Delirium
tremens 4
Je dis stop à
la loi extension nature
Où le moi est
lui même que de reproduction
Du deuil que
position de misère diffère
Au temps de
l’âme en abstrait rempart de remords
Qui gangrène de
l’homme surnature le corps
Que de palpable
hantise renvoie coupable
A vie, le tuant
de souffrance tentaculaire
Sous le masque
éthique de l’éternel tyran
Que confesse un
soleil en décomposition
De lien comme
un renversement de transition
Que structure à
l’évidence, la relation
Des dernières
traversées de l’ombre des valeurs
Après la sortie
de mer ainsi que du banquet
Où se trie,
discute, distingue, la vie du corps
Que je prends
non d’apparence aux mots dits nouveaux
Pas plus que
je, d’antiquité néo post moderne
Rends compte à
l’esprit de mémoire toute chair
Dernière actualisation : 27/08/00 |
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