Basil
Ah ! qu’il
était beau cet african type
Musée à ciel
ouvert à hauteur de soleil
Qui réveillait
les pulsions des bleus instincts
De la blanche à
l’ombre de silence votif
Ah ! qu’il
était beau cet african type
Avec sa douce
peau noire comme le lait
Parfumée aux
nectars de fleurs, veloutée comme le miel
Qui cœur de
lion invitait à la nostalgie de toutes légendes
Ah ! qu’il
était beau cet african type
De boire à même
sa bouche, la jouvence
Source des
jouissances de l’esprit du corps
Qui insufflait
d’un baiser fleuve, la vie
Ah ! qu’il
était beau cet african type
De tout son
long, là tel un dieu antique, hélas
Une écharde de
croix et de chaîne à réaction
Comptait dans
sa chair à rebours la fission
Ah ! qu’il
était beau cet african type
Au diable cet
imparfait qui n’est au présent
Que de peu, si
prêt, qu’il me semble le toucher
D’une plume qui
rétablirait le juste milieu
De l’aiguille
en la balance jour nuit
Dernière actualisation : 27/08/00 |
Webmaster : [email protected] |