Barbares
libérateurs
La poésie vers
la faim de l’an deux mille et plus
Après âme qui
vive l’impatience de nulle part
Station l’amour
que j’attends des banlieues centrales
N’arrive que lecture
du journal à pleine voix ferrée
A la page de
garde des faits divers transports en communs
Rhizome !je
veux ma vie que nous soyons au jour
En plan de
folie d’histoires la pousse du JE
Estal de l’être
là tout monde à vau l’eau vent
L’embouchure
versant des océans en la pâques
Universelle
relation d’où je viens suis vais
Clef et chaîne
des ages en faire lieu commun
Temps poète
mille et un ministères de trois
Si j’étais vous
comme la pierre d’avant le jour
De la loi
obéissant à la pente de la montagne
Fils j’irai
jusqu’au cou en ma nudité primitive
Hors le
sacrifice mis en lumière permanente
Souffler
l’espace du verbe sur les cendres de la vie
Dernière actualisation : 27/08/00 |
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