Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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Delirium tremens 1

 

 

En passant, en passant, l’argent ! prêt de tout-jour

Si condition en est le temps, pourquoi ne pas

En un sens, cet amusement est bien entendu

A qui entreprend de comprendre comme prendre

Le fait en deux pas plus grand que le rêve joue

A cache-cache, la marche arrière pensée

En tête à tête peut être pourrions nous, vous

Renseigner en imagination vous nous offrir

En corps avant de ne valoir que d’être conquis

Comme tout enfant que l’on appelle à jouir

Un bon coup de tout à jamais il ne se passe

Qu’il est beau jeune et gentil, rien en somme

Bête que je suis de n’être pas au frai payeur

Qu’importe ! rendez vous êtes priés de rire

Si on nie que là en toute innocence

Après les derniers vers, au commencement

En corps et on crie silence, n’est ce pas, tu veux ? hein !

 

Dernière actualisation : 27/08/00

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