Poésie Rudolphe S. Plesdin

 

Page d'accueil

Autres poèmes

Ecrire à Rudolphe

 

 

ESPACE

 

J'ai une grande sympathie pour l'étoile,

qui du nord ou d'ailleurs, bien qu'elle soit morte !

Je ne peux pas suivre la lumière moribonde

d'un astre dont l'extension n'est plus que de misère.

Je ne légende plus la tête au ciel que pour me voir,

à la nue des secrets que de mon entendement.

A la suite de mes nécessités, j'en ferai au besoin,

d'un éclat qui m'est propre la cité promise.

Où des mains de l'homme ne naîtra que l'étoile

qui dans son sens guide l'instance d'ornements

que je destine à la chef des chaînes touristiques

pour mettre par écrit de grade du site préparatoire

le lauréat qui exprime les résultats de faire sa thèse

sur la didactique antithèse de l'observation vécrite

de la lecture créëole de l'homme du monde quantique.

Je veux, je vais maintenant la pas gagné la vie,

en suivant d'un notaire la clientèle épiscopale,

pour des forces qui s'annulent du corps solliciter,

de l'équinoxe, la structure mise en balance ,

qui du faste à son déplacement omnipotent, donne,

la voyance de l'ombre qui fait le soleil suprême.

Je n'ai de base que la relève des césars le sommet.

 

Dernière actualisation : 31/07/2001

Webmaster : [email protected]

 
Hosted by www.Geocities.ws

1