Delirium
tremens 5
La joie est qu’il
n’y a plus qu’infini d’être
Humain est-ce à
dire que l’alpha et l’oméga
Sont les deux
battants de-main du réveil de l’homme
Des choses et
d’autres de la pluie et du beau temps
Ce qu’en dit le soleil mi-nuit et autres paroles
De lectures
ininterrompues sur des textes d’autres
Spectacles
d’histoires sur quelques fatras en deux mots
De jouissances
douces, lucides et sereines
Triées,
discutées, distinguées, répétées, compulsées
Que là où se
donne, se transmet, s’aime la vie
Je sois
partout, en somme qu’il ne se passe que moi
Au commencement
le lien et la clef du monde
Au verbe, il
n’y plus de dogme que je ne suis
Sans omettre
l’action tout- jour du trou d’homme
Dernière actualisation : 27/08/00 |
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