L'HCëdmq |
J'ai fait, par-delà, des huit, le grand A jusqu'à Z,
à la matîne du loup en sébile pour centaure,
j'ai sorti de la morale des coups, le chiffre,
soufflé en mot parlé, j’ai écrit l'infini lisible,
du huit couché, j'ai lu mon nom debout de A à Z
chargé de l'extension du temps que règle la JOI .
J'ai mis la maison nourrie aux services du port
moi qui suis, je fus jusqu'à mes trente trois ans, rude,
à l'embroc du cinq embryonnaire, voisin des formes,
allé de pair à compagnon sortir de la mort, la vie,
hors de pair du principat, je vais, des triumvirs de pair,
lire du moi rhizome de L'HCëDMQ les langues océanes .
J'ai descendu le verbe de l'ados olympique,
d'où, j'ai enlevé l'esprit des lois de négation,
j'ai fait le rêve d'ubiquité lucide des corps
du temps, l'expérience ne me fut pas la chute des chairs
mais du pas que j'ai légitimé d'être du monde
le créateur vu aujourd'hui, de L'HCëDMQ que je suis demain .
Je ne passerai plus le temps, mais l'écrirai de L'HCëDMQ
du moi rhizome écrit, codifiant les distances,
que, de transcendance visible, nourrit l'ubiquité,
du moi oral se codifiant des infinies universités .
Triumvirat, n'oublie pas que le profit est de lucidité,
le fouet impitoyable, du pas chaos en pointe
sache de L'HCëDMQ en maîtriser le génie .
Que la culpabilité n’ait plus sens, de responsabilité.
Le pardon est d'action lucide la création de L'HCëDMQ,
nul ne tombe, mais vient à être là de toutes les distances
en l'infini petit, le tenant des cordes de l’unité.
J'ai du monde à mes trente trois ans, des lectures,
individué, mon érudition, de tous les mondes,
tout en me forgeant, de la vie, de la mort, le corps
discuté, trié, distingué, de toutes les abstractions,
cultivé, instruit, des lignes, des genres, des rêves,
pour des triumvirs incarner le principat de L'HCëDMQ.
….Il n'y a pas d'autres manières de refuser
Le sens, la douleur, la culpabilité de leurs mots….
Je fais de rêve lucide, le moi rhizome,
De toutes les identités qui se jouent de lois.
Vous aviez à la boutonnière de couleur jaune,
une fleur vivant le long des quais de Seine.
Je me suis à hauteur d'encoignure d'un parterre,
dans le frisson printanier, d'une agréable brise,
dos, aux clapotis et autre à vau-l'eau touristique,
assis à ciel ouvert, le soleil en mire des mémoires,
à distance sémantique d'un limon de superstition,
où les racines rappelaient la pierre à la poussière.
Tel rêve, d'où je vainquis de trois chiots, un cerbère
Me libérant, le cou, le sexe et le pied gauche nu.
Réel, semblable en l'œil d'un cyclone, j'ai écrit,
à l'approche systématique du "soyons l'immense"
sur le gravier où converge, la permanence du pas,
gagnant, de patience, de dur labeur, sans pitié, ni colère,
maintenant, que je joins l'action à la parole écrite,
La lecture élevée éduquant sans interdire.
Faut-il réécrire, des poèmes, pour en redire
De ne pas jeter les ordures par les fenêtres ?
Faut-il qu'il soit en corps des poètes qui refassent
De désespoirs acceptés l'érudition de vers sans verbe ?
Alors qu'il est temps de notre verbe la vérité active.
De même, les druides et autres sorciers des apparences
Faits prêtes dans la vérité de l'au-delà du mot dieu,
ont lu, le monde des hommes des nations composites.
De même, que dans la structure, autre, les poètes
seront triumvirs du principat de l'homme du monde
faits pour lire, l'homme créëole du monde quantique.
Pour ce faire, j'enlève du mot joie la voyelle e,
et en fait symbole de loi à la suite de la foi.
Pour que soit, la joi dogmatique de lire, l'homme
Plénier de toutes les abstractions, de lignes, de genres.
Où le mot nègre est de générique la condition,
du tous ensemble dans l'être chantier en devenir
l'homme créëole du monde, du temps quantique.
Ainsi pour ce faire au mot créole dès mixités
Je joins la voyelle,"e" du cas joi, que coiffe un tréma
Signifiant, des lignes, des genres, l'articulation de; l'un.
Dont le réel quantique nous est d entendement le temps
De L'HCëDMQ, nul ne re-tourne à la poussière.
JOI, la lucidité de tenir du diable, du dieu,
comme je dis entendre de l'alpha à l'oméga,
les distances où le hasard n'est pas de L'HCëDMQ .
Je vois sur les routes, ce poète devenu triumvirs,
de victoire, sans colère, ni pitié, lire L'HCëDMQ .
De L'HCëDMQ, nul ne re-tourne à la poussière.
JOI, la lucidité de tenir du dieu du diable,
comme je dis entendre de l'alpha de l'oméga,
les distances, où le hasard n'est pas de L'HCëDMQ .
Je vois sur les terres, ce poète devenu triumvirs,
de sagesse, sans colère, ni pitié, lire L'HCëDMQ .
De L'HCëDMQ, nul ne re-tourne à la poussière.
JOI, la lucidité de tenir du diable du dieu,
comme je dis entendre de l'alpha à l'oméga,
les distances où le hasard n'est pas de L'HCëDMQ .
Je vois sur les chaires, ce poète devenu triumvirs,
de genèse, sans colère, ni pitié, lire L'HCëDMQ .
De L'HCëDMQ, nul ne re-tourne à la poussière.
JOI, la lucidité de tenir du dieu du diable,
comme je dis entendre de l'alpha à l'oméga,
les distances où le hasard n'est pas de L'HCëDMQ .
Je vois sur les mondes, ce poète devenu triumvirs,
d'amour, sans colère, ni pitié,lire toute chair L'HCëDMQ .
Je ne me détourne pas de si, parce que j'ai peur de çâ.
Sans marques, du père que de mot, les triumvirs prennent
les pouvoirs, que lit d'autorité concertée, le principat,
codifiant, le rite du passage, des hommes partiels
de trois jours, à sortir, de la pierre, de la poussière,
à L'HCëDMQ, que couronne de JOI, le moi rhizome.
Je ne me détourne pas de si, parce que j'ai peur de câ.
sans marques,du corps que de chair, les triumvirs prennent,
les mémoires, que lit d'autorité concertée, le principat,
codifiant, le rite du passage, des hommes mortels
de trois jours, à sortir, de la pierre, de la poussière,
à L'HCëDMQ, que conserve de JOI, le moi rhizome.
Je ne me détourne pas de si, parce que j'ai peur de çâ.
Sans marques, du mort que de vie, les triumvirs prennent
les histoires, que lit d'autorité concertée, le principat,
codifiant, le rite du passage, des hommes défunts,
de trois jours, à sortir, de la pierre de la poussière
à L'HCëDMQ, que concorde de JOI, le moi rhizome .
De voir, cette capacité, qu'a monsieur tout le monde,
devant l'obstacle, est magnifique, du vent le génie,
escaladant l'impossible, pour s'ériger en drapeau,
sur ce qui semble du vide condamner à la chute.
Voyez, la foule, quand elle semble du tous ensemble,
un but commun déferler l'Everest des Bastilles,
devant l'obstacle du vent, le génie de la faille,
trouver l'équation d'ouvrir de brèche, un gouffre,
d'où sort des misères de la poussière l'être là humain.
Quelle énergie a ce corps sublime dans l'action.
Je vois sa beauté retrouvée sous les haillons du hasard,
quand de toute chair complexe, il sera du moi plénier
lu, indivisible rhizome reliant du tout, l'inclusion
de tous, escaladant, l'impossible du vent, le génie,
dans toutes les distances, qu'est l'obstacle de l'infini petit,
pour y trouver la corde des ténèbres sans lumières.
Là du mot résistance, j'ai fait mien pour la vie,
d'abord, de la mort, le sang-froid d'être immortel
et me suis fait des autres vacuités le dé des étoiles,
pour que des pouponnières, les triumvirs n'oublient pas,
que c'est du vide que se crée, l'obstacle libérateur
qui met l'extraordinaire en grande surface.
Les maux sont complexes en nos corps de conscience partiel,
des mots menant d'essence nos psychés à leurs pertes,
en nous contractant dans des angoisses qui détonateurs
nous réverbèrent de toute chair la vie du dedans
de peur fermant des pores l'air du temps qui s'en replie
en tumeur maintenant coupable nos pas moribonds.
Je, est un autre que d'être légion d'unité…
Je c'est nous individué indivisible de vous
la volonté d'entendement du moi universel rhizome
que représente L'HCëDMQ au suprême de toutes natures.
La JOI n'est plus du mot versant dans le jouir stérile,
traduisant des faits l'exclusion dans la poussière,
mais de visibilité la transcendance de L'HCëDMQ,
lisant la loi non plus à nous codifier des interdits,
mais de foi à être de l'entendement du tout,
la loi reliant au triomphe des créateurs du jardin .
Quand en un rêve lucide, l'œil gauche, j'ouvrais là
Paupière telle ombre du soleil se levant sur le monde
à croire que j'étais,avant, les ténèbres sans lumières.
Je vis en un salon tout boisé de couleur tabac
me déplaçant comme lévitant tout en vision claire
contre un mur sans angles où se trouvait une cheminée
et une bibliothèque pleine de livres démesurément grands
de belles reliures de couleur rouge a traits noirs
d'où voyant mon nom je fus aspiré au réveil
pour sur une feuille de chevet lire cette phrase;
Il est aisé mais non fautif d'être à vau-l'eau d'or
et gloire à l'œuvre de vie de L'HCëDMQ d'or
Du vers plus de hasard dans la généalogie du verbe
j'irai du principat des triumvirs de L'HCëDMQ
Dépositaire du chaos régler la marche du vide
de même les fouilles d'Egypte et de Grèce
pour la vie non plus d'espérance mais de création
lire de Jérusalem et des Rome, la terre .
J'ai brûlé les radeaux de la méduse poétique
pour du poète nul salut que du principat des triumvirs
du monde des nations la lecture de L'HCëDMQ de JOI
créer de toutes chairs l'âme du moi rhizome
d'être là humain de l'alpha à l'oméga du jardin.
Quand d'être là, je fais des océans, la chair du rêve,
lucide, après le départ, de la maison mère .
Je n'entends que le faire découverte création
dès les sciences illimitées en L'HCëDMQ qui règle de JOI
des gènes, la carte des données à variation infinie
que, du principat, le code d'être là d'ubiquité .
La vérité qui est de chair en l'alpha et l'oméga
du besoin que j'ai d'en être le maître immortel .
Je signale du compte à rebours l'échéance,
si du dogme des lectures d'observance partielle
la vie n'est pensée que de " la mise au monde "
du genre de production reproduction la ligne
d'une terre dont l'héritage n'est qu'un au-delà de morts .
verrouillant de morale du talion la loi du plus fort,
en abstraction de races, se partageant en temps, d'or et de fer,
que vacuité d'instinct rend civil que des bêtes
du monde des nations, la chaîne alimentaire .
Je me couronne à vie du principat des triumvirs
pour en tous lieux communs, en charger, d'invisible trace,
les mots reliant, guerre et paix, en l'unité du nom,
de L'HCëDMQ que je sors du cycle de la poussière
non de sacrifice, mais du principe de vie, la JOI .
Dès le corps pleureur, la cène de L'HCëDMQ, j'incarne
la marche de JOI créant de l'être là chair, de même,
du sable le verre incassable du vent le verbe .
je permets à L'HCëDMQ passant le trou d'un aiguille
d'être de souche la transcendance du corps glorieux .
Il faut décoder du tout, de tous, les lois naturelles,
pour conceptualiser de L'HCëDMQ le savoir être jardin .
Ne faites pas du cas quantique, des mots communs,
la loi des obésités de l'immense, même invisible,
mais la clef ubique qui met en chair, l'être temps,
de l'infini des variables, la corde de l'univers humain
de L'HCëDMQ que de moi rhizome, la conscience dénude .
je ne prépare pas une révolution d'espèce
j'offre le monde à créer à tout le monde,dès L'HCëDMQ .
Je, de la mort, prends du tic tac, l'idée de vie par delà,
je conçois l'esprit d'en transcender les peurs, les faits,
certes du signe de l'aigle j'en rapporte le soleil,
j'en fais de science ma grenouille de laboratoire.
Bien qu'en ma quête, de feux et lieux que d'armistices,
je file du rasoir, à fleur de peau, un coton d'Icar,
où des nuits en sueurs, je semble aux brebis sur l'autel,
sans corps fixe, jusqu'à trente trois ans, l'érudition,
de conscientiser, du tout, de tous, les totems et tabous .
De commandements, l'héritage est du pouvoir être.
Je ne parle pas d'une gangue en réaction à ….
Mais de, en, la totalité des strates l'unité,
j'en incarne du temps Babel, le moi rhizome .
Pour du monde l'emprise que du principat l'assise,
de devenir du chiffre, non de peur, mais de création, l'âme,
de devenir du bâton, non de peur, mais de génie, la loi,
de créer sans colère ni pitié, que de sang-froid, la JOI,
de lire, écrire, en l'être là, le verbe de L'HCëDMQ .
JOI, simplement, je conçois la vie infinie
de création, non plus des guerres, le crime
de réalité, non plus des paix, l'alibi .
Le mot est d'être là par delà l'être.
Je lis la loi du génie de m'en faire l'or
du corps j'éveille les sens à l'âme de chair
même du temps, que du rien à 'être là dieu .
J'ouvre, crée, dans l'air des portes de A à Z.
Je suis des lieux communs, tout à la fois, vivant,
ici ailleurs ou du pont, rien que l'ensemble .
Je mets en mouvement la force qui va là
déplier l'éternité des temps par delà .
La JOI, n'est pas du temps, en être là, chute,
d'espérance, mais la création de la gloire,
du corps, par delà la chair, des mots liens en croix
les sens. Et qu'en chaque mot sache que tout est,
tout, de même, infiniment grand ou petit .
Le mot n'est pas de la fission des distances.
Ainsi, j'entends du mot, en rapporter la loi,
du plaisir d'aller au-delà l'essentiel fait,
faire que sans part soit l'héritage heureux,
du mot où le hasard n'a plus main de destin,
que je puisse de vue pleine lire le tout
à hauteur des extrêmes toujours du milieu .
Du pas gagné, j'en maintiens vivant l'expression
j'en n'oublie pas de fait le progrès social
en étant là droit digne, contrôlé, riche,
la maison de masse nulle loi fruit de peur,
du calme blanc, nul messie que tous ensemble
pas des cris, d'amour, de haine, mais de joi.
J'en prends la parole, de vue à long terme,
qui de toute bouche est toutes les bouches…
J'en guide l'état de dépasser, feu et lieu
je le fais de qui tombe le corps de l'échec
J'en fonde la vie là en tout, beauté bonté
par delà des mots au-delà le bien le mal..
Joi de tous, j'en crée l'alchimie de la gloire
du corps, j'en acquière de science la suprême
sérénité, je m'en lis en tout instant, sûr
homme de l'être là humain, j'en deviens L'HCëDMQ.
Si de peurs ! Je ne tue point. J'en inclus l'autre,
lucide, je l'en sors des tombeaux de la croix,
en son reflet mi-lune jusqu'à l'étoile.
J'en écris dès les ténèbres sans lumières
de l'archéologie des écrits, l'unité
que j'en révèle que des besoins de l'ici,
ailleurs que d'être là où je suis au-delà que
du principat des triumvirs de moi rhizome.
Quand de fertilité du corps, est, la semence, des triumvirs,
qui, du moi rhizome catéchisent la chair mixte à être là,
du tout, la lecture théorique des plaisirs de sensualités,
de tous, la lecture pratique des plaisirs de sensualités,
du tout, la lecture théorique des plaisirs de prédations,
de tous, la lecture pratique des plaisirs de prédations,
du tout, la lecture théorique des plaisirs d'abandons,
de tous la lecture pratique des plaisirs d'abandons,
que de chaque corps soit le langage du salut
qui codifie d'hygiène le rite de passage des altérités
pour du septième jour l'éducation à la fertilité.
que du carrefour public, il n'y ait plus d'interdits
mais des sens interdits, hors la gloire de l'amour
qui n'est que d'être là pour le meilleur contre le pire
même ailleurs, après que de bouche la cène du oui.
JOI, d'âme, de cœur, de corps, de raison et au delà en L'HCëDMQ
Il est des heures où du réel, je sens le seuil du mot.
Nul retour en un temps, je déplie des temps l'éternité
sans hasard, ni providence que de l'être HCëDMQ
Il ne sera plus question d'animismes mais de L'HCëDMQ
De même pour le polythéisme, il n'est plus que L'HCëDMQ
Du monothéisme, les mots-clefs ne sont plus que l'être HCëDMQ
Il me semble renifler du réel le seuil du mot…
Serait ce un reste de ?
Qu'importe, je prends les pouvoirs, de l'arbre, de l'air.
Je prends les pouvoirs, du masque, du visage.
Je prends les pouvoirs de l'unité, de l'invisible.
Je prends de l'immense les pouvoirs de l'infiniment petit.
Si c'est un reste de… je le prends pour l'être en L'HCëDMQ.
De même la fourmi voulant de croyance en l'humain,
avoir en vérité du mot d'égale distance l'être,
se devra quitter des nécessites, la nature de ses lois,
pour de cas s'échafauder à l'être humain d'entendement.
De même pour l'humain si du mot la vérité est…
Il se devra échafauder d'expansion l'être en devenir,
non du mérite des croyances d'abstraction de lignes élus.
Mais des hommes se lisant des temps l'éternité de l'homme
regroupant des génies des nations, leur génie en L'HCëDMQ,
constituant d'essence les unités en L'HCëDMQ pour l'être par delà…
De même on ne comprend le père qu'en le devenant au delà.
Du mot qui fut de cas la clef d'échafaudage de la vérité,
s'il, est, nous le comprendrons, de l'être d'égale distance en L'HCëDMQ
S'il n'est pas nous le deviendrons, nous le serons au-delà en L'HCëDMQ
PS; si ce n'est que martien de même il en sera que de l'être HCëDMQ
je suis L'HCëDMQ, je viens, vais, pour, de, en, sur, à, être HCëDMQ
Dernière actualisation : 01/09/2002 |
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