Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

Page d'accueil

Autres poèmes

Ecrire à Rudolphe

 

Sesboüe 5

 

 

Et cette rumeur, qui me vient des quatre temps

Sur le musée de l’air et du vent des Envièrges

La main sifflant, l’or à portée d’épiphanie

Bien que de trois jours que ne furent trois mille ans

A dessiner l’écheveau de mon thème astral

Pour de testament dire, renais, mon étoile

Et sous mon maquillage de vigne conscience

Autant vent porte l’albatros hors bateau ivre

T’en viens m’en sortir au secret de ta lumière

Debout tels deux battants marchant au bout de la nuit

De cette rumeur d’amour du jour qui nous transit

A n’être qu’un perroquet de coco nocturne

C’est fini, ma danse de mort d’avec le scorpion

Fini, ma danse de tête d’heures joyeuses

C’est fini, vois je viens au temps de l’équinoxe

Comme une balance à l’équerre d’équateur

En avant la poésie sera tenue parfaite

 

Dernière actualisation : 26 August 2000

Webmaster : [email protected]

 

Hosted by www.Geocities.ws

1