Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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QUANTIQUE

 

Désormais en position des choses sérieuses

rien de bien compliqué, je continue de la frapper,

cette porte, que quelqu'un doit ouvrir aux barbares.

Excusez du peu, je découvre la volupté d'être

aussi celui qui ouvre la porte libératrice.

D'être en deux lieux, à la fois, dedans et dehors,

tout en étant la porte que je frappe et ouvre.

Désormais en position des choses sérieuses :

J'élimine la mauvaise nouvelle sur le motif.

Je refuse d'être le pauvre du vase communiquant.

J'oublie les nations de notre départ d'acclimatation.

Je choisis d'apprendre à vivre la vie en campagne.

Je conquiers de l'ombre la place au soleil de tous.

Je marche sans hésitation la découverte du jardin.

Je balaie du hasard le souvenir de ma dérive.

Je m'éloigne à jamais de scrupules trop coûteux.

Je suis l'homme créëole du monde quantique.

Je ne change pas que de milieu, je centre la roue.

Je pénètre autre l'affranchissement des portes.

J'efface le seuil où le pas gagné est subalterne

Je ne deviens pas la gardien forcé de l'exil.

Désormais en position des chose sérieuses :

Il n'y a de dieu au delà de l'homme que l'homme.

Il n'y a pas du pré homme de dieu que l'homme.

Il n'y a pas de dieu de l'homme que l'homme là.

Il n'y a pas de dieu des hommes que l'homme fait.

Des lignes du monde que de lecture créëole

que l'homme à faire dieu dans le cas quantique.

Pour cela je mène la plus terrible des batailles,

contre moi, pour moi, l'être légitime poète,

du principat, en la guerre gagner la paix de l'homme,

que je sors du conflit testamentaire des nations,

que clef et chaîne de monuments communs je lie à l'œuvre.

 

Dernière actualisation : 31/07/2001

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