nous as servis, tu vas faire voir a mon amie comment tu danse bien, sale bonniche.
Il me donna deux torchons, puis je devais tourner avec ma blouse, et mes torchons, il appelle sa la danse des torchons. Ils se moquèrent bien de moi, en rigolant bien fort quand ils avaient bien rigolé, il me dit:
-Allez assez comme ça, va faire ta vaisselle, poufiasse de Rosette.
À la cuisine, je les entendais parler et rigoler, puis la femme me rejoignit dans la cuisine.
-Alors on n’est pas une bonne bonniche à son maître.

Elle prit un verre que j'avais nettoyé, et le jeta par terre puis mon maître arriva.
- Qu' est-ce qu’elle ait fait ma rosette, ma bonne à rien, elle ait cassé un verre
Je voulais dire que ce n’était pas moi, mais il me ne croirait pas pourquoi la dame a fait ça.
- C' est pas possible, on ne peut pas te faire confiance, tu sais que tu mérite une punition
-Oui monsieur
-Allez Estelle donne-moi un coup de main, on va ligoter cette grosse limace de bonniche, on sera surs qu'elle ne touchera à rien.

Avec des cordes à linge, il me saucissonna, tous les deux, je ne pouvais plus bouger.
-En plus d'une bonniche, elle fait un beau saucisson, ah, ah, ah, dit la dame.

Ensuite quand je fus bien ligoter, mon maître me cracha dessus sur la tête
-Allez Estelle ne te gêne pas, crache aussi, elle ne mérite que sa.
Alors en tournant autour de moi, elle me cracha aussi dessus et mon maître m'en envoyait encore un, suivi de la dame, c'était un jeu pour eux de m'humilier.

Puis la dame prit une assiette en carton, et mis de la crème chantilly dessus, et me l'envoya dans la figure. Ils me détachèrent pour que je me nettoie.
-Allez finis ton travail, Rosette assez pour aujourd'hui. Je me changeai et une journée était encore finie.    

 

Je suis retourné chez le Monsieur faire la bonniche. Je ne voulais pas, mais je n'avais pas trop le choix, il fallait bien que je gagne un peu d'argent...

Arrivé chez lui, il me dit :
- Rejoins-moi en slip, dans la cuisine.

J'arrivais tête baissée devant lui,comme d'habitude.
- Regarde, ma bonniche, je t'ai trouvé une belle blouse rose, sauf que celle-ci est très sale, allez viens que je te l'enfile.
Il m'enfila cette blouse rose, tout doucement, bouton par bouton. C'est vrai qu'elle sentais vraiment mauvais, cette blouse, on aurait dit qu'elle avait servi depuis longtemps.

- Pourquoi je dois mettre cette blouse sale ?
- Tu ne discute pas, insolente, espèce de bonniche, c'est moi qui parle. Comme tu aimes être sale, tu porteras cette blouse désormais, compris ?
- Oui Monsieur !
- Tu vas voir, tu vas être belle comme ça, je vais aussi te mettre un beau tablier qui est très sale aussi, ça te feras du bien.

Je n'en pouvais plus, ça sentais tellement fort...
- Il ne te plait pas ce petit tablier rouge à carreaux, moi je trouve qu'il te va a ravir !
- Oui, monsieur.
- Bon, je vais te plier ce torchon, pour le mettre sur le rebord du tablier, mais avant tu vas sentir cette bonne odeur... Regarde comme il est bien sale, allez sens-le....

Il me fourra le torchon sur le nez, et ça sentait aussi mauvais que la blouse et le tablier.
- Alors ça sent bon ?
- Oui Monsieur.

Il mit le torchon sur le rebord du tablier, tout en le tapissant de sa main, contre la blouse.
- Voila, tu est mieux comme ça !

Il tourna autour de moi, me regarda d'un air songeur...
- Voyons ! qu'est ce que j'ai oublier ? Ça me parait un peu plat, ces poches de ta blouse, ne bouge pas, je reviens.

Et moi je restais planté là, dans ma blouse sale, et cette odeur,que je ne supportait pas.
Il revint 2 minutes après, avec des torchons, et me remplit les poches de ma blouse.
- Voila tu est mieux comme ça, ça fait plus vrai, toutes les femmes de ménage ont les poches remplies...
- Tiens prend ces gant en latex, pour faire la vaisselle, espèce de feignasse de bonniche, allez ! Restes pas planté là, je te paye pas à rien foutre, espèce d'incapable.

Alors je partis dans la cuisine faire la vaisselle.

Il me rappela cinq minutes après...
- Alors elle te plait cette blouse, elle sent bon ?
- Oui Monsieur.
- Tu vois que ça te plait d'être sale, et de sentir mauvais, mets toi a genoux, et relève la tête. Regarde cette belle culotte de femme, tu vas voir, tu vas bien la sentir, allez je te la mets sur la tête... voilà ! Alors, ça sent bon ?
- Oui Monsieur.

Il m'a enfilé une culotte sur la tête, en l'enfonçant bien, pour que je sente, et m'a pincé le nez, elle sentait mauvais cette culotte. Il m'enleva le torchon que j'avais sur le rebord du tablier, puis me bâillonna avec un certain plaisir.
J'essayai de parler, mais il n'y avait que des "mmff, mmff, mmff" qui sortaient de ma bouche.
- Allez ! Saleté de bonniche, retourne à ta vaisselle!

Pendant 10 minutes je lavais la vaisselle, toujours avec la culotte sur la tête,et bâillonné avec le torchon sale.
Peu de temps aprËs, il me rejoignit dans la cuisine, puis se plaça derriËre moi et me dit :
- Alors ça avance, ma petite bonniche de bonne à rien !
- Mmff, mmff, mmff...
- Comment ça tu n'a pas fini, tu te fous de moi !Tu est une sale bonniche, une incapable, tu sens mauvais, et tu oses me répondre non ?
Il parlait en penchant la tête devant moi et en me regardant avec un sourire moqueur.
- Et bien, comme c'est pas fini, tu gardes ta jolie culotte sur ta tête, ça te feras du bien.
Puis il me resserra d'un coup sec le torchon qui me bâillonnait ,et repartit s'asseoir.

Un quart d'heure aprËs, alors que j'avais fini, j'allais le rejoindre, et il était très content.
- Ah, et bien ma bonniche a enfin terminé, alors mets toi sur mes genoux, tu vas recevoir une belle fessée.
Il releva ma blouse, puis mon slip blanc,et me donna une fessée.
- Bon, tu vas pouvoir partir, mais avant tu va danser un peu, pour mon plaisir...

Il m'enleva mon bâillon, ainsi que la culotte, puis me remit le torchon sur le rebord de ma blouse, et me donna deux autres torchons de même couleur, que je devais garder dans chaque main. Il mit de la musique.
- Allez danse, que je te vois avec ta belle blouse sale, et ton tablier.

Je tournais sur moi même, en faisant voleter les deux torchons.
- Allez mieux que sa, fais voir que tu te sens bien en blouse et tablier, voila, comme ça...

La journée était enfin finie...

 

 

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