Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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Autres poèmes

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Triomphe

 

Amour que j'aimerais pleurer à chaudes larmes, l'hiver arrive…

Beaux enfants perdus en la modernité que réinvente l'arche.

Comme colombe rendez vous avant l'espoir sous l'arc de triomphe.

Débarcadère de la généalogie du hasard des forces de l'ordre.

Estampe, des hommes de paille, de main de laurier et de pointe.

France d'arlequin au chevet de la flamme du soldat inconnu.

Groseille du libre service des marques, bastille de la république.

Histrion de droits de l'homme relevant d'identité bancaire

Israël ; mère des lois de croix de croissant de lune morte de femme.

Jurançon de pierre qui me cloisonnez la tête ainsi qu'un zoo

Kremlin des arts, des armes, et autres regrets de circuits touristiques.

Livres anciens nouveaux testaments tombeaux des fanfarons.

Mer merde, l'amour est à appliquer sans vertu valeur de vêtements.

Noisetier, la morale, c'est la pesanteur du pauvre marchand à vide.

Odeur d'ébène brin d'olivier, souviens toi que l'attente est mortelle.

Proust, je franchis la ligne d'il y a cela l'enfance, objectif Babel.

Quai notre dame commun dieu trouve des nombres parfaits, l'amitié.

Rêveuse où la montagne se couche avec les rayons et les ombres

Seine, je ne vais pas mourir à vide, à vie, j'ai du génie.

Ténébreux sous la lampe à arc en ciel où la lumière se tamise quetzal.

Ur, je ne vais pas me contempler capitale de la douleur.

Vin de bruyères ainsi qu'un gant je retournerai la nuit et le jour en un...

Wagon nu pour que m'aime la vie même si c'est par derrière ou par devant.

Xante et que m'importe les mauvais garçons, les fous d'en face.

Yeux, il pleut, tu pleures, lève toi et marche sur l'eau sur l'autrement.

Zeppelins, un, deux, trois, soleil, RUDOLPHE.S PLESDIN.

 

Dernière actualisation : 31/07/2001

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