Poésie Rudolphe S. Plesdin
Sesboüe 2
Rappelle toi ce
roc de larmes, ô mon ami
Qui chagrin de
vie, nous met gros œil sur le cœur
Commun homme traqué,
au désert, que d’injures
Dans la cité
des ces anathèmes de goulade
Je suis sûr
qu’à la vie tu la veux ressusciter
Ton enfance
morte d’amitiés particulières
Avec ces
silences, hors l’ombre du jour d’Hui
Sur la place
monsieur tout le monde arbitraire
Lorsqu’on est
de cet amour là qui nous rappelle
Que le bonheur
n’est pas qu’une partie de plaisirs
Fait que de
soirs d’arrière sale sans queue, ni tête
Où en l’aube de
sales draps de sable mouvant
Nous ne faisons
de nous, que des tombeaux de fanfarons
O !
paillettes, de ruban rouge, ayons pitié de nous
Assez !
que de prendre du visage des autres
Le masque de
fille de l’air du temps cynique
Oui, pour le
meilleur et pour le pire, je t’aime
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Dernière actualisation :
26 August 2000 |
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