Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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Delirium tremens 4

 

 

Je dis stop à la loi extension nature

Où le moi est lui même que de reproduction

Du deuil que position de misère diffère

Au temps de l’âme en abstrait rempart de remords

Qui gangrène de l’homme surnature le corps

Que de palpable hantise renvoie coupable

A vie, le tuant de souffrance tentaculaire

Sous le masque éthique de l’éternel tyran

Que confesse un soleil en décomposition

De lien comme un renversement de transition

Que structure à l’évidence, la relation

Des dernières traversées de l’ombre des valeurs

Après la sortie de mer ainsi que du banquet

Où se trie, discute, distingue, la vie du corps

Que je prends non d’apparence aux mots dits nouveaux

Pas plus que je, d’antiquité néo post moderne

Rends compte à l’esprit de mémoire toute chair

 

Dernière actualisation : 27/08/00

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