Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

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LE PAS EST GAGNE

 

A celle qui celui pose le temps d'un instant l'éternité,

la parole qui écrit sera à jamais hauteur agissante.

Comme ceux qui meurent l'étaient déjà encore voir un corps,

Qui porte l'être à la terrasse du soleil maintenant l'homme.

Quand la tradition exige révolution pour les retardataires.

Une barrière, d'indifférence, de méfiance, de mépris,

qui s'installe dès lors publique dans les rangs

d'une culture affirmant progressiste sa structure

qui représente la politique de ses préjugés classés,

Patrimoines historiques, du travail sans feu ni lieu.

Qu'importe les idées qu'avance le parti assis qui prend

l'escalier des apparences fermées du monde fait jour.

Triste ensemble de réalité que fige le mot-mythe,

nation qui communique la maison des esclavages acceptés.

Créëole pour le meilleur vu que nous vivons le pire.

En guerre contre le silence de chacun en sa nuit

de service assis commun amour, le paysage d'ombre,

indivisible devant l'esprit de l'autre la chute.

L'acte poétique n'est plus de résurrection posthume

ni de dérive la tragique racine de la genèse,

mais du jardin des cendres, le phénix quantique

la clef qui des mots ouvre le bonheur tout simple,

d'être la chaîne qui structure l'esprit du corps.

 

Dernière actualisation : 31/07/2001

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