Delirium
tremens 1
En passant, en
passant, l’argent ! prêt de tout-jour
Si condition en
est le temps, pourquoi ne pas
En un sens, cet
amusement est bien entendu
A qui
entreprend de comprendre comme prendre
Le fait en deux
pas plus grand que le rêve joue
A cache-cache,
la marche arrière pensée
En tête à tête
peut être pourrions nous, vous
Renseigner en imagination
vous nous offrir
En corps avant
de ne valoir que d’être conquis
Comme tout
enfant que l’on appelle à jouir
Un bon coup de
tout à jamais il ne se passe
Qu’il est beau
jeune et gentil, rien en somme
Bête que je
suis de n’être pas au frai payeur
Qu’importe !
rendez vous êtes priés de rire
Si on nie que
là en toute innocence
Après les
derniers vers, au commencement
En
corps et on crie silence, n’est ce pas, tu veux ? hein !
Dernière actualisation : 27/08/00 |
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