1.
L’environnement
À l’aube d’un nouveau millénaire nous ne pouvons passer sous silence le
problème de la pollution à travers le monde, surtout dans les pays
industrialisés comme ceux de l’Amérique du Nord et de l’Europe.
Voici le scénario : nous sommes tranquillement assis dans notre véhicule
à brûler de l’essence sans avoir le moindre soupçon de contribuer à la détérioration
de l’environnement.
1.1.
Le protocole de Kyoto
Le protocole de Kyoto est un engagement que les pays signent
volontairement dans le but de réduire leur émission de six gaz à effet de
serre pour contrer le changement climatique à l’échelle mondiale.
Les gaz nocifs à l’environnement sont :
le dioxyde de carbone, l’oxyde d’azote et le méthane, les
hydrofluorocarbures, les perfufluorocarbures et les hexafluorures de soufre, les
trois derniers sont produits en plus faible quantité mais néanmoins puissants
donc à contrôler. Le 16 décembre
2002, le Canada ratifia le protocole de Kyoto promettant de ce fait même de réduire
ses émissions moyennes de gaz à effet de serre à 94,8% de ce qu’ils étaient
en 1990 ce qui équivaut à une baisse de 6% pour le Canada d’ici 2012.
Deux des trois gaz les plus présents sont produit par l’utilisation de
l’automobile, c’est donc dire que c’est un problème majeur à résoudre.
Cette close fera que plusieurs industries produisant une grande quantité de ces
gaz devront se conformer aux exigences. Selon
le plan émit par le gouvernement du Canada, les industries pétrolières et
gazières de l’Alberta seront gravement atteintes.
Cependant, au début de l’année 2003, le gouvernement du Canada a
retiré les constructeurs automobiles de ceux qui auront à réduire les émissions
de gaz à effet de serre dans le but d’atteindre l’objectif visé par notre
pays.
1.2.
La pollution automobile
Mais qu’en est-il des conducteurs, que pouvons nous faire pour aider
notre pays à atteindre le but fixé par Kyoto ?
Et bien nous avons qu’à penser aux conducteurs de véhicules sports
utilitaires en plein centre ville. Ces véhicules consomment plus que le double
de l’essence (12 L/100km) qu’une petite voiture pourrait le faire (4,6
L/100km). Bien sûr, si seulement
une personne consent à convertir sa grosse bagnole contre une petite auto il
n’y aurait pas grand changement mais si tout le monde y met du sien nous
pourrons baisser la statistique qui dit que la pollution en milieu urbain dans
les pays industrialisés est due à l’automobile dans un ordre de grandeur de
30 à 90 %.
Mais
il n’y a pas seulement qu’au réchauffement climatique que les automobiles
nuisent, il y a aussi la santé de milliers de personnes vivant dans les grandes
villes qui est en danger. Sous
l’apparence de fumée, ils rejettent de nombreuses substances nocives suite à
la combustion de l’essence dans le moteur à explosion comme entre autre :
du monoxyde de carbone, des oxydes d’azote, des composés organiques
volatiles. Mais ce n’est pas
tout, d’autres substances mais en plus petite quantité sont aussi rejetées :
du plomb, du dioxyde de soufre et de l’hydrogène sulfuré. Sans oublier le
dioxyde de carbone qui n’est pas reconnu comme un polluant comme tel mais qui
joue un rôle dans l’effet de serre. Les
éléments mentionnés ci-dessus peuvent s’avérer dangereux pour des
personnes souffrant d’asthme. Ces
personnes peuvent être sujettes à des crises plus fréquentes et plus sévères
qu’au par avant. Le plomb, lui,
peut causer des troubles neurologiques chez les jeunes enfants.
Bref,
tout ceci n’est pas rose, qu’elles sont les solutions qui s’offrent à
nous, et bien il y en a plusieurs. On
pourrait diminuer l’utilisation de l’automobile et inviter les gens à
l’utiliser avec modération, favoriser les transports en commun ou le
covoiturage, imposer une taxe en fonction de la puissance du moteur comme on
voie déjà dans certains pays de l’Union européenne ou bien se tourner vers
de nouveau type de véhicule sur le marché ou sur le point de l’être comme
la voiture hybride qui est pour le moment boudée par les consommateurs.
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