Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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Sesboüe 3

 

 

Et la peste soit de nos soirs assis à diable

Avec nos solitudes de cons qui s’adorent

Dans un milieu malade à regrets de remords

Qu’œuf fait nid d’orgueil en lame de rasoir tranchant

De légèreté, untel rien que fils de parure

Epousseté après l’effet, ce trou du cul conquis

Pour enfin faire part à sa cour de sa chasse

D’ores et déjà figurant sur l’ouïr pour vous

Récital funéraire de consolations majeurs

Où revenu voir ce qu’il en était de l’à bientôt

Il ne vous est pas tel au chien même un sucre

Donné que de partir reproduire ce schéma

Je reviens de loin que l’on dirait presque de la mort

J’ai frôlé le silence à deux doigts de la folie

Je viens  te voir pour ne pas mourir à vie sans amour

Que de poésie qui sans toi, n’est qu’un printemps divers

 

Dernière actualisation : 26 August 2000

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