Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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PRINCIPAT

 

Serait-ce toi Lucas, l'octave de ma maison.

Après que de PLESDIN accroissement le monde soit

Créëole fondé d'illustre augure quantique.

Je lègue à la précoce fermeté de ton caractère,

la clef et la chaîne du principat de l'homme :

si, à trente trois ans tu en revêts la lecture plénière,

si, sain de corps libre d'esprit sain tu en revêts la beauté,

si, du labyrinthe tu gagnes l'ordre des triumvirs,

si, tu définis l'action qui fait front de rencontre,

si, à la merci des divisions tu t'en fait la liaison,

si, tu n'as de père que le pair que tu es Créëole,

si, tu n'as de mère que la mer du levant quantique,

si, d'ancêtres tu n'as que l'unité du monde les intérêts,

si, sans amour, ni haine, te fait l'homme à faire,

si, sans pitié, ni colère, tu te fait le monde à faire,

toute chaire que l'homme théiosaner je te sacre.

 

Dernière actualisation : 16/09/2002

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