Sesboüe 4
Des mots, des
gestes, des voix et là Quetzal, je vais
Long souvenir
déporté en corps grande guerre
Du rut qui bien
qu’en demi solde la poussière
Pour ne pas
m’oublier à n’être qu’un çà nu
De coquille
vide ,en rue, de faire bonnet d’âne
Le bouc
émissaire étal de loi qui porte à faux
L’homme
surnature au pied d’un mur nature
Qui n’a plus lieu
même commun que contre-nature
A créer la
machine infernale des panurges
Qui font la
grande surface anthropophage
Du champ où
l’on bataille en corps, la médaille
D’être en arc
de triomphe mis à prix de vitrine
La tête de
gondole du charnier quotidien
D’où je renais
plein d’un feu mis à jour que de vie
Réunir l’esprit
pur à tout le corps complet de tous
L’homme de
nulle part qu’au delà de toutes morts
Et au dessus
que de je te cueille des lauriers
Dernière actualisation :
26 August 2000 |
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