MILAN
Petit poisson devenu le poison de la raideur diurne
Tu torches l'abcès bavant la négation du dessus des ragoûts de la soupe populaire à peine digérée qu'a crevé ta belle queue de morue à l' ombre des maquereaux que confesse l'ordre des versets enneigeant le monticule des démons que mère veille grimée en madone sur le prie-dieu
Stèle de l'alibi du téton aimé des mâles armés que mue le charivari des filets de latex en croix de bois...
Parmi les pommes d'Adam hirsutes qui broient l'âme du signe éploré à genou devant la foi du cœur
de rien du tout en déprime de pendu
au flamand rose
A l'instar du vilain
pilon de la virago
cambrant une offrande
fourrée de poils
à gratter la morale
des langues de pute
les vents hypocrites des pinces sans rire percent les sanglots des légèretés
qui ploient leurs pensées oniriques vers le devoir de censure d'une légion de proches qui se hait en ton orgueil statufié dans l'émoi du premier jour d'avril...
Dernière actualisation : 31/07/2001 |
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