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BFM Foisy
Match des étoiles 2030

Les archives des missions actuelles se retrouvent sur
http://cf.groups.yahoo.com/group/mtl2030



BFM Foisy (à compléter par le maître de la mission)

BFM Foisy
Maître : Guillaume LeVasseur
Joueurs : Anik, Jean-François.

Courriel de Gui

En Jeu:
"USS Foisy"
avec Hikaru Matsushita
Tobie "Joe Pot"
Karl Gloauguer
Tiamat
Nelli Thuryn
Sophie Roberge

R-Type XXXII: The red baron était un jeux de réflèxes avant tout et une épreuve pour les pouces ensuite et enfin, on pouvait dire que son tout était un divertissement passable.  Mais Hikaru n'en avait rien à foutre.  Il était visiblement pertubé, mais s'efforçait de le cacher. Le studio luxueux de son oncle n'en était pas la cause, même si le style décontracté de sa mise contrastait cruellement avec la décoration de style néo-renaissance. 
Exaspéré, Hikaru éteignit le playstation et décida qu'il serait temps d'aller s'entraîner au dojo le plus proche.  L'entraînement lui manquait aussi cruellement que Tsutomi, qui avec son sourire et sa naiveté éclairait la journée. Hikaru prit son  kimono, le fourra promptement dans son sac et ouvrit la porte avec un air déterminé qui d'une seconde à l'autre devint un visage convulsé.  La souffrance et la mort, quelq'un infligeait une blessure profonde à l'ordre, à l'harmonie de la natuure et sa porpre harmonie s'en trouvait compromise.

"Tout devient plus clair" échappa Hikaru, sans se rendre compte de la présence de son camarade.

"Mais quoi au juste, la stupidité de Paradis et de son cours d'histoire" répliqua la silhouette de la porte avec un rire moqueur.

Martin Paradis était un prf brillant, mais Hikaru savait que son caractère hyperactif ne faisait pas fureur. Oubliant ce commentaire sur l'école, Hikaru se reprit, puisant en-lui--même la force de paraître imperméable au message troublant que lui transmettait la terre:

Hikaru--Tobie, que viens-tu faire ici, je t'ai dit que je ne voulais pas de ton pot!

Tobie--Non, mais te conaissant, je croyais que tu aimerais venir avec moi au pied du Mont-Royal, la rumeur veut qu'il y ait un vieux laboratoire disparu.

Un vieux laboratoire disparu!! Hikaru en avait entendu vaguement parler.  Ce genre de laboratoire pourrait sûrement contenir des indices intéressants de paranormal, voire peut-être des preuves du passage d'êtres mystiques.
Hikaru décida de suivre son camarade délinquant, non qu'il respctait sa désinvolture, mais il voulait en savoir plus.  En chemin, il oublia vite celui qui aurait pu devenir son premier ami en sol québecois et se
tourna en lui-même pour retrouver la sérénité et la volonté qui lui permettait de puiser à même la magie de la terre.  Il y parvint, identifiant du coup une série de traces à demi-dissimulées par celui qui occupait probablement le laboratoire abandonné.

"Nous y sommes presque" affirma Hikaru, alors que Tobie laissait échapper un filet de fumée de canabis.

"Mais ou donc" répliqua-t-il?

"Dans votre tombeau", cinq hommes avaient surgi, encerclant les deux adolescents.  Le chef, un homme au nez crochu et aux cheveux noirs ajouta:
"Dommage, mais personne ne doit savoir ce que nous sommes venus chercher et prouquoi?"

"Tiamat, le dragon noir, je te reconnais et je te le dis, je ne me laisserai pas corrompre, les dieux du stade te somment à travers moi d'abandonner ta quête de douleur!!"  Le visage d'Hikaru irradia la puissance alors qu'il sortait son fidèle eastwood de son sac à dos et qu'il prenait une position de combat.

Restant de glace, Tiamat répliqua: "Qui es-tu pour percer mon déguisement et pour connaître mon nom? Peu-importe, draconiens noirs, emparez-vous d'eux et tuez-les!"

"Merde" cria Tobie....et effectivement, il venait de se foutre dans un
sacré pétrain, mais pas Hikaru.....
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Robin essayait de faire ses devoirs, mes les jumeaux ne voulaient pas coopérer.  Ils se prenaient allégrement pour des fous du roi et racontaient sans cesse la blague de la grenouille à grande gueule.  Alors Robin décida d'ouvrir la Holovision.  Sa mère l'avait laissé aux tendres soins des jumeaux pour aller rencontrer l'un de ses douze pères potentiels qui venait de recevoir son premier commandement sur le bâteau de guerre BFM Foisy qui allait être baptisé.

"Le BFM Foisy est le premier Bateau construit par la nouvelle marine mondiale et sera commandé par le Capitaine Karl Gloauger que l'on voit ici en compagnie d'une fiancée présumée.  Rappelons que le capitaine est l'un des plus grands partisans de l'union au québec. L'inauguration va bon train et l'on procédera bientôt au lancement du bâteau.  Ici Nelli Thutyn du port de Montréal qui laisse la place à quelques message publicitaires...."

Les messages suivirent dont une partucilièrement drôle qui défiait l'auditeur à la regarder dans les yeux, puis ce fut le retour au reportage, mais tout avait changé.  Un homme se tenait devant la caméra, tenant Sophie Roberge dans son bras droit alors que la journaliste parlait avec panique : "Un homme nous dit qu'il a prit le contrôle du bateau et qu'il ne faut en aucun cas envoyer la police, il dit que si la police approche il tuera tout le monde.. au secours Tchhhhhhhhh!"

Le nuage de statique en 3-D remplaça l'image du  vaisseau assailli....

Courriel de Anik

    Après le journal télévisé, il eut un bref silence avant que Martine parte en sanglot.
Martine :    Maman, je ne veux pas qu’elle meurt!
Martin :    Mais fais-toi en pas, elle va s’en sortir, elle s’en sort toujours.
Martine :    Ne fais pas l’hypocrite, tu sais bien que depuis les forces de la région sont parties pour un nouveau continent plus de 88% des attentats terroristes, si on compte les attaques des pirates et des terroristes marins, dans la dernière année, dans tous les cas les terroristes ont eu ce qu’ils voulaient.

    Ce fut assez pour convaincre le deuxième jumeau qui avait tenté de garder son calme à partir en larme lui aussi.  Robin s’approcha et les serra fort dans ses bras.  Après quelques minutes les jumeaux furent calmés.

Robin :     Je connais un de mes amis qui est très rusé et très habile, je vais aller le voir pour qu’il aille sauver maman.
Martin :    C’est quoi cette histoire d’ami imaginaire, à ton ton de voix, cette histoire n’est pas vraie.
Robin :    Tu te trompes cette histoire est très vraie, je suis peut-être un peu nerveux, car cette personne est un Super-Héros.
Martine :     Un Super-Héros comme tu dessines toujours dans ton bloc-notes.
Robin :    Ouin, genre ça, comment ça tu fouilles dans mon bloc-notes.
Martine :    Car je cherchais le nom du logiciel que tu utilises en classe pour tes cours d’algèbre, je me rappelle que tu notes toujours tous les logiciels que tu utilises dans ton bloc-notes.
Robin :    C’est bien, c’est bien, mais je dois partir, donc verrouillez à double tour quand je serai parti.

    Robin alla dans sa chambre, pris son sac, embrassa les jumeaux avant de partir.

Martin :    Mais qu’est-ce que tu as dans ton sac?
Robin :    C’est mon imperméable, au cas qu’il pleut.
Martine :    Mais ton imperméable est dans le garde-robe à côté de la porte d’entrée, je vais aller te le chercher.

    Robin resta sans bouger et prit l’imperméable, ouvra son sac face à lui, fourra l’imperméable et partit à la course en faisant semblant de ne pas comprendre la question que Martin lui posait.
    Robin se dirigea à la station de Métro pour se rendre ensuite au Vieux-port.  Arrivé au Vieux-port, il avait foule, déjà que la foule était nombreuse pour l’inauguration du BFM Foisy, le reportage à la télévision attira une tonne de curieux.  Robin chercha un endroit pour se changer, mais il y avait des gens partout.  Il avait pensé d’aller à des toilettes publiques, mais il y avait une file, il ne voulait pas que la personne qui attendra après lui vois entrer un garçon et sortir l’idole d’un peuple : Stella, l’étoile de l’espoir.
 
Robin (en pensée) :     Je me changerai plus tard.  Sur le bateau, je devrais trouver un endroit, mais avant tout je dois me trouver une embarcation pour me rendre.

Tous les endroits touristiques où des embarcations étaient à louer étaient fermé en cette heure de la soirée.

Robin (à lui-même) :  Pot d’épices !  Quand on se promène le jour, on nous harcèle pour louer leur engins ridicules, mais quand on en a veut vraiment un, ils sont tous fermés.

Un passant :    Excusez de vous interrompre dans vos pensées, mais si j’ai bien compris, vous cherchez un véhicule marin.
Robin : Exactement!
Le passant :    Bien, je suis un des commerçants que vous accusez de harcèlements, je peux vous faire un prix, mais comme on n’est pas dans les heures régulières, vous devinez bien que c’est double tarif.

        Après avoir payer un montant pour l’embarcation pour la nuit au complet, Robin se retrouva sur une bicyclette nautique.  Alors Robin pédala de toutes ses forces pour faire tourner les deux grosses de cet engin très lent.  Ayant quitté la rive il se dirigea vers le bateau.  Ce dernier avait à peine quitter le port pour hors de portée de tir des armes normales des policiers.  Robin décida de se changer sur la bicyclette pour qu’il soit prêt quand il sera au bateau.  Ce ne fut pas sans peine qu’il a mit son costume et de garder l’équilibre sur la bicyclette qui se laissait bercer sur les vagues.

        Pendant ce temps, les jumeaux suivent anxieusement les informations à la holovision. Journaliste :   Vous voyez de notre vue d’hélicoptère que la flotte de la police s’est fait couler en l’espace d’une seconde, même en faisant passer les images au ralenti, nous ne pouvons pas voir les torpilles ou missiles qui les ont fait couler. Attendez, une escouade en moto-marine arrive et... Non les terroristes ont vraiment un système de défense incroyable, les neuf moto-marines ont piqué du nez en même temps et les policiers tentent de rejoindre le port à la nage.  Mais qu’il y a-t-il? Quelle est cette embarcation qui se dirige lentement vers le BFM Foisy, on dirait cette sorte de vélo nautique que les touristes louent pensant à tort que c’est amusant. Mais quel est cet homme? faisons un gros plan s’il vous plaît.

À cet instant, on voit un garçon de dos enlever ses pantalons cargo, pour enfiler des collants noirs.  Le garçon avec cagoule et grande cape se retourne et il enfile de grosses bottes de cuirs.

Martine :       Tu crois que c’est lui l’ami de Robin?
Martin :        Bien non, tu n’as pas compris, c’est un Super-Héros, pas un clown exhibitionniste qui se déshabille à l’holovision.
Martine :       Mais c’est un ami de Robin...
Martin :        Ouin, vu de cet angle, c’est possible que ça soit lui, maman est vraiment en danger!

                Stella était sur le bicyclette nautique, mais il avait l’étrange impression d’être observé.  Il avait entendu plusieurs moteurs tomber en panne tous en même temps, il regarda son embarcation et fut content de ne pas avoir de moteur.  Il pédala, ç’a pris une bonne demi-heure pour pouvoir se coller sur le BFM Foisy, il avait de la difficulté à avancer à cause des énormes vagues que le bateau faisait.  Finalement, il rejoint le bateau, mais il était bien trop haut pour qu’il puisse y monter, il tenta avec son fouet, mais encore là, il n’était pas assez long.  Il vit un hublot un peu plus haut que lui, alors il frappa plusieurs fois dans le hublot avec son fouet et quelqu’un l’ouvrit.  Alors il tenta de donner un petit coup de fouet vers l’intérieur.  Le bout de son fouet se plaça dans le trou du hublot.  Il tira doucement et arrêta, il répéta ce geste quelques fois pour enfin voir ses attentes récompensées, la personne qui avait ouvert le hublot attacha le fouet, donc Stella put monter.  Il se hissa jusqu’au hublot laissant la bicyclette nautique à la dérive.  Au hublot, il s’aperçut qu’il était trop petit, il ne pouvait qu’y passer sa jambe.  Alors il resta à l’extérieur et cria pour communiquer avec son allié.
Stella :        Merci, mais je suis encore bloqué.  Qui êtes vous?
Voix :          Je suis Nelli Thutyn, je suis une journaliste qui fut enlevée lors du départ du bateau.  Vous, qui êtes-vous, un pêcheur ?
Stella :        Bien non, je suis un Super-héros anonyme, mais mon nom de travail est Stella, l’étoile de l’espoir, je viens sauver les otages, combien vous-êtes?
Nelli :         Dans cette cabine, nous sommes trois, mais je crois qu’en tout il y a une centaine d’otages.
Stella :        Il en a bien trop, je pourrais jamais les sauver !
Nelli :         Ce n’est pas moi qui a dit que vous étiez un Super-Héros, assumez donc vos dires.  Mais que voulez-vous faire perché à ce hublot?
Stella :        Je cherche un moyen d’entrer dans le bateau, il me semble que ça se voit.  Mais attendez, je vois une petite porte plus à droite, si je me balance avec mon fouet, je crois que je pourrai la rejoindre, quand vous ne sentirez plus de pression sur le fouet, détachez-le.

        Alors Stella descendit un petit peu, et commença à courir au mieux qu’il pouvait sur la coque du bateau et retomba, ensuite avec l’élan il tenta à nouveau et ce fut au quatrième essai qu’il réussit.  La porte n’était pas très grande, Stella pensa d’abord qu’elle devait servir à une entrée clandestine aux nains, mais laissa tomber le pourquoi de la porte et entra.  Une fois entrée, Nelli détacha le fouet comme convenu et Stella le récupéra.  Il se retrouva, dans un petit garde-manger avec plusieurs caisses de cannes de conserve.  Il sortit de la salle et se retrouva dans un couloir, il vit deux hommes armés faire la garde, alors il retourna dans le garde-manger.  Il tâta les murs, à savoir s’il pouvait les défoncer, mais il ne pouvait pas.  Soudain il entendit des pas allant dans sa direction, alors Stella se cacha dans un coin avec sa cape, quelqu’un entra et referma la porte.  La lumière s’ouvrit.
Nelli :         Ouin, une cape noire sur un mur blanc, ce n’est pas trop discret.
Stella :        Mais que faites-vous ici?
Nelli :         Après avoir détacher votre fouet, j’ai fait venir un garde lui disant d’aller voir avec dans le garde-manger, car un Super-héros venait d’y entrer.  Le garde partit à rire.  Quand il reprit son souffle, il me dit que si j’avais vraiment faim il y avait des moyens plus simples d’avoir de la nourriture, donc il me laissa  aller seul au garde-manger.  Quel votre plan comme vous êtes à l’intérieur du bateau?
Stella :        Je vais sauver les otages.
Nelli :         En détails, ça veut dire quoi?
Stella :        Bien, j’avais d’abord penser donner des bonbonnes d’oxygène à tous les otages et ensuite de faire couler le bateau, mais comme il y a plus de cent
otages, je devrai trouver mieux.
Nelli :         Comment êtes vous arrivé jusqu’au bateau en fait?  Tous les autres véhicules qui ont tenté d’approcher le bateau ont eu de féroces pannes, mais deux hélicoptères de notre chaîne ont échoué, il n’en reste qu’un seul qui se contente de prendre des images de loin.
Stella :        Les héros ne dévoilent pas leurs secrets, mais comment savez-vous tous ça?
Nelli :         Avec ma pagette, je reçois des informations de l’extérieur, c’est justement des gens du dernier hélico qui m’ont envoyé ces informations.  Attendez, je reçois un nouveau message :  U-N- -H-U-L-U-B-E-R-L-U-  -A-R-R-I-V-É- -E-N- -V-É-L-O- -N-A-U-T-I-Q-U-E- -V-I-E-N-T- -D- -E-N-T-R-E-R- -D-A-N-S- -L-E- -B-A-T-E-A-U- - -.  Vous êtes arrivé en vélo nautique ha ha ! ! !
Stella :        Bon ça va, vous avez découvert mon secret, mais vous m’avez faite penser que le bateau doit posséder un champ d’absorption d’énergie électrique, je me rappelle d’avoir vu ça, si je ne me trompe pas, c’est dans un vos reportage, Madame Thutyn.
Nelli :         Mais c’est fort possible, le bateau a comme cargaison les derniers modèles de véhicule au gaz de l’armée américaine, donc ils se gardent en position de contrôle.
Garde : Ne videz pas toutes les cannes de conserve, le voyage dure plusieurs jours.
Nelli :         Non, mais comprenez-moi, c’est long à ouvrir une canne de conserve avec une lime à ongle.

        Pendant que Nelli répondait, Stella se cacha derrière la porte, le garde ouvrit la porte en répondant,

Garde : Attendez que je vois aide avec moi poign...

        Et Pow, un goût de bâton de majorette derrière la tête.

Garde :         Ayoy don !

        Le coup n’a fait que surprendre le garde qui en échappa son poignard, Nelli le saisi et menaça le garde, tandis que Stella continua de fesser le garde voulant absolument réussir à l’assommer.

Nelli :         Vous allez nous reconduire dans la cale du bateau.

Garde :         D’ac,cord, mais, mais dites, ay, à, votr,ay copain d’ay, rrêter de me frapper!

        Stella arrêta et prit le fusil électrique du garde et le menaça pendant qu’il allait parler à Nelli.

Stella :        Je ne crois pas qu’on pourra libérer tous les otages, mais il serait bien que vous quittiez le bateau avec quelques personnes importantes, je ne sais pas, genre le capitaine et sa fiancée.  Je resterai à bord, tentant de neutraliser la source du champ d’absorption d’énergie et vous communiquerez avec moi par la pagette.  Une fois désamorcée, je tirerai une fusée de détresse, si j’en tire quatre, c’est que tout le bateau est neutralisé.
Nelli :         Avez vous des fusées ?
Stella :        Non, mais je trouverai, ça vous va?
Nelli :         Je ne veux pas perdre mon scoop, mais je peux envoyer mon cameraman à la terre, et je vous laisserai sa pagette si vous voulez être aussi au courant des dernières nouvelles.
Stella :        Marché conclu.  Allez avec le garde récupérer votre cameraman et trouver une embarcation convenable pour vous sauver, je reviens dans 5 minutes avec le capitaine et sa fiancée.
Garde : Bonne chance !
Stella :        Comment ça Bonne chance ?
Garde : Le capitaine est dans une cabine juste à côté de l’escalier, il y a cinq gardes à l’intérieur et vous...  Vous n’êtes pas capable d’en assommer un et ne vous faites pas la différence entre un fusil électrique et un rasoir électrique.
Nelli :         Pourquoi vous nous aider ?
Garde : Je ne sais pas le nom de celui qui nous a engagé, mais au prix qu’il nous a payé, il n’a pas eu les mercenaires les plus loyaux.
Stella :        Mais donnez-moi votre fusil!

Le garde pris son fusil dans sa botte et tira un coup en direction de Robin.  On n’entendit qu’un « spssssou ».  Ensuite le garde le donna à Stella.

Garde : C’est vous qui l’avez dit, champs d’absorption d’énergie électrique.  Il convertit l’énergie pour faire fonctionner et avancer le bateau à grande vitesse, je crois.  Mais ne demandez pas pourquoi tout ce qui est à pile ne marche pas.
Stella :        Et son pagette ?
Nelli :         Il marche avec des cristaux liquides qui ne demandent pas beaucoup d’énergie, l’énergie thermique du corps suffit à l’alimenter, donc on manque de pile, seulement quand on meurt.
Stella :        Alors, comment les gardes sont armés ?
Garde : Les plus bêtes encore avec leurs fusils électriques, les autres comme moi avec un couteau.  Je crois que ceux sur le pont ont des fusils à poudre.
Stella :        Si les cinq n’ont pas de fusils en état, je pourrai libérer le capitaine et sa fiancée sans problème.
Garde (à Nelli) :       Est-ce qu’on peut y aller avec lui? il est tout jeune, ça serait triste qu’il meurt.
Nelli :         Ça me va.

        Alors les trois sortirent du garde manger, Stella longeant les murs pour ne pas se faire voir.  Le garde alla chercher le cameraman.  Les quatre ensemble se
rendirent à la cabine où le capitaine était enfermé.  Le garde se mit une poche de patate sur la tête, pour ne pas se faire reconnaître de ses confrères.  Le cameraman avait pris le couteau du garde, tandis que Nelli quelques cannes de conserve.  Alors les 4 entrèrent.  Nelli lança ses cannes de conserves sur le garde le plus près de la porte, Pochedepatateman réussit à assommer un garde avec son poing et prit le couteau de ce dernier.  Stella fouetta les deux autres gardes qui se lamentèrent des coups reçus.  Le cameraman prit le dernier par le bras et put l’immobiliser avec le couteau.  Pochedepatateman assomma les deux que Stella étaient en train de torturer avec son fouet.  Le cameraman trouva de la corde et attacha les gardes et Neilli les baillona.  Stella et Pochedepatateman libérèrent les deux otages qui étaient attachés sur des chaises.
Sophie  (à Pochedepatateman):   Vous êtes mon héros, mon sauveur, je vous suis reconnaissante corps et âme, surtout corps.
Karl :          Merci bien, Sophie reste avec moi, on ne sait pas si on leur faire confiance, surtout lui, il est habillé pareil comme les gardes autre sa poche de patate je dois le reconnaître.
Nelli :         N’ayez pas peur, vous ne me reconnaissez pas?
Nelli Thutyn de Montréal Scandale en direct.

Les prisonniers suivirent donc leurs sauveurs, Karl gardant son bras protecteur  autour des hanches de Sophie.  Les personnes descendirent donc dans la cale.  Le garde qui avait enlevé sa poche de patate avait réussit à donner le droit de passage à chaque endroit.  Dans la cale, ils trouvèrent un petit bateau à moteur
que l’infirmerie américaine avait.
Stella :        Karl et votre amie, tout comme le cameraman, vous allez vous cacher sous le banc, tandis que le garde conduira le bateau et vous amènera en sécurité.
Karl :          Je suis le capitaine de ce bateau, je ne veux pas l’abandonner à ces brigands.
Cameraman :     Moi aussi, je ne suis pas sûr de vouloir partir.
Sophie :        C’est parfait ainsi, je partirai donc seule avec ce monsieur musclé qui m’a sauvé la vie si héroïquement.
Karl :          Hmm, finalement je vais partir et vous (prenant le cameraman par le bras), vous venez avec nous, c’est un ordre du capitaine.


Courriel de Gui et JF

Alors que Ryan, l'homme dragon, faisait sa ronde quotidienne en survolant les environs de son "domaine" et en chemin pour son entrainement, son père adoptif, le prof.  Johnson, lui communiqua le message suivant par son transmetteur de pensées (télépathie).

- Fils, le groupe de draconiens qui rode dans le secteur depuis quelques temps est revenu. Cette fois ils sont plus près du labo. Je ne crains qu'ils finissent par nous découvrir.
- Non, là c'est trop, nous avons été assez patient, cette fois je vais m'en occuper personnellement.  Peux-tu me préciser leur position.
- Ils sont à environ 1 km du versant sud de la montagne, directement en face du labo.
- D'accord j'y vais tout de suite.
- Attends un peu, ils ne sont pas seuls cette fois, ils encerclent 2 autres personnes, des adolescents je crois. Tu ferrais mieux d'aller voir avant qu'il aie des ennuis mais sois prudent tout de même.

Ryan interrompit la communication avec son père pour se rendre à l'endroit indiqué par celui-ci. Il se mit immédiatement en vol, tout en sortant ses griffes. Il arriva bientot au dessus du sentier, qui était à découvert, donc il voyait parfaitement tout ce qui se passait. Il remarqua avec évidence que les 2 ados étaient pris au piège par cette bande de draconiens noirs sans pitié qui se rapprochaient dangereusement d'eux. Il fondit donc droit sur eux.

Soudain Tobie regarda dans les airs et appercut une silhouette foncée arrivé à toute vitesse. Prit de panique il s'écria :

- HA Hikaru, r'garde là haut, en v'là un autre !!!!
- Hein... Quoi... ? (Hikaru baissa sa garde et regarda dans les airs, les 5 hommes noirs en firent autant)

Tous furent pris par surprise lorsque Ryan aggripa l'un des hommes par les épaules avec les griffes des jambes pour le soulever de terre. En volant sur place, avec le draconien bien empoigné dans ses griffes il lança au reste du groupe :

- Vous, il y a quelques temps que vous rodez dans les parages. Quoi que vous vouliez vous ferriez mieux de déguerpir et de ne plus revenir. Je vous conseille aussi de laisser ces jeunes tranquilles si vous ne voulez pas d,ennuis. Je ne tuerai personne cette fois, mais la prochaine fois, je sévierai.

Tiamat restait de glace devant ce nouveau venu et lança à son tour :

- Qui c'est ce monstre, on a rien a foutre de toi. Laissez le faire les gars, occupez vous des 2 autres, je vais lui faire mon affaire moi à cet demi-portion.

Les 3 autres hommes se dirigèrent alors vers Tobie et Hikaru. L'un alla directement sur Hikaru et essaya de le plaquer. Hikaru évita la charge avec agilité pour lui flanquer un coup amorti dans les côtes. L'homme dragon encaissait le coup mais chuta tout de même un peu plus loin. Un autre, approcha prudement vers Tobie. Il essaya de le frapper à la figure, mais Tobie se pencha de justesse et se releva tout en lui administrant un superbe Uppercut sous le menton. Tobie se frotta la main qui devint soudainement douloureuse. Voyant l'homme un peu étourdit, il le frappa dans l'abdomen avec son pied. Mais le 3e draconien le prit par derrière en l'agrippant par les bras et la taille. Il gueula :

- À l'aide Hikaru, vient m'aider !

À ce même moment, Ryan lacha son gaillard qui s'assoma sur le choc. Il se rua sur le chef en lui jetant :

- C'est moi que tu traite de monstre connard, t'es tu deja vu en face ???

Il l'agrippa par la gorge, et le souleva pour aller l'accoter sur un arbre.

- Je t'avais averti. Maintenant tu rappelles tes hommes avant que je me fâche pour de vrai.

Ryan insista sur son emprise sur l'homme qui essayait de se dégager.

- D'acc... ord... les gars... on se... koff koff... on se replient.

3 des hommes se levèrent et s'enfuirent immédiatement. Ryan lâcha Tiamat qui lui jeta sèchement :

- T'as gagné cette fois, mais cé pas fini tu vas voir.

Le chef se retourna pour suivre ses hommes. Le dernier du groupe qui était encore inconscient, se réveilla, mais ne perdant pas de temps, Hikaru le frappa derrière la tête avec son fidèle Eastwood... Ce qui eut aucun effet sur « l'homme » qui se mit à ricaner bruyamment, puis, il disparu soudainement devant les yeux ébahi de Tobie et de Ryan.  Hikaru serra les dents et laissa échaper :

« C'est le seigneur noir.....  mon dieu...non, la terre en sang sous le coup de l"outrage final et le dernier dragon  qui crache son sulfure engufle la terre de noirceur.  Qui était cet homme, qui porte le roi noir en son sein, comment l'arrêter..... »

Hikaru se roulait de côté, il ne parvenait plus à contrôler les noires prophéties qui fusaient dans son cerveau.  La puissance de l'être qu'il venait d'affronter brouillait complètement son lien à la terre qui se trouvait pollué par la noirceur de l'esprit.

Ryan ne se laissa pas impressionner par les convulsion du jeune adolescent et il le leva de terre pour lui asséner quelques gifles et le ramener à la réalité :

« On m'avait dit que le stress pouvait avoir des effets néfastes, mais ceci est ridicule!!!! Allons, reprends-toi petit », lança-t-il en asséna quelques gifles au jeune homme.

« Je vous prierait d'arrêter, domo arigato pour ce réveil, mais je vais mieux. »

Tobie riait : « Et dire que c'est moi qui en fumait du bon. »

Hikaru s'agenouilla et se mit à se concentrer, il maintint cepandent la conversation avec ryan :

HIKARU-Vous habitez le laboratoire n'est-ce pas?

RYAN-La plupart du temps, mais ces temps-ci je passe mon temps à chasser ces terroristes qui se disent draconiens.

HIKARU-Vous avez des sectes par ici?

RYAN-Ne me demande pas, ce n'est pas ma spécialité.

HIKARU-J'en déduits qu tu n'habite pas seul, mais que tu es isolé..  Voudrais-tu me présenter à ton ami?  Comme tu le vois je manque de camarades de valeurs...Je te défierais à une partie de baseball, mais malheureusement, nous avons un grave problème.  L'homme que nous avons affronté, Tiamat...est en fait un avatar diminué, mais néanmoins dangereux d'un dragon ancien.

RYAN-Tu es complètement cinglé petit.....

HIKARU-Peut-être, peut-être pas.  Si c'est vrai, tu pourrais gagner à en savoir plus,, ça pourrait t'en apprendre plus sur toi-même, qui sait Tu es prêt à enquêter sur les draconiens avec moi?

Courriel de JF


Ryan : Attend un peu petit, je ne comprends pas très bien toutes tes histoires sur ce seigneur noir et ce Tiamat qui serait un avatar diminué comme tu dis. Il est clair que ces types sont comme moi, mais même moi je n'ai que de vagues souvenirs sur mes origines, j'veux dire, j'ai des parties humaines comme vous mais de dragons aussi. Néanmoins, je crois que je devrais rentrer et en parler avec mon père, il est grand temps d'éclaircir tout ça.

Hikaru : Comme ça c'est avec ton père que tu vis ?

Ryan : Ouais, en fait non... ce n'est pas mon vrai père mais il m'a recueilli il y a plusieurs années.

Hikaru : Qu'est ce qui s'est passé ? Pourquoi est tu là ?

Ryan : Impossible de répondre petit, la seule chose que j'me rappele c'est de voir d'autres gens comme moi qui couraient partout, c'était la panique. Je crois qu'une catastrophe est arrivée, j'entendais mon nom crié partout, Ryan, Ryan... mais impossible de me souvenir qui s'était. Mon père m'a dit que la seule chose que je pouvais dire quand il m'a trouvé c'est Ryan, Ryan... alors il a cru que c'était mon nom mais ...

Hikaru : Inutile d'en dire davantage, l'heure n'est pas à la nostalgie, je crois savoir qui est votre père.  Ce ne serait pas le professeur Johnson par hasard ?

Ryan : Oui c'est ça, mais comment sais-tu ça petit ?

Hikaru : Il y a quelque rumeurs qui ont circulé pendant quelques temps comme quoi, un certain mr. Johnson aurait adopté un jeune enfant extraterrestre, mais je ne sais rien sur lui.

Ryan : Je vois d'accord ! Bon j'y vais, alors vous pouvez venir avec moi si vous voulez.

Les 2 adolescents suivirent l'homme dragon vers son "antre". Ils arrivèrent après environ 15 minutes de marche devant un grosse paroi rocheusse.

Courriel de Gui

Tobie pénétra dans le Laboratoire illuminé de partout. Tobie ne put s'empêcher de faire une remarque subtile.

TOBIE--C'est aussi bien décoré que dans star trek ou que chez moi à
Noël ici!!!

Un regard noir de Ryan et d'Hikaru le força immédiatement à se taire, ses compagnons n'avaient semblent-ils pas l'humeur à rire. En fait Ryan semblait intrigué par la situation, mais il n'appréciait pas de commentaires légers sur ce qu'il estimait être son domaine personnel ou à tout le moins la maison paternelle. Les trois compagnons se dirigèrent donc vers l'écran de contrôle principal qui permettait au professeur d'interagir avec l'ordinateur principal et le système de sécurité du bâtiment.

RYAN--Vous devez promettre de ne pas parler de ce que vous allez voir à personne.

HIKARU--C'est plus qu'une promesse, c'est un serment sacré que je scelle en exécutant la révérence du dieu Jenno Tenno.

Tobie bafouilla une promesse incompréhensible qui irrita Ryan...Il faudrait s'occuper de ce jeune indiscipliné plus tard.

Une voix assurée interrompit ce serment ridicule...

VOIX--Clata verata nict"atchoum!"...je voulais vous saluer dans la langue dragoniar, mais mon rhume m'en empêche.

HIKARU--La langue dragoniar est la langue natale de notre
ami(en pointant Ryan).

L'homme s'approcha, il était de taille moyenne et portait un sarrau blanc.

JOHNSON--Je suis le Professeur Johnson, j'étais anthropologue lors du premier contact avec les dragoniar et je me suis aussi occupé de Ryan en tant que médecin, géologiste et biologiste.

HIKARU--Mais vous êtes mort, je l'ai vu à la télévision, ils ont
découvert votre corps.....

JOHNSON--Je vous expliquerai un jour pourquoi personne ne doit connaître mon existance, mais tout cela n'a pas d'importance pour l'instant.

Johnson se tourna vers l'écran et pianota sur quelques touches pour faire apparaître une image d'un bâteau amaré au vieux(très vieux) port.

JOHNSON-Ryan, il y a une prise d'otage sur le BFM Foisy, ce bâteau qui est sur l'écran.

RYAN--Ma première mission??

JOHNSON--Je crois oui, regard bien ce que je vais te maontrer, je vais magnifier la vedette qui approche du naivre.

Hikaru eut un haut le coeur viloent quand il reconnut le conducteur de la vedette rapide qui s'élançait vers le Foisy avec huit créatures d'apparence dragonoide armés de fusils électriques.

RYAN--Pas encore cet emmerdeur....

Hikaru voyait déjà plus loin. Son instinct l'avait déjà mis sur une piste.

HIKARU--Regardez au centre de la vedette, cette couverture recouvre
probablemnt une pièce électrique ou electromagnétique quelconque. La légende dit que Tiamat est venu sur terre pour mener les légions draconiques à la gloire, mais que dans son coeur, le grand dragon céleste ne pouvait priver les hommes de la liberté. Il envoya donc son féal, bahamut sous forme humaine pour défendre l'humanité. Les pouvoir de bahamut lui permirent de sceller Tiamat dans le corps d’un homme et de ses descendants. Mais si le dragon s'éveille....

JOHNSON--Ce que vous dîtes est surréaliste, ces gens sont dragoniars, je l'admets, mais rien ne prouve qu'un être surnaturel soit avec eux.

HIKARU--Et si c'était une entité extra-dimensionnelle, qu'en diriez-vous?

JOHNSON--D'après la loi de Zamojski, c’est possible, mais ce n’est pas
votre affaire...

HIKARU--(avec un visage mi-colérique, mi-éclairé par une illumination)Et s’ils cherchaient à créer un pont entre les dimensions, pour laisser le pouvoir de l'autre dimension éveiller Tiamat au pouvoir, ou pire, faire venir ses légions.

Johnson décida d'ignorer Hikaru et se tourna vers Ryan.

JOHNSON--Ryan, tu dois libérer le BFM Foisy, il ne doit pas tomber aux mains de ces terroristes, je te donne ce communicateur qui a l'apparence d'une montre power ranger, ainsi personne ne pensera à te la voler. Je te guiderai. Ah oui, j'oubliais, un espèce de d'acteur kabuki(théatre japonais aux costumes freaks) est entré sur le bateau et semble vouloir passer pour un super-héeros, assure-toi qu'il survivra. Il ont sûrement trouvé un moyen de s'équiper sans nous voler, j'aimerais que tu découvre ce qu’ils voulaient.

RYAN--J'y vais ce pas.

Hikaru aurait voulu le suivre, mais il lui fallait d'abord gagner la confiance de Johnson et faire une petite recherche.

HIKARU--Vous avez internet ici???

RYAN--Oui, tu veux surfer en attendant?

HIKARU(avec un sourire malicieux)--pourquoi pas???

...
Courriel de Anik

L’alarme avait sonné, tous les gardes s’excitèrent et coururent un peu partout. Stella s’était caché avec sa cape au pied d’un phare, cachant Nelli aussi. Après les agitations, Stella avait sorti de sa cachette. Stella : On devrait trouver l’endroit de la source de l’absorption d’électricité.

Nelli : Ils peuvent la cacher n’importe où, mais je pense...

Stella : Ah, mais c’est évident ! Je crois savoir où elle est, mais désolé de vous avoir coupé la parole continuer.

Nelli : Je disais que la source d’absorption d’électricité doit être cachée et protégée, donc placée à un endroit sécuritaire. Comme j’avais expliqué dans mon reportage, les ondes d’absorption voyagent aussi bien dans la matière que dans l‘air. Donc il peut être dans un coffre-fort à double verrous. Il aurait fallu que ça soit des idiots de la pire espèces pour l’avoir placé dans un endroit accessible genre en haut du mat à drapeau. Mais dis donc où avais-tu pensé qu’il avait caché la source.

Stella : Bien, eehh, c’est drôle, eehh, je ne me rappelle déjà plus à l’endroit que je pensais, c’est certain que je ne pensais pas qu’il était dans un endroit accessible genre en haut du mat à drapeau.
Nelli : Mais tu n’as pas pu l’oublier, ça fait 10 secondes à peine. Stella : Je vous dis que je l’ai oublié !!! Changement de sujet si vous permettez, je suis surpris qu’il n’est pas plus de gardes, au moins je suis armé.

Nelli : Je sais, de ton fouet et de ton bâton.

Stella : Vous pouvez bien rire, mais j’ai pris un fusil aux gardes qui surveillaient ma mèr...rde de merde.

Nelli : Pourquoi cette colère soudaine?

Stella : Désolé, mais je pensais au capitaine et l’émotion est arrivée.

Nelli : Tu pensais au capitaine, j’avoue que j’y pensais un peu, mais j’aurais plus crû que tu pensais à sa fiancée assez sexy je dois le reconnaître. Mais si c’est le capitaine qui te donne de l’émotion, ça c’est...

Stella : Désolé de vous coupez la parole une autre fois, mais comme je disais j’ai pris aussi un fusil, je crois que c’est dans les modèles les plus récents avec plusieurs ajustements, regardez-le.

Nelli : Fusil électrique?

Stella : Bien oui!

Nelli : Électrique?

Stella : Bien oui, ça fait trois fois que je vous le dis, contre tous les gardes on a bien besoin d’une arme électrique pour trouver la source d’absorption d’électr... Youpss.

Nelli : Youpss comme tu dis.

Stella : Eehh, bien non, j’espère que vous ne pensiez pas que je voulais m’en servir comme arme, je voulais m’en servir pour, hmm, comme détecteur de la source.

Nelli : Mais je comprends rien.

Stella : Écoutez.

Stella prit son arme, vérifia les ajustements et tira un coup : « spsssou ».

Stella : Vous ne remarquez rien?
Nelli : Pas vraiment, c’est pareil comme quand le garde avait tiré un coup vers vous. Stella : Non, non, vous n’y êtes pas, lorsque le garde à tiré vers moi, ç’a fait « spssssou » et cette fois-ci « spsssou ». Je crois que nous sommes plus prêt de la source. Comme vous l’aviez si bien expliqué dans votre reportage, la source est plus efficace à courte distance. Donc je vais me servir de ce fusil comme détecteur.
Nelli : Peut-être est-ce les piles qui sont plus faibles ?

Stella : Croyez bien ce que vous voulez, mais moi je vais m’en servir comme détecteur et je suis tellement optimiste que je vous confie la tâche de trouver les fusées de secours pour indiquer à vos collègues que la source est maintenant sous notre contrôle.

Nelli : Ok, mais je vais aussi aller voir les otages pour m’assurer qu’ils vont bien, rendez-vous ici dans une heure.

Stella : Ouin, eehh, c’est parce que je n’ai pas de montre.

Nelli : Il y a l’heure sur votre pagette.

Alors chacun partit dans une direction, Stella restant sur le pont. Il se collait sur les murs et quand il était sûr qu’il n’y avait personne, il tirait un coup de fusil et étudiait le « spsssou » à chaque fois. Et soudain : Stella : Aahh! Que c’est ça, on m’attaque, ah non ce n’est que la pagette qui vibre. Qu’est-ce que ça dit : U-N- -D-R-A-G-O-N-I-A-R- -G-R-I-M-P-E- -A- -B-O-R-D-S- -D-U- -B-F-M- -F-O-I-S-Y. Un Dragoniar! Ah! Il faut que j’aille me cacher, avec ma cape sur un mur. Non! j’ai lu sur Internet que les Dragoniars aiment manger les murs, je vais me cacher dans ce petit bateau de sauvetage, si je ne me trompe pas, on n’est pas dans la saison où les bateaux de sauvetages sont bons pour les dragoniars.

D’un pas rapide et discret, Stella saute et atterrit dans le petit bateau de secours (qui n’avait plus aucune utilité à part de flotter à cause du moteur électrique).


Courriel de JF et Anik
Ryan : Parfait ! Je vais leur montrer de quel bois je me chauffe à ces draconiens merdiques.

Ryan enfile son bandana de guerre noir comme un pirate et attache sa ceinture porte bonheur. Ensuite il rebrousse chemin et retourne dans le couloir par lequel il est venu. Il marche d'un pas assuré, fier de pouvoir enfin faire ses preuves devant les humains. Bientôt la grosse porte en roc s'ouvre devant lui pour le laisser passer. Aussitôt la porte franchie, Ryan déploie ses ailes en s'envole en direction du BFM Foisy. En chemin il réfléchit à ces êtres noirs qui lui ressemblent mais qui sont si différents en même temps. Qu'est ce qu'ils veulent, qui sont-ils vraiment? Peut-être trouvera-t-il une réponse sur le navire qu'il doit sauver.


Lorsqu'il arrive au vieux port, il reste à l'écart et observe la situation pour ne pas se faire remarquer. Il aperçoit une foule sur le bord des quais qui attendent la suite des événements et un hélicoptère qui survole les alentours pour filmer ce qui se passe. Ryan décide alors de contourner le navire en faisant un détour sur le côté pour être sûr de ne pas être vu. Il se demande alors comment faire pour approcher sans se faire détecter. Il opte finalement pour le plongeon. Il se déplace rapidement même sous l'eau grâce à son entraînement intensif. En arrivant face à face avec le bateau, il le contourne par la droite puis il va jusqu'au milieu de la coque environ. De là, il sort la tête de l'eau pour observer son entourage. Il remarque qu'il est bel et bien du côté opposé de la foule, donc personne ne peut le voir pour l'instant. En tournant la tête, il aperçoit la chaîne de l'ancre du bateau qu'il rejoint à la nage. Il grimpe un peu pour sortir complètement de l'eau puis se secoue les ailes pour les faire sécher.
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Pendant ce temps...
- Voilà un autre scoop de dernière heure ! Nous ne sommes pas assez prêt pour être certain de ce que c'est, mais nous voyons un genre d'homme reptile qui grimpe sur le bord du bateau... quoi... Mon collègue me dit qu'il s'agit peut-être d'un Dragoniar. En tout cas, ses intentions sont inconnues et seul le temps nous apportera une réponse. D'ici là nous vous gardons en ligne jusqu'à ce que nous ayons plus de détails.

Le professeur Johnson regardait son écran attentivement et fit le saut en attendant ce message.

- Ça y est, il est arrivé !

Il essaya de capter l'attention d'Hikaru, mais ce dernier était captivé par son écran et de toute façon Tobie n'était plus dans les parages.

- Tant pis pour eux... Vas-y mon fils je sais que tu en es capable. Je suis fier de toi.
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Après s'être secoué les ailes, Ryan les déploya à nouveau et vola lentement jusqu'au bord du navire. Il voyait quelques gardes humains patrouiller le pont et se dit tout bas : " Les salopards, ils ont engagé des mercenaires, quelle lâcheté. " Il remarqua ensuite la présence de quelques canots de sauvetage et se dit qu'il pourrait se cacher là en attendant de trouver un plan d'action. Mais soudain, il vit l'une des couvertures recouvrant un canot bouger.

Sans se poser de question il souleva un peu la couverture et il vit l'énergumène dont son père lui avait parlé avant de partir avec son habillement bizarre de supposé super-héros. Celui-ci était de dos et n'avait pas remarqué la présence de l'homme Dragon. Ryan lui tapa dans le dos :

Ryan : Hey petit, qu'est ce que tu fais là ?
Stella : CHUUUTTT !!! Vous ne voyez pas que je me cache, laissez-moi tranquille !
Ryan : Hey le jeune, tu n'es pas supposé être venu pour sauver ce navire de ses envahisseurs.
Stella : Quoi, comment savez-vous ça ? (L'étoile se retourne pour regarder son interlocuteur).
Aaaaah!!!!!!, mais vous êtes un Dragoniar !!!!!

Stella sortit d’un seul saut du bateau de sauvetage et tenta de fouetter le draconniar. Ryan saisit le fouet d’une main.

Ryan : Hey toi, arrête de faire l’idiot, on va se faire découvrir.

Stella tira sur son fouet pour le récupérer, mais Ryan le gardait sous son emprise et convainc Stella de se calmer. Ryan lâcha le fouet et demanda à Stella quelque explications. Stella lui explique brièvement sa situation, la source d'absorption d'électricité, les otages délivrés (capitaine, fiancée, Nelli, le caméraman), les mercenaires etc... Ryan parle alors à Stella des Draconiens noirs. Ensuite il lui propose :

Ryan : Je ne sais pas où est cette source mais si tu peux nous guider vers elle, je n'aurais pas de problème à nous frayer le passage, ensuite tu pourras t'occuper des aspects techniques pendant que moi j'irai chercher le leader de cette bande. Je crois savoir c'est qui et de toute façon j'ai des contes à lui rendre. Alors qu'est ce que tu en dis.

Stella : Ouin, j’ai plus l’habitude de travailler seul, mais j’avoue que votre force physique pourra m’être utile. Attendez que j’y pense.

Ryan (après trois minutes de silence): Ok petit, moi je m’en vais et quand tu sauras, tu laisseras un message en grosses lettres sur le mur et je le lirai si j’y pense.

Stella : Non, je vois que vous êtes impatient, je trouve que vous me bousculez dans cette décision, cela n’aide pas votre cause. Par contre, je crois que je suis prêt à accepter de faire équipe avec vous, à une seule condition, vous m’appeliez Stella et non « petit ».

Ryan : Ok, mon grand, toi tu peux m’appeler Monsieur. Où crois-tu que la source d’absorption est?

Stella : D’après mon détecteur (maison), je crois qu’il l’aurait placé dans la cabine du capitaine, de l’autre côté, attendez, je dois vérifier.

Alors Stella partit à la course sur le pont, fit quelques pirouettes et cascades (après chacune, il vérifiait si le draconiar l’observait pour être certain de l’impressionner). Stella retourna vers
Ryan d’un pas élégant et dit : Stella : En effet Monsieur, mes dernières observations confirment ce que je viens de vous dire, j’ai pu remarquer 4 gardes avec des fusils à poudre devant la cabine et à l’intérieur je crois qu’il y en a au moins trois.

Ryan : Des humains ?
Stella : Oui, tous humains.

Ryan : Pas de problème!

Sur ces mots le draconiar déploya ses ailes et se mit à voler jusqu’à la cabine. Stella tenta de le rejoindre à la course, à son arrivée, il ne vit que 8 hommes couchés sur le sol et la porte de la cabine défoncée. Stella entra dans la cabine et retrouva Ryan.

Ryan : Et puis mon grand, est-ce que tu vois la source?

Stella : Oui Monsieur, regardez cette boîte et tous ses fils. Je devrais être capable de la débrancher.

Ryan : Ok mon grand, je te laisse à ça, je vais surveiller tes arrières pour que tu puisses travailler en paix.

Stella observa la boîte pendant de longues minutes et fit sa première manœuvre, il réussit à couper le courant d’électricité au bateau alors toutes les lumières et les moteurs du bateau s’arrêtèrent. Il sortit son fusil et tira un coup vers le mur. Il n’entendit qu’un bref « spsous ». La machine continuait d’absorber. Il devait trouver le moyen de programmer la machine pour qu’elle arrête d’absorber l’énergie.

Stella : Monsieur, j’ai réussi à couper l’énergie du bateau, mais la source continue d’absorber, je crois que c’est un modèle albanais et je n’y comprends rien.

Ryan : Attends un peu, j’assomme ces trois gardes-là et je te réponds.

Ryan entra dans la cabine, donna la montre Power-Ranger à Stella et lui dit :

Ryan : Depuis que tu as coupé l’énergie, le nombre de gardes qui viennent ici est faramineux. Ceci communique avec un scientifique, je crois qu’il te pourra t’aider.

Ryan ressortit immédiatement pour poursuivre le massacre des mercenaires.

Stella observa la montre, il se demandait ce que représentaient les bonhommes sur la montre, mais il trouvait qu’ils avaient un très beau costume. Après quelques minutes, il comprit le principe de communication, mais encore là, les piles étaient mortes. Soudain, la pagette : R-E-V-I-R-E-M-E-N-T- -D-E- -S-I-T-U-A-T-I-O-N- -T-O-U-T-E-S- -L-E-S- -L-U-M-I-E-R-E-S- -D-U- -B-A-T-E-A-U- -S-E- -S-O-N-T- -É-T-E-I-N-T-E-S-.- -P-A-R- -C-O-N-T-R-E- -L-E-S- -F-O-R-C-E-S- -P-O-L-I-C-I-E-R-E-S- -N-E- -P-E-U-V-E-N-T- -P-A-S- -E-N-C-O-R-E- -A-P-P-R-O-C-H-E-R. Sa pagette fonctionnait encore. Alors avec les outils qu’il avait trouvés dans la cabine, il installa le convertisseur d’énergie thermique sur la montre. Il réussit à travailler malgré le bruit des corps des gardes s’écrasant sur la porte.

Stella (à la montre) : Bonjour, Bonjour, ici Stella un super-héros, je répète un super-héros, qui est à l’autre bout? Qui m’entend ?

Johnson : Ici le professeur Johnson, où est Ryan ?

Stella : Ce n’est pas Ryan, c’est Stella un super-héros, je répète un super-héros, j’ai besoin d’aide? Est-ce que vous m’attendez ?

Johnson : Oui, oui, quel est votre problème ?

Stella : Je veux changer la programmation d’une source d’absorption d’énergie albanaise, pouvez-vous m’aider ?

Johnson : Une source d’énergie albanaise vous dites, bien je ne sais pas trop.

Hikaru : Professeur, avez-vous un problème ?

Johnson (à la montre) : Je vous prête un de mes amis, je crois qu’il pourra vous aider. (À Hikaru) Je crois que c’est le fou qu’on a vu à la télévision.

Hikaru : Bonjour, vous avez bien rejoint le www.produnet.com que puis-je faire pour vous?

Stella : Bonjour, Bonjour, ici Stella un super-héros, je répète un super-héros.

Hikaru : Vous avez besoin d’un psychologue, je vous trouve cela en deux secondes.

Stella : Non! Je veux changer la programmation d’une source d’absorption d’électricité. J’ai réussi à débrancher le retour d’énergie, mais je veux changer la programmation pour qu’elle arrête d’absorber l’énergie. Que je crois que le modèle de la source est albanais.

Ryan : (au loin on attend qu’il crie) : TIAMAT MON ENFOIRÉ !

Stella : Désolé pour le bruit.

Hikaru : Attends un peu, ah je vois que tu dois rebrancher immédiatement la sortie d’énergie, car sinon tout risque d’exploser.

Stella : Youpss, Pour enlever le câble, j’ai d’abord tiré, je l’ai arraché à moitié, mais comme il tenait encore, je l’ai coupé, mais comme ça prend quelques secondes avant que l’électricité arrête dans le bateau à cause des condensateurs (principe que je viens tout juste de réaliser), j’ai défoncé l’autre prise avec bâton et ce fut seulement une fois le câble lancé par la fenêtre que tout fut arrêté.

Hikaru : Il faut vraiment trouver au plus, vite, je lis ici que ça prend environ 15 minutes avant d’exploser.
15 minutes, ce n’est pas beaucoup.

Stella : Encore Youpss, ça doit déjà faire au moins 12 minutes, le temps que je réussisse à faire fonctionner la montre de communication.


Courriel de JF
Pendant que Stella venait de tout foutre en l'air (ce que Ryan ne sait pas pour l'instant),l'homme dragon empêchait les mercenaires d'aller embêter son nouvel allier qui "essayait" de régler la situation. Les gardes ne faisaient pas le poids, même à plusieurs contre ce fabuleux dragoniar. Ryan ne se posait pas de questions et rajoutait sans cesse de la marchandise à sa collection sur sa montagne de corps inconscients. Après quelques minutes, les gardes arrêtaient d'arriver.

Ryan- C'est étrange, l'atmosphère s'est calmée si subitement, ce n'est pas normal ! TIAMAT MON ENFOIRÉ, QU'EST QUE TU MANIGANCE ENCORE ?

Mais Ryan n'eu aucune réponse. Il reprit son souffle et jeta un dernier coup d’œil rapide aux alentours. Il scruta attentivement chaque recoin mais ne vit rien d'anormal. Il retourna donc dans la cabine pour voir où en était rendu Stella.

Ryan- ALors mon grand, comment ça marche avec cette machine ? Est-ce que ça avance ?

Stella- En vérité, on a un petit problème, j'ai réussi à diminuer l’absorption d'énergie, mais j'ai fait une gaffe et maintenant, la machine est déréglée et tout va sauter dans 3 minutes.

Ryan- Quoi, mais qu'est qu'on va faire, on n'a pas le temps de faire évacuer le bateau ?

Stella- Je sais, et en plus, les 2 personnes auxquelles j'ai parlé ne peuvent rien faire pour nous aider.

Ryan- Mais voyons donc, ne me dit pas que mon père ne sait pas quoi faire pour nous aider.

Stella- Votre père ?

Ryan- Donne-moi ça !

Ryan arrache la montre des mains de Stella

Ryan: Père, c'est moi, qu'est ce vous nous conseiller de faire pour nous sortir de la maintenant ?
Johnson: Ryan, je suis désolé, je ne connais pas ce type de machine, je ne peux pas vous aider, il va falloir trouver un moyen de vous en débarrasser vous-même.

Ryan: Un moyen de s'en débarrasser, désolé je ne vois pas.
Stella: Je l'ai, il faut la jeter au plus vite par-dessus bord et après on s'occupera de sauver les otages, mais il y a un problème, elle a l'air vraiment lourde.
Ryan: Pas de problème, je vais m'en charger.

Ryan essaya tirer la source d'énergie en dehors de la cabine, mais il n'avançait pas assez vite. La grosse machine ne bougeait presque pas.

Ryan: merde, il me faut de l'aide car à ce rythme là, on n’aura pas le temps.

Stella essayait de pousser la machine avec Ryan, mais celui-ci n'y voyait aucune différence, l'aide du jeune homme était insuffisante.

Stella : Ça ne fonctionne pas, il faut trouver autre chose sinon on est perdu.

Mais à ce moment là, les deux alliers entendirent du bruit à l'extérieur

Stella : Qu'est ce que c'est, qu'est ce qui se passe

Courriel de Gui
Le professeur Johnson regarda Hikaru d'un air satisfait. Enfin une solution viable..... Mais Hikaru était silencieux, il comprenait la situation, mais il se méfait de Tiamat, le seigneur dragon qui avait, il ne savait comment, à s'incarner dans un dragoniar dans ce monde après plus de 2500 années d'exil. Heureusement, Tiamat semblait aigri par cette longue absence, ce qui le rendait impatient. Cette impatience l'avait amené à agir avec précipitation, ce qui leur avait laissé une ouverture: ils étaient parvenus à défendre le laboratoire, empêchant du coup aux dragoniars d'obtenir la dernière pièce qui pouvait faire réussir leur plan.

Hikaru s'inquiéta d'avantage quand il se rendit compte que le prof
Johnson n'était plus sur ses gardes, il se concentrait sur la situation, prodiguant à Ryan les derniers conseils alors que peut-être que son laboratoire pourrait subir une attaque d'une seconde à l'autre. Un pressentiment conquis soudainement le coeur d'Hikaru qui plaqua le professeur par terre ce qui lui permit d'éviter de justesse le sabre qui allait s'abattre sur lui.

L'homme inconnu portait une armure de métal ayant l'apparence de l'armure d'un samouraï. Sur son casque se trouvaient les marques de Sun Lien, le voleur qui avait terrorisé la chine au troisième siècle au point, selon la légende, de se tailler une place dans le panthéon. L'homme portait un masque qui cachait ses traits, mais on pouvait quand même distinguer son menton rond et une moustache de soldat sur son visage.

Il essaya à nouveau de trancher le professeur en deux, mais il Hikaru bloqua le coup avec son bâton d'aluminium.

Hikaru s'écria alors en souriant: Rien de mieux que le bauxite n'est-ce pas?

L'homme grogna pour toute réponse...

"Tu es le champion de Sun Lien, le jaloux et fourbe dieu des
ruelles...."

L'homme l'interrompit, se lançant dans une invective destinée à
détourner l'oeil d'Hikaru un petit groupe d'hommes qui se dirigeaient vers le sous-sol du Laboratoire.

"Le champion des dieux du stade se doit de se montrer honorable aux yeux du monde, je te défie selon l'ancienne tradition à la justice, nous verrons qui se tiendra debout à la fin." dit l'homme avec arrogance pour irriter Hikaru.

"Moi, Hikaru, le champion des dieux du stade, le réceptacle de la grâce, j'accepte ton défi, mais ne t'imagine pas que ce défi aidera tes amis voleurs à délester le professeur Johnson de quelque bien que ce soit. Professeur Johnson, je ferai un bouclier de mon corps, activez toutes les mesures de sécurité que vous pouvez!!!!"

Fortement surpris par le courage de celui qu'il prenait pour un
adolescent égoïste et irritable, le professeur Johnson obtempéra.

Johnson--Voilà, nos "invités" ont été emmurés dans le corridor,
Hikaru...

Mais Hikaru n'était plus au sol, porté par une force qui ne pouvait
être physique, il venait d'accomplir un bon prodigieux pour bloquer le coup du samouraï qui semblait flotter dans l'air, le sabre levé....

Le combat venait de commencer, et il était clair qu'Hikaru était désavantagé. L'homme adulte était beaucoup plus fort physiquement que lui ce qui le forçait à puiser dans ses ressources. À trois reprises,
Hikaru bloqua un coup de son adversaire avec une vitesse quasi surhumaine.

Comment pouvait-il dont anticiper les coups de son adversaire avec autant de précision?

Juché sur la vague de son cœur, Hikaru s'efforçait de sentir les tremblements qui lui permettraient de vaincre, de puiser au cœur de la magie de la terre pour se surpasser et pour se dévoiler dans toute sa lumière. Le serviteur de Sun Lien le savait et il chercha à le déconcentrer.

Il lui asséna un coup violent aux côtes qu'il ne pu bloquer, puis il se
mit à l'insulter:

"Ne t'imagines pas que tu peux gagner, tu es seul, même le professeur ne croit pas que tu en es capable, tu n'es qu'un jeune raté drogué de jeux vidéos ou de pot!"

Hikaru releva l'insulte, il bouillait! Il était en effet seul, sans
ami véritable dans cette ville, son désespoir se manifestait au monde, il ralentissait et les petites entailles se multipliaient sur son corps, autant de présages funeste de sa défaite prochaine....Enragé, il répondit:

"Pourquoi es-tu devenu le laquais de Tiamat, toi qui sers le plus grand
des êtres célestes, je n'aurait jamais cru voir le jour d'un tel déshonneur...."

L'homme répondit: "Sache que je ne sers jamais réellement que moi-même sans vergogne, si Tiamat croit le contraire, c’est la preuve de sa
faiblesse...et ceci sera la preuve de la tienne..."

Le samouraï s'était reculer et se donnait maintenant un élan pour asséner un coup fatal à Hikaru. Hikaru fut d'abord paniqué, puis, comme par hasard, le prof Johnson s'exclama...

JOHNSON--Non de Zeus, nous sommes cuits!

Zeus! l'image du dieux barbu, celui qui avait vaincu son père à la lutte lui apparut, puis le visage de tous les autres dieux du stade et le souvenir du jour de son élection au rang de champion lui revint. C'était une lourde responsabilité, mais ELLE l'avait aidé... Tsutomi et ses yeux tendres qui l'encourageait d'un sourire....Il se sentait revivre et se souvenait de toutes ces fois ou ils avaient lutté et d'un truc qu'elle avait utilisé une fois.... Il était prêt..et savait ce qu'il devait dire...

Dès que le samouraï leva son épée, il se mit à crier comme un déchaîné, impatienté, le samouraï décida de précipiter son coup, ce qu'Hikaru avait prévu en donnant un coup de bâton parfaitement synchronisé sur la tête du samouraï fracassant son casque et l'assommant en transformant son cri en kiaï puissant.

L'homme tomba sur le coté, puis l'armure de samouraï disparu pour laisser place à un homme ordinaire habillé en concierge de la commission scolaire.

JOHNSON--Mais qu'est-ce que.....

HIKARU--Merde, Tiamat est plus fort que je croyait...Il est capable de
communiquer avec les puissances et à leur ouvrir le chemin du cœur des
hommes...Cet homme a été "possédé" si vous voulez par le dieux Chinois
du vol....Il faut que vous avertissez les autres.....

JOHNSON--Pourquoi?

HIKARU--Certains des sbires de tiamat ont probablement des pouvoirs et
des habiletés aussi dangereuses que celui-ci.......

Les deux hommes se regardèrent avec un air consterné.

Courriel de Gui

Tiamat jeta un petit coup d’œil amusé au jeune garçon qui se tenait devant lui. Il semblait clame, mais fébrile, comme une panthère qui détend ses muscles avant de bondir. Sa réponse ne correspondait pas à l'idée que Stella s'était faite de lui. D'un claquement de main, il ordonna à ses sbires de se joindre à Ryan et Stella pour prendre en main la pile en voie d'exploser.

Il continua en disant:

"Mes amis, il ne sera pas dit que j'ai fait périr ces innocents par manque de compétences, quiconque aspire aux plus grands honneurs, doit montrer son aptitude à contrôler les évènements, mais je vois que ce n’est pas le cas pour vous."

Il jeta un regard dédaigneux à Stella et continua alors qu'ils
transportaient la pile vers le rebord du vaisseau:

"Vous savez, mon jeune ami, en vous attachant au rôle de super-héros, vous vous mettez à la merci des autres. Leur défaite est votre défaite. Enlevez ce masque et prenez le contrôle de votre vie avec moi, nous nous tâcherons de gagner et de ne pas laisser le monde nous contrôler et nous forcer à accourir alors qu'il nous doit tant!"

Tiamat fendit un sourire mégalomaniaque alors que la pile faisait son chemin vers le bord du vaisseau. Ryan avait bien envi de lui foutre une baffe pour lui fermer la gu.. Mais il remarqua deux tireurs embusqués sur le toit du poste de contrôle du navire et comprit qu'il allait falloir jouer serré.

Courriel de Gui
Tiamat regardait fixement Stella avec un rictus mauvais. Pour la première fois, Stella put se faire une idée exacte de Tiamat. Grand, il en imposait plus par son regard et son nez crochu que par son corps. Ses longs cheveux contrastaient vivement avec son visage pâle. Il portait un habit noir de combat et le chandail vert traditionnel des militaires. Une série de cartouches ioniques attachées à une bandoulière autour de son épaule révélait d’avance à quiconque la présence de son fidèle fusil à ions dans l'étui de sa ceinture. Mais encore, au son de sa voix souffreteuse l'on pouvait déceler l'envie de plaire, d'entraîner mille âmes vers leur perte et d’en jouir à loisir. Stella ne s'y trompa pas, s'était une voix de diable qui cherchait le vice caché en lui.

Tiamat sortit son arme et regarda les deux "héros", puis il leur dit avec calme: "Cette alliance est terminée, rendez-vous ou subissez les conséquences."

Un dragoniar armé de deux matraques électriques et un homme d'épée affublé d'un grand chapeau rouge encadrèrent le maître dragon.

"Jamais!!!!", beugla Ryan dans un cri déchirant.

"C'est ce que nous verrons", furent les derniers mots de Tiamat lors de cette journée sombre.


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Hikaru espérait qu'il n'était pas trop tard....

Il avait quitté le professeur Johnson avec précipitation et se dirigeait vers le vieux port de Montréal à toute vitesse. Son objectif, réussir à capturer Tiamat. Tiamat avait perdu, le bateau lui était d'aucune utilité, mais il fallait quand même se méfier de lui. Qu'est-ce qu'un seigneur dragon à la patience exacerbé par son échec pourrait faire aux "héros" qui se mettaient sur son chemin? Juste à y penser, Hikaru en frissonnait de crainte.


Courriel de Gui et JF
Ryan : Père, je suis comme qui dirait un peu coincé,
Tiamat est là avec 2 autres Draconiens et il y a 2 tireurs plus loin, je ne sais pas quoi faire.

Johnson : Écoute mon fils, le force brutale n'est pas vraiment mon domaine, ni la bagarre. Je suis désolé, mais je ne sais pas plus que toi quoi faire dans ce cas là.

Ryan : D'accord, je comprends... Ah, oui, est-il possible avec ton transmetteur de pensées, d'envoyer une image de ce que je vois ?
Johnson : Bien sur mais...

Ryan : Parfait, passe-moi l'autre qui est venu avec le bâton de baseball, Hikaru je crois.

Johnson : Malheureusement, il a quitté les lieux mystérieusement, je ne
sais pas où il est allé.....

Ryan regarda fixement Ryan et ses 2 Draconiens puis se retourna pour voir les 2 tireurs.

Ryan : Crois-tu pouvoir m'aider à trouver une solution
de m'en sortir....

Johnson ne comprenait pas ce qui avait poussé le jeune japonais à quitter son laboratoire à un instant aussi critique, mais il s'activa immédiatement pour remédier au problème. Il jurait entre les dents, ne sachant trop comment aider son fil s qui se trouvait dans une pétrin inopiné et inconfortable.

JOHNSON: Voilà...j'ai la ligne, Ryan...

RYAN: Oui père...

JOHNSON: J'ai établi la communication avec la police. Fait ce que tu
peux pour gagner du temps

Ryan(à Tiamat): (à JF de compléter cette partie, Ryan essaie de gagner
du
temps)

JOHNSON: Ils ont posté des tireurs d'élite à porté du bateau, je crois pouvoir leur envoyer des indications de visée pour qu'ils puissent t'aider. Ils on aussi un hélicoptère, attend, j'envoie un message codé pour ne pas être reconnu sous un faux e-mail. Ils ont le message, bon, ils l'ont décodé, parfait! Ils répondent à mon faux e-mail par l'affirmative, tu profiteras à tout le moins d'une certaine couverture....

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Pendant ce temps, Hikaru obéissait à son instinct. Il avait ressenti une vive blessure, celle d'un innocent que l'on arrachait à la nature. Il s'efforçait de suivre les traces de cette déchirure qui se répercutait dans la texture du monde. Chaque acte vil, chaque violence faite au monde se répercutait sur sa totalité en infligeant une blessure à sa texture magique, à son nimbe de miraculeux. Cette fois, un champion était tombé ce qui rendait les choses pires. Les champions sacrifiaient leur vie et parfois une partie de leur âme à protéger ce monde de ceux qui voudraient avidement le corromprent et réduire ses miracles à une série de plates hypothèses ou de souffrantes conclusions.

Il était encore loin, la source venait du port, il venait de le réaliser. Quelle déveine, c'était Tiamat qui frappait encore et lui, jouant le jeu de son ennemi, il s'était laissé jouer comme le gamin qu'il aurait préféré ne plus être. Alors qu’il sombrait un instant dans l'autoflagellation, une voiture s'arrêta sur le coin de la rue et la portière s'ouvrit sur un cri:

"Je vais au port, dépêche-toi!!!!"

Hikaru se jeta dans la voiture qui démarra sur un crissement de pneu, curieusement, les policiers n'eurent aucune réaction. Hikaru sembla se
le rappeler quand la jeune conductrice lui adressa un sourire narquois:

"Il n'y a rien à comprendre, nous allons au port, alors cesse de te
poser des questions et concentre-toi, tu dois laisser sortir ce que tu es, c'est là l'essence de l'art et donc de ton art martial...."

Elle avait les cheveux blonds nattés, le cou et le visage d'une reine, mais étrangement, rien de sa toilette. Son chandail était un vieux T-shirt et elle portait des bermudas fluo. Hikaru se demanda vivement qui elle était, ce qu'elle était en fait, car elle n'avait rien d'ordinaire..... Mais le port était en vue et elle lui adressait déjà ses adieux en termes sibyllins:

"N'oublie pas de laisser couler ton âme, de faire ta marque, mais pas seulement dans le combat. Partage qui tu es avec les autres, ceux de ta classe et les champions de cette ville. Ils ignorent leur propre destin, mais je crois que tu les as déjà reconnus..Adieu....."

Hikaru voulut répondre, mais il ne put, laissé perplexe dans un parc de conteneurs il se demandait ce qu'il devait faire. Soudainement, il eut
un frisson dans le dos qui le fit s'adosser à un conteneur... Au-dessus de lui, un dragoniar ajustait une arme de longue portée en direction du BFM Foisy. Le scélérat, pensa Hikaru...puis il se déplaça, contournant le conteneur pour pouvoir le surprendre et l'assommer.

Tout aurait été facile si Hikaru n'avait pas trébuché dans le fil du fusil de longue porté qui le reliait à une génératrice. Tombant à plat ventre, Hikaru se maudit, alors que le dragoniar s'avançait vers lui. D'un mouvement rapide et précis, Hikaru se releva, utilisant l'impulsion d’un bon pour faire face à son adversaire médusé. Le dragoniar parvint malgré tout à jeter
une boutade:

"Un vrai Jackie Chan..."

Une boutade de trop... Hikaru profita de ces paroles en l'air pour assommer le dragoniar qui tomba sur le cadavre d’un tireur d'élite de la police de Montréal.

"Merde" s'exclama Hikaru en constatant la mort du policier. Le champion était mort au service de sa ville, mais la violence de ce meurtre aurait des effets néfastes sur sa famille, sur ses amis et sur toute la création...

Hikaru versa une larme et fut interrompu par un bip provenant du
portable placé à la droite du fusil...

Un e-mail et des coordonées de tir envoyés par un informateur anonyme..et le plus ironique, le e-mail avait un nom familier à Hikraru....

[email protected]

S'agenouillant derrière le fusil avec une nervosité croissante, hikaru
réalisa que les voies des dieux sont souvent impénétrables....

Courriel de JF

Ryan venait d'avoir l'assurance que des tireurs étaient de son côté, alors il demanda à son père de leur donner ordre de tirer pour tenir les tireurs ennemis occupés... Bang! Un coup de fusil. Les 2 tireurs se tournèrent dans cette direction puis vers leur maître.

Tiamat : Occupez vous ce ça, et vous deux débarrassez-moi une fois pour tout ce quart de portion.

Ryan sentait bien que Tiamat venait de perdre tous ses moyens et qu'il était en train de perdre. Mais il décida de ne pas l'empêcher de fuir, la prochaine fois, il lui règlerait bien son compte plus tard, mais pour l’instant sa première préoccupation était de quitter le bateau en un seul morceau. Il attendit donc ses adversaires en position de combat. Le premier essaya de lui agripper les bras, mais Ryan fit un bond de côté, le prit par le bras, fit un 180 pour lui tordre le bras, et le projeta au sol par-dessus son épaule. Le second arriva par derrière et le saisit par la taille. Ryan eut le réflexe de lui piétiner le pied et de lui flanquer un coup de coude dans le ventre.
Il se retourna pour lui faire face en attendant la réaction du
Draconien. Celui ci se jeta littéralement sur Ryan, mais encore une fois, celui-ci fut plus rapide et en continuant l'élan de son adversaire, il le projeta sur un mur où il se fracassa le crane. L'autre Draconien revint à lui et se releva, il essaya de
donner un coup de pied à Ryan, mais il lui saisit le pied de justesse, il continua le mouvement de pied jusqu'au visage de son ennemi et sauta par en avant pour le clouer au sol. Le mouvement trop sec et brusque lui brisa la jambe. Ensuite de la paume de sa main, il lui flanqua un coup sur le front pour l'achever. Tout en s'époussetant, il se releva en regardant Tiamat avec un grand sourire. La seule
réaction du Draconien fut de grogner et de dire:

Tiamat : GGGRRRRRRRR!!!!! On se revera !

Ensuite, il s'envola, disparaissant d’un coup et sans avertissement. La porte se referma aussitôt. Ryan se souvint des tireurs et demanda à son père de leur faire cesser le feu. Les tireurs ennemis étant encore distraits, Ryan put les foutre par-dessus bord sans problème. Il regarda ensuite autour de lui.

Ryan : Me voilà seul, je ne crois pas qu'il y ait encore quelqu'un sur ce foutu navire. Qui va le ramener au port, aucune idée. Bof, ce n'est pas mon problème.

Il jeta les 2 autres Draconiens par-dessus bord et s'envola. Il décida qu'il était temps de faire face au humains alors il se dirigea vers la rive en suivant Stella.

Courriel de Gui

Hikaru avait atteint la cible et il en frissonnait de satisfaction tant il se sentait d'une humeur légère. L'arme du tireur avait été calibrée parfaitement ce qui lui avait grandement facilité la tâche. Restait à faire une retraite pour ne pas se faire indûment accuser du meurtre du policier. Hikaru se donna un élan et se mit à faire une série de bons qui le firent passer d'un conteneur à l'autre jusqu'à ce qu'il soit en face de la sortie. Là il vit la journaliste Nelli Thuryn en compagnie de huit terroristes et de Tiamat. Hikaru se cacha derrière un baril. Soudainement, une lumière pourpre émana de la main droite de la journaliste. Une améthyste brillait dans sa main, absorbant la substance vitale des terroristes. Nelli émit un rire dément alors que les terroristes expiraient.

"HA! HA! HA! Les imbéciles! Ils s'attachent à leur dieu alors qu'ils devraient s'attacher à la puissance!!! J'aurai bientôt tout ce dont nous avons besoin mon cher, déjà j'ai l'âme du Maître de Kung Fu qui se cachait dans le super-héros."

Tiamat, l'air renfrogné lui donna la réplique.

"Oui, vos projets avancent, mais je vous conseille de tenir votre place..."

Il se mit à pointer la pierre et continua: "vous vous imaginez que vos héros et votre breloque peuvent vous sauver de moi, mais vous vous trompez, la pierre du destin est à moi et la prophétie aussi, ne l'oubliez pas!"

Lâchant un grognement pathétique Tiamat émit une lumière argenté alors qu'Hikaru sautait pour s'emparer de lui, puis, les deux complices dont les plans devenaient de plus en plus mystérieux s'envolèrent en fumée, laissant Hikaru pensif.

Fin de la mission







Match des étoiles 2030


Match des étoiles 2030
avec
Stella
Ryan
Hikaru
Prof Johnson
Troia
Mess John

Maître : Anik
Joueurs : JF et Gui

Intro par Anik


    C’était une soirée calme, une petit pluie dehors calmait les ardeurs de plusieurs sportifs qui restèrent à l’intérieur à écouter un bon match de la ligne mondiale de baseball : les Dragons contre les Guérilléros. 

Toby :  Je te parie que ce sera l’équipe des Dragons qui gagnera le match.

Hikaru :  J’avoue que leur nouveau lanceur leur donne un avantage, mais les Guérilléros ont deux des trois meilleurs frappeurs de la ligue.  Attends-moi une minute, je vais consulter un site sur l’Internet, le site depuis sa création il y a 20 ans, a un taux de réussite de leur prédiction de 90% pour identifier le gagnant, et un taux de 40% pour l’écart de points. 

    Hikaru alla sur son ordinateur et alla directement sur ce site par un signet.  Il regarda la page : Les Guérilléros par un point de plus sans prolongation. 

Hikaru :  Ok, je tiens ton pari, 20 Euros sur les Guérilléros.

Toby :  Pari tenu !

    À ce même moment, Hikaru fut attiré par une publicité sur la page.  C’était un concours pour obtenir une passe mondiale permettant d’accéder à la section VIP (vraiment importantes personnes) de tous les stades de la ligue mondiale avec un vol aller-retour dans chaque ville.  Hikaru cliqua sur le lien.  Il vérifia les modalités du concours, mais il ne pouvait pas participer, car il n’était pas encore majeur.  Par contre, Hikaru pouvait participer à un autre concours pour obtenir une paire de billets double pour le match des étoiles qui aurait lieu à Montréal la semaine suivante.  Hikara appela immédiatement.

VOIX ENREGISTRÉE:  Appel numéro 129 000, vous êtes notre 129e gagnant.  Félicitations, laisser vos coordonnées.

Hikaru fit un saut et cria.  Il conta son exploit à son ami qui était fixé sur la holovision suivant la partie pour être sûr d’avoir fait le bon pari.
 

Pendant ce temps, dans un laboratoire sous le mont Royal, un draconiar entra par un grand portail.
Ryan :  J’ai fini ma ronde et rien d’anormal père.
 
Jonhson : Ryan, un de mes anciens collègues, Dr Ben, vient tout juste de m’appeler, il s’est fait dévaliser son laboratoire hier. 

Ryan :  C’est surprenant qu’on n’est rien su par les informations holos.

Jonhson :  Justement, son laboratoire et comme le sien est subventionné par les Draconiars, c’est une des raisons pourquoi on veut rester discrets.

Ryan :  Qu’y a-t-il de si inquiétant, ont-ils volé une arme ?

Jonhson :  Pas vraiment, mais peut-être, ils ont volé un prototype pas encore fonctionnel de machine à voyager dans un autre plan.  Ce qui est inquiétant, c’est que leur prototype absorbait la vie pour fonctionner.

Ryan :  La vie ?

Jonhson :  Ce que j’ai compris, il faudrait l’énergie vitale d’une foule de quelques milliers de personnes pour fonctionner.  Et toutes les personnes de la foule perdront leur énergie, on ne sait pas si c’est jusqu’à la mort, mais quand même !

Ryan :  Je veux aller inspecter les lieux pour retrouver les voleurs.  Où est-ce ?

Courriel de JF

Après avoir aprit la nouvelle, Ryan partit aussitôt. Si ce savant était l'ami de Johnson, il fallait lui venir en aide. Il ne se préoccupa pas de passer inaperçu cette fois, de toute façon il devait passer dans la ville. Il était un peu désorienté, c'était la première fois qu'il mettait les pieds ici. Il demanda son chemin plusieurs fois, quelques fois, les gens le reconnaissaient à cause de l'histoire du bateau. Cela le faisait rougir et ne savait plus quoi dire. Finalement, il réussit à arriver à destination. Il passa devant la maison et ... Il se dirigea vers la ruelle à côté pour y trouver la bouche d'égouts.


Courriel de Gui

Tobie avait enfin accepté de quitter la maison après trois heures de télévision et de multiples arguments.  Il avait arrêté de fumer pour plaire à Hikaru qui en était malheureusement resté de glace.  Tobie avait beau faire, il n'avait pu effacer le souvenir de Tiamat et de son âme affreuse de l'âme d'Hikaru.  Déjà abattu par la perte de Tsutomi, Hikaru ne se sentait pas de taille face à Tiamat qui dépassait de beaucoup la puissance de l'entité qui avait habité son oncle Shingo.  Misérable, il jeta un coup d’oeil autour de lui et remarqua le calepin noir de numéros de téléphones qui traînaient sur le dessus de la table néo-renaissance de son oncle Félix. Le salon de style victorien contrastait vivement avec l'aspect proto-moderne du reste de la maison.  Dans la plupart des maisons bien décorées, le style cubiste, emprunté à la peinture du vingtième siècle, dominait le paysage. 
Les divers accessoires de maison et les éléments de décorations s'imbriquaient les un contres les autres comme des blocs lego de tailles et de formes polygonales diverse. Félix Nguyen, l'oncle d'Hikaru attachait beaucoup d'importance à ce que son salon soit aussi historique que possible.
  En tant que président de la ligue des antiquaires de la ville, il croyait qu'il était de son devoir de préserver le cachet ancien de sa maison.  Mais avant tout, Félix était un blagueur bonhomme qui adorait les contradictions et c’est pour cette raison qu'il faisait cohabiter deux styles contradictoires dans sa maison.

Hikaru pensa au drôle d'humour de son oncle qui se trouvait immortalisé dans la décoration de la maison et se mit à sourire en apercevant le visage boursouflé de joie de son oncle.  Il entendit soudain son rire gras et le conseil qu'il lui avait prodigué avant de partir:
"Si tu as les bleus, apelle Troia Dulac, c,est la fille d'un ami et elle pourra te montrer la ville."

Hikaru prit le téléphone et composa le 709-3627.  Une voix douce, mais quelque peu chevrotante tinta dans son oreille après la sonnerie.

"oui..oui", la voix semblait préoccupée par quelque chose.

Gêné, Hikaru "demanda, suis-je chez Troia?"

"En effet, qui parle?", demanda la voix amusée.

"C'est Hikaru..."

"Ah oui, mon père m'avait averti que le neveu de Félix appellerait, si tu permets, je termine quelque chose, puis je te prendrai devant chez toi vers 17h51 et trente secondes...salut!!" la jeune fille raccrocha aussi subitement qu'elle avait répondu.

Hikaru décida donc de souper avant de sortir devant chez lui pour attendre Troia.  Il perdit vite le compte du temps et tomba dans une rêverie profonde habitée par un mutant et par le personnage Mes John incarné par Tobie MacGuire dans la série Star Trek Paladin.  Rien n'avertit Hikaru du caractère prophétique de cette rêverie, si bien qu'il tombait dans un esprit de veille lunatique jusqu'à ce qu'un bruit de moteur l'éveille.  Devant lui se tenait une voiture rouge familière d'un coté de la rue et un homme dragon entouré par douze hommes armés de matraques et portant des armes à feu.  Les
hommes étaient habillés en policiers et s'apprêtaient à assommer Ryan.

"RYAAAAANNN, NON!!!!!!" beugla Hikaru pour prévenir le dragoniar en péril, ce qui alerta par le fait même les « policiers » de sa présence.  Tout se passa très vite par la suite.  Quatre policiers se jetèrent sur Ryan qui s'affala, apparemment assommé alors que huit autres tirèrent leurs armes et visaient Hikaru.  La porte de la voiture s'ouvrit et Hikaru s'y engouffra pour éviter le pire.  Puis, il s'adressa à celle qu’il devinait être au volant en lui demandant de le conduire au labo du prof Johnson. Hikaru ne leva pas les yeux immédiatement, sachant que trop bien que cette jeune fille aurait des cheveux de blé, un habillement de sport et un chignon sophistiqué. 
Comment diable réagir comme il le fallait alors que Ryan risquait sa peau devant chez lui????  Il ne pouvait qu'indiquer à Troia le lieu du labo, les explications seraient pour plus tard.

Suite de Gui

Les médias n'en avaient que pour cette starlette dont il ne se souvenait pas le nom, elle était blonde, chantait et témoignait partout de son puritanisme.  Mais Hikaru s'en fichait éperdument, il savait bien que le miroir de la vérité révélait souvent ces faussaires pour ce qu'ils étaient. 
De même, le mal savait souvent se camoufler sous divers aspects qui agréaient à un plaisir ou l'autre, toujours à l'affût de la moindre faiblesse de l'homme, toujours prêt à le faire marchander les principes qu'il n'aurait jamais dû transgresser.  À ce moment même, un homme quelque part était en train de violer une loi, un mur, en train de réduire la nature à un objet à conquérir.  Hikaru le savait, il sentait cette violation dans son coeur et dans son corps et se sentait profondément humilié, comme si c'était lui qui avait montré un peut trop de son pouvoir, qui en avait fait un objet de convoitise, comme ces courtisanes cantatrices et ces vendeuses de voitures endimanchées qui se prélassait sur le capot comme sur un canapé romain.

Est-ce que nous cherchons le pouvoir... L'amour n'est-elle qu'un chasse ou chacun s'attaque à plus grand prédateur que soi?  Il ne savait pas, cette question fusait comme une roquette soviétique dans son esprit alors que Troia traversait à nouveau la ville.  Il aurait voulu qu'elle lui parle, qu'elle le réconforte, qu'elle lui dise que ce n'était pas de sa faute si la Terre était humiliée ainsi....  Mais elle ne pouvait le faire apparemment, la route l'accaparait et elle donnait tout de son être à la délicate opération d'un projectile motorisé à 145 km/h sur les rues de Montréal.  Elle freina aussi soudainement qu'elle était apparue, signalant du fait leur arrivé au laboratoire de Johnson.  Elle se tourna vers Hikaru avec un oeil triste et compatissant qui criait : "Je suis là!!!"

Elle ne dit rien pourtant.  Hikaru ouvrit sa portière, conscient de son devoir qui l'appelait à aider Ryan et à le sauver.  Il savait que les "policiers" avaient un rapport avec la violation qu'il ressentait.  Tant de choses qu'il aurait aimé dire à Troia et si peu de temps.  Le temps filait toujours trop vite se dit-il en la saluant mornement et en fermant la portière de sa voiture, oui.  On n'aperçoit que de vagues marionnettes, des corps partout et on frôle si rarement les âmes, on vit si rarement le miracle de l'amour.  Plus tu donnes plus tu reçois et ces mille cristaux de bonheur qui te viennent sont autant de perles.... oui

Elle s'était approchée à pas de loup et lui prit la main, doucement, du bout des doigts, pour lui transmettre sa force tranquille et son appui.  Elle était si douce et pourtant si indéfectible; loyale, incapable de faire un compromis, il le sentait.  C'était la plus belle femme du monde, il le réalisait à cet instant, pourtant il ne la regardait même pas.  Il sourit, murmura un merci entre les dents et s'avança encore sans se retourner, de peur qu'elle ait vu le film "sur la ligne de feu".

Il pénétra enfin dans le hall d'entrée du laboratoire ou le professeur Johnson avait aménagé un curieux tapis de caoutchouc ou il était inscrit bienvenu.  Hikaru réprima le rire qui lui montait dans la gorge quand il lut le "welcome" inscrit sur le tapis comme si le labo était une place publique. 
Hikaru aperçut le Professeur qui approchait à grand pas, l'air inquiet.

"non,non, non, vous êtes revenu ce qui ne présage rien de bon..",
maugréa-t-il.

"effectivement, ça chie Monsieur, Ryan s'est foutu dedans." dit Hikaru en saluant le Professeur à la manière japonaise."  Hikaru expliqua les circonstances de son arrivé et la capture de Ryan au professeur qui le regarda avec un air interloqué.

Bon, échappa-t-il avec un certain, calme il y a quelqu'un dont nous aurons besoin pour venir à bout de nos ennemis Hikaru, j'ai déjà un rendez-vous fixé avec lui, je vais le chercher et je reviens, voici une disquette qui résume bien les faits que vous devrez connaître pour aider Ryan. Mémoriser ce que vous pouvez d'ici à ce que je revienne."

"Oui Monsieur!"  Hikaru avait beaucoup de respect pour le professeur qui avait sacrifié sa carrière et sa réputation pour sauver et élever Ryan.  Un tel sacrifice était exemplaire, pensa Hikaru alors que le professeur quittait la pièce.  Hikaru se mit immédiatement à la tâche d'analyser les données recueillies par le professeur.  Il en était à analyser les plans des égouts où Ryan voulait s'engouffrer quand un bruit strident et des lumières rouges se firent entendre.

"Alerte rouge, alerte rouge, intrus dans le secteur trois, mesures de contrôle inefficace."

En pianotant sur le tableau de contrôle principal du Professeur Johnson, Hikaru identifia la source de l'intrusion, c'était la baie minérale où les minéraux rares étaient entreposés.  Il appuya sur le bouton de contrôle des caméras et l’écran de contrôle lui révéla l'apparence de son ennemi.  Un ennemi énorme, une brute habillée de vêtements militaires bleus et gris qui avait défoncé la porte d'acier et agitait les présentoirs à pierre à tous vents à la recherche de quelque chose.  Un mugissement de rage se fit alors entendre dans les haut-parleurs de la salle de contrôle, un mugissement sauvage et dominateur qui frappa Hikaru au coeur comme un éclair douloureux de génie.  "John Mes.....tout s'explique...."

"J'espère" dit le professeur Johnson avec un air extrêmement sévère pour Hikaru.

À ses côtés, un petit être affublé d'un costume d'acrobate sarcelle le regardait avec appréhension en disant: "ça n'est pas sérieux.." trois fois par demi-seconde.

"Eh bien, j'aurai eu le bon réflexe en appelant Stella...  J’aurais dû installer les supers portes blindées plus tôt comme m’avait conseillé mon ami Dr Ben messieurs, prenez chacun une montre power-ranger.  C'est de votre âge de posséder ce genre d’objet et ça nous permettra de communiquer.  Maintenant, Hikaru, tu vas prendre le petit fusil à Ions dans l'armoire à ta droite.  Bon, espérons que ça assommera bien ce larron brutal.  Maintenant, vous allez vous faufiler dans la bouche d'aération qui se trouve à la base du clavier principal et vous allez suivre mes instruction."

Le ton du prof. Johnson ne laissait pas place à la réplique, les deux garçons s'exécutèrent donc promptement sans pauser de question et s'engouffrèrnent dans la bouche d'aération.

Hikaru se mit à ramper en silence alors que Stella égrainait en apparence son répertoire de prières raëliennes par habitude. Après avoir passé deux  intersections, Hikaru s'arrêta brusquement étant en proie à une certaine impatience. 
« tu me les casses...! », dit-il avec un certain air très hargneux.
« Désolé monsieur, c’est à cause de ma mère, avant chaque rendez-vous qu’elle a, elle est très nerveuse et elle récite ses phrases qui lui donnent du courage, j’espère que l’au-delà me donnera la force contre ce monstre »

"Il n'y a qu'une force qui transcende tout, un seul miracle mon ami.  Tu le sens bouillir en toi quand quelqu'un est mis en péril sans raison. Elle coule de ton cœur à chaque acte généreux sans jamais se tarir et se bâtit en toi  chaque fois que tu la partage...."

Hikaru s'interrompit, s'apercevant soudain de l'abrupte rencontre qui avait fait d'eux des frères en armes et se mordit les lèvres. Il fallait reprendre  cette première rencontre baclée...

Il reprit le chemin en disant machinalement: "Tu n'as rien a craindre, ton cœur est plein d'amour et je le sais, ton amour vit en moi, il vivra dans tout ceux qui toucheront nos cœur. Je suis le champion du dieu du stade, du sacrifice, de la compétition, mais aussi de l'amour. Je suis Hikaru et je suis la pour toi jusqu'à la mort Stella et au-delà. Tu te souviendras de moi et moi de toi et avec l'autre dans notre cœur pour nous soutenir, nous trouverons la force de vaincre John...."

Stella observait son compagnon, il était à peine plus vieux que lui, il lui rappelait un peu les jeunes de son quartier. Ces jeunes rebelles se croient  supérieurs à cause qu’ils savent batter une balle à l’autre bout du champ. Maintenant, il devait suivre ce garçon pour défendre un laboratoire d’un prof qui n’a pas installé ses portes de défenses et à ce moment précis où son stress est le plus intense, ce joueur de baseball philosophe. Stella analysait les mots que le jeune asiatique venait de dire, Robin avait toujours été bon en moral et il voulait se prouver, comme s’il osait pour la première fois répondre aux durs de son quartier qui ne veulent pas partager leur terrain de
balle. Stella ralentit radicalement sa respiration, il ne pensait plus au monstre destructeur du labo, il pensait à sa réponse.
« Mon esprit effrayé vous a troublé, vous parlez d’Amour, vous nous dites liés. Vos paroles ne furent pas futiles, j’ai perçu que j’avais de l’importance à vos yeux, c’est un signe de confiance que vous m’accordez et j’en suis honoré. Mais le hasard de cette rencontre n’est qu’une chance de pouvoir affronter John à deux. Il faut nous lier pour espérer vaincre, je ne connais rien de John, laissez-moi douter de notre réussite, mais je garde espoir. Je suis d’accord avec, je me souviendrai de vous, plutôt de nous, de notre tentative dans quelques mom...
     Stella n’a pas pu finir sa phrase, leur montre sonna un beep assez fort pour les surprendre tous les deux «Attention, il vous a détecté, je crois qu’il va défoncer votre conduit d’aération. »


Courriel de JF

Ryan avait un vague souvenir qu'il se faisait encercler par une demi-douzaine d'hommes armés et habillés en uniforme puis tout devint noir.

Il venait de se réveiller dans une petite cellule sale et assez étroite avec une odeur infecte. Les murs étaient en pierre taillés en grosse dalles, il n'y avait pas de fenêtre. Ryan déduit donc qu'il devait être sous terre. La porte était blindée et il n'y avait qu'une simple ouverture au haut de la porte avec des barreaux.

- Qu'est ce que je fais ici non d'un chien ? Les hommes qui m'ont attaqué étaient habillés en policiers, mais cela doit être seulement des déguisements sinon pourquoi de vrais policiers se seraient-ils prit autant pour m’attaquer sans raison. Ils doivent avoir un lien avec celui qui est aller saccager le laboratoire de l'ami de mon père, a moins que ça soit encore un coup de Tiamat.  Merde, quel enfoiré !!!

Ryan regarda autour de lui pour trouver un moyen de sortir de là. En réfléchissant, il s'approcha de la porte et vit un garde accoter sur le mur juste a coté de la porte et un autre accoter sur le mur en face de la porte. Le garde de l'autre cote du couloir ne broncha pas du tout en voyant Ryan approcher.  L'homme dragon se mit a tourner en rond dans sa cellule, histoire de se garder en forme puis tout en réfléchissant il se mit à faire des pompes et des redressement-assis. 
En se relevant, il vit une trappe s'ouvrir au bas de la porte pour faire passer un morceau de pain, un bol de potage et de l'eau. La trappe se referma et un clic confirma qu'on la verrouillait. Ryan se dit que Tiamat ou l'individu derrière tout ça avait des projets pour lui sinon il ne se préoccuperait pas de le faire manger. Comme il avait manger son dîner avant de partir il se dit que cela devait être l'heure du souper, alors il regarde sa montre et fut très surprit en voyant qu'il était 21 : 30. Il avait dormit très longtemps et les gardes avaient attendu qu'il se réveille avant de venir lui porter à manger. Tout d'un coup Ryan se sentit prit d'une fatigue énorme, il marcha jusqu'au fond de la cellule pour s'accoter sur le mur et avant de partir pour un autre monde il soupira :

- Des... des ... som...ni...fères.

Suite de JF

Après la vue embrouillée, tout était devenu noir, plus rien du tout. À son réveil, Ryan fut prit d'une violente douleur à la tête, comme si son cerveau était en train de gonfler dans son crâne. Avant d'ouvrir les yeux il se prit la tête à deux mains et se frotta la nuque. Il secoua la tête à gauche et à droite pour retrouver ses esprits. Il n'arrivait pas à réfléchir tellement la douleur était atroce.

- Saloperie, ce truc est hyper puissant, qu'est ce qu'ils m'ont foutu là-dedans ?

La tête lui tournait sans cesse et arrivait à peine à voir à un mètre devant lui. Il essaya de se lever, ce qui fut un effort surhumain dans sa condition. Il s'agrippa à un genre d'anneau en métal qui servait sûrement à attacher les prisonniers par les poignets. Il appuya sa main sur le mur pour se tenir en équilibre et plissa les yeux pouvoir apercevoir quelque chose. Pendant un instant, il crut voir que la porte était ouverte.

- Merde, j'dois rêver, ce truc qu'ils m'ont donné n'est pas un simple somnifère.

Il se traîna péniblement jusqu'à la porte puis tendis la main vers l'endroit où devait être la porte. En tendant la main, il perdit l'équilibre et tomba dans le vide.

- Putain, la porte n'est plus là. Une chance que personne ne m'a vue, j'ai une réputation à maintenir.

Il se retourna sur le dos et leva la tête pour voir le fond de sa cellule. Il remarqua que cette dernière avait été défoncée et avait été projetée au fond de sa cellule. Il laissa sa tête tomber sur le sol prit d'une soudaine terreur.

- Bon sang, j'ai failli y passer sans m'en rendre compte. Mon père ne s'en serait jamais remit.

Il remarqua également que les gardes n'étaient plus là en scrutant les environs, la place semblait déserte. Il essaya à nouveau de se relever avec beaucoup de difficulté.

- J'y crois pas. Mais qu'est ce qui s'est passé ? En plus je n'arriverais jamais à sortir d'ici tout seul dans cet état. Il faudrait que je dorme encore quelques heures mais si je reste ici je suis en danger.

À bout de force, il se laissa glisser sur le mur hors de sa cellule. Il pencha la tête en arrière. Ses yeux se fermèrent tous seuls et sa respiration était forte et irrégulière...
_________
Courriel de Gui

Les deux intrépides jeunes gens s'approchaient du bout du conduit d'aération, le souffle coupé, les jambes ramollies par le son inquiétant du conduit d’aération qui crissait.  Puis un coup sourd retentit et la paroi d’aluminuim plia juste derrière Stella.

"Par le grand Elhoïm! Grouille-toi Hikaru!"

Bon, on va se remettre à parler de Jésus, pensa Hikaru en s'affairant sur la grille qui leur permettrait de s'échapper.  Hikaru se concentra sur la grille qui était à moitié ouverte maintenant.. Vite, vite...

Un bruit terrible interrompit le fil de sa mélopée, le conduit se courba et se referma, puis se mit à rouler sur le sol, entraînant les deux jeunots l'un contre l’autre dans une étreinte tout à fait impromptue et informelle.  Stella, qui semblait tout à fait pris au dépourvu, se mit alors à chanter une chanson stridente dans les oreilles d'Hikaru:[...]

Encore Gui

Les vapeurs de l'inconscience sont parfois épaisses et parfois aussi lumineuses que le jour.  Du moins, c'est ce que Ichiro Susuki, ancien joueur des Mariners de Seattle et des Champions d'Osaka lui avait dit.  Pour sa part, l'inconscience n'était qu'un long intermède entre deux horribles maux de tête.  John Mess venait de quitter la salle et Hikaru se ressentait de son contact violent avec la paroi du conduit d'aération. "Ooooohhh!", gémit-il avec conviction, alors qu'il reprenait ses esprits et se releva la tête.

"Ça va?", demanda Stella avec une certaine préoccupation.

"Oui, mais on est trop à l'étroit ici, je crois que je vais être
malade...", répondit Hikaru avec consternation.

Toujours Gui

"Je suis désolé Stella..."

Un moment de surprise fugace passa sur le visage masqué de Stella, suivit d'un instant de dénégation, il secoua vigoureusement la tête:

"Ce n'est pas de votre faute..."

"Es-tu certain?  N'est-ce pas moi qui t'a entraîné ici, n'est-ce pas moi qui t’ai donné à croire que tu pouvais être un super-héros à ton âge?  N'est-ce pas moi qui te fait risquer ta vie à ce moment même? Pardonne-moi d'être aussi irresponsable, je n'avais aucun droit..."

« oui, c’est vous qui m’avez entraîné ici, vous et le prof Johnson.  Oui, vous m’avez montré qu’avec du courage, on pouvait faire de grande chose même si on est jeune, oui je crois que c’est à cause de vos coudes sur le conduit que John Mess nous a entendu, mais s’il vous plaît laissez-moi la responsabilité d’avoir choisi d’être avec vous. J’avoue que c’est assez récent que je porte ce masque. Ce n’est pas à cause de vous que je le porte.  Je crois que les joueurs étoiles des Mariners, le grand chanteur Jordy et toutes les autres vedettes respectées partout sur la planète ont une réputation immortelle, on parlera d’eux après leur mort.  Plusieurs les envient d’avoir leur prestige.  Mais qu’est-ce que le prestige ?  JOROT le tueur fou d’Amsterdam qui a réussit de tuer 217 personnes avec son poignard a une réputation immortelle lui aussi.  Mais je ne crois pas que c’est la réputation qui fait une personne, mais bien le bien qu’il fait.  De plus le bien sans réputation, la gentillesse anonyme est encore plus satisfaisante.  C’est pour ça que je porte mon masque, pour que je puisse aider le plus de gens possible quelques fois à leur insu et quand je l’enlève, je n’ai plus de réputation et je peux retourner dans la foule.  Je suis capable de savoir si j’ai bien fait, pas besoin qu’on me le dise. Je tente désespérément de faire le bien, si jeux produire des sourires en faisant descendre un chat d’un arbre, je le fais.  Si je peux éviter les pleurs de milliers de personnes en évitant qu’un fou utilise une arme dévastatrice, je veux tenter de l’empêcher.  Je suis content que vous m’aidiez à atteindre mon but, vous m’aidez à repousser certaines limites qui m’étouffent continuellement dans mon désir de vouloir bien faire. Présentement c’est le conduit qui étouffe mes jambes, je ne sens plus mes pieds, il faut absolument qu’on réussisse à redonner un peu de volume au conduit.

À ce moment, Hikaru rampa sur Stella et donna des coups de bâtons et poussa un peu les parois pour que Stella puisse bouger les pieds.

« Vous, est-ce par un manque de goût à la vie que vous vous risquez dans des missions suicides?  Le prof Johnson m’a dit que je vous devais beaucoup pour l’aventure du BFM Foisy, que vous avez pris des gros risques. »

Hikaru parut plutôt mal à l'aise face à cette question.  Le pressentiment violent que lui avait infligé l'effraction de John Mess, le choc produit par la destruction du conduit lui avait fait perdre le contact avec ce qui devait couler de son coeur et pourtant....
"Je suis le serviteur de l'harmonie, du mana de la terre qui coule des coeurs et émane des vivants.  Je sens chaque violation de l'harmonie au profond de mon âme comme un appel à l'aide qui m'est destinée.  Devant un tel appel, on ne peut reculer.  J'voudrais bien pouvoir me taper une partie de playstation sans m'en faire ou bien faire le bum comme Tobie, mais ce serait vivre dans la facilité.  Je sentais la substance de ta vie dans mon coeur comme si c'était la mienne Stella et je ne pouvais rester de marbre alors que l'on aurait pu te l'arracher.  Le coeur ouvert à la substance du monde y trouve une nourriture, mais aussi une faim inépuisable pour le bien, la justice et l'harmonie.  Tu as raison Stella, nos visages importent peu, mais le fait que nous ayons aidé importe beaucoup.....  Dans le grand dessein de l'univers et des jeux du stade, ma vie n'est rien comparée au bien des autres..."

Hikaru jeta un coup d'oeil sur la grille écrabouillé du conduit.  Il y avait peut-être une chance pour l'ouvrir, mais pas avec le bâton de baseball.

"Stella, aurais-tu un petit bâton par hasard?  On pourrait peut-être s'en servir comme levier pour ouvrir la grille et enfin partir d'ici?  Il est grand temps de se remettre à la poursuite de John Mess."

Anik et Gui

[Le prof Johnson retourne dans son laboratoire.  Après avoir remarqué les nombreux dégâts, il trouve les deux jeunes personnes qui devaient garder son laboratoire enfermé dans un conduit d’aération.  Avec un de ses gadgets, le Prof libère les deux ados et en profite se moquer amplement d’eux.]

Le professeur Johnson amena nos deux héros jusqu'à un tas de détritus et sortit un capteur portable de sols. Il ordonna ensuite aux deux adolescents de se mettre en quête d'une trace de Jonh Mes ce qu'ils firent avec un empressement tout à fait juvénile.  Il explorèrent d'abord le tas de détritus, puis ils se lancèrent à l’assaut du plancher à la retrace d'une trace de John Mess. L'expérience s’avéra fastidieuse, mais après une vingtaine de minutes, Stella trouva la trace du super vilain.

"Une trace de chaussure 14, ça doit être lui."

Hikaru se pencha sur la trace et fit une grimace:

"Ne t'en fait pas, je sens déjà l'odeur de pourriture monter dans mes narines, n’en doute pas, c'est bien lui...."

"Amenez un échantillon ici!"

La voix du prof Johnson se faisait péremptoire et autoritaire, les deux jeunes obéirent et se placèrent au garde-à-vous devant lui.  Le professeur pianota un moment sur son clavier puis leva la tête et annonça: "Nous allons à la carrière Miron.  Préparez-vous les petits, tous à la fourgonnette du mystère..."

Johnson entraîna Hikaru à sa suite se dirigeant vraisemblablement vers la cave du laboratoire.  Enfin, après de longues minutes à naviguer dans un dédale de corridors, nos héros arrivèrent dans un garage ou une vieille camionnette les attendait.  Peinte en vert et bleu, elle paraissait vétuste, mais conservait un cachet joyeux qui fit sourire Hikaru.  Sur les cotés, l'inscription "Mystery Van" était peinte en rouge, aussi subtile qu'un éléphant dans une bergerie.

"Embarquez" beugla Johnson, visiblement de plus en plus impatienté par l'absence de Ryan.  Le vrombissement de la wagonnette du mystère se fit alors entendre pour la première fois dans la ville, destination: le dépotoir de la carrière Myron.


Le prof conduisait la fourgonnette à toute allure, évitant camions et voitures qui erraient en pleine nuit dans la ville.  Jonhson était vraiment un as au volant.  La fourgonnette était un rare véhicule de l’ère pétrolière à rouler encore sur les routes.  Par contre, le Prof Johnson s’est amusé à lui donner un nouveau moteur électrique et quelques petits gadgets pour épater la galerie.  Donc, ce fut en moins de 10 minutes que la mystérieuse camionnette a parcouru plus de 12 km dans les rues sinueuses de Montréal.  Le prof arrêta la fourgonnette peu avant l’entrée. 

« Je sens la présence de Ryan, nous sommes à la bonne place. » lança Jonhson dans un soupir de soulagement.
« Pouvez-vous lui parler ? » demanda Stella.
« C’est ce que j’essaie de faire, mais je ne peux pas, il dort ou il est inconscient. »
« Est-il possible de lui parler dans ses rêves ? » demanda Hikaru d’un ton très curieux.
« J’ai entré une fois dans les rêves de Ryan, je peux vous affirmer qu’il n’y a rien de plus personnel qu’un rêve, j’ai des frissons à y repenser.  Comme ce n’est pas un danger immédiat, je ne le ferai pas.  Je vais faire entrer la fourgonnette, je vous cacherai et vous irez espionner pour tenter de situer Ryan.  Ne faites qu’observer, dans une heure, revenez à la fourgonnette et on passera à l’action pour le sauver.  Dès qu’il y a un problème, le Walki-talky est fait pour ça ».
« Ok, mais les montres Power-Range avaient bien plus de style », dit Stella regardant le sol.

Le prof Johnson s’arrêta dans une ruelle et ramassa plusieurs poubelles.  Stella et Hikaru l’aida sans comprendre.  De retour dans la camionnette du mystère, Johnson vira deux poubelles en l’envers et ordonna aux deux adolescents de s’y cacher.  Après un regard désapprobateur de la part deux jeunes, le prof sut se faire écouter à son regard sévère.  Après avoir un vieux masque respiratoire caché dans le coffre à gant, le prof se dirigea vers l’entrée du dépotoir de la Carrière Miron.

GARDE :  Bonne Nuit, qui êtes-vous ?
JONHSON : Le professeur Mystérieux.
GARDE :  Que conduisez-vous ?
JONHSON : La fourgonnette mystérieuse.
GARDE :  Qu’y a-t-il à l’intérieur ?
JONHSON : Des déchets mystérieux.
GARDE :  Je ne vous ai pas sur ma liste.
JONHSON :  Ce sont le reste de mes expériences, ce sont des déchets, comment dire... nocifs. On m’a dit que je pouvais les laisser ici en échange d’un bon montent d’argent. 
GARDE :  Vous devez en parler avec le patron et à cette heure-ci c’est impossible. 
JONHSON :  Je peux attendre ici et laissez mes déchets vous contaminer en attendant que votre patron arrive ou vous lui laissez une note de ma part et je paierai la prochaine fois, car mes expériences ont le don de laisser plusieurs détritus. 

    La fenêtre de la cabine du garde se ferma, il pesa sur un bouton et un papier à l’extérieur sortit indiquant ou mettre les déchets.  Ensuite la barrière s’ouvrit et le garde prit immédiatement quelques notes de ces événements.  Le prof Johnson s’aventura dans le dépotoir, il laissa d’abord Hikaru avec d’autres déchets dans un coin, il laissa Stella un peu plus loin.  Le prof Johnson pesa alors sur un petit bouton en dessous de son coffre à gant et le pneu avant se dégonfla.  Le prof sortit en lançant quelques jurons et commença très lentement à changer son pneu. 

Un peu plus loin dans une poubelle...

    Stella attendit que le prof s’éloigne, il s’était bien remis de sa chute de la fourgonnette.  Soudain, il entendit un drôle de bruit, assez bruyant, il se cala dans la poubelle peur d’être découvert, mais le bruit s’intensifia et il décida de jeter un coup d’œil.  Une énorme pelle mécanique s’avançait vers lui prêt à l’écraser avec les autres déchets.  Stella se propulsa et évita de justesse la pelle qui écrasa la poubelle qui avait servi de cachette à notre jeune aventurier.  Stella s’écrasa au sol et la pelle mécanique s’arrêta.  Un homme sortit de cette grosse machine et se dirigeait avec lampe à la main éclairant les alentours de Stella.
« Stella, testing, 1, 2, testing, tu me reçois ? c’est Hikaru, juste pour te dire que je viens de remarquer une grosse pelle mécanique qui vient de s’arrêter et un homme débarque, peux-tu t’en approcher, c’est assez loin de moi »
Stella tenta de fermer son Walki-talki mais l’homme avec lumière l’éclaira dans la figure.  Stella partit à la course et sur un rebord de détritus, il se camoufla avec sa cape.  L’homme continua d’avancer avec sa lampe pour retrouver l’intrus.
Stella sortit son Walki-talki et donna enfin une réponse à son collègue.
-    Hikaru!, c’est moi, es-tu là ?
-    Oui je t’attends, je m’approche de la grosse pelle comme je t’ai dit.
-    Ok, je ne suis pas loin de là, le conducteur de la pelle est à ma recherche, attends un peu, il arrive, je te redonne signe de vie quand il sera parti.

Stella resta dans sa cachette et attendait l’homme qui continuait d’éclairer un peu partout.  Soudain, l’homme pris un petit portable sur lui, Stella écouta, il ne put comprendre que quelques mots.

« ...  ok tu me dis qu’il y a un vieux fou avec une camionnette...  désolé, je suis loin de ma pelle je ne peux rien faire...  Oui, je crois que Bob pourrait s’en occuper.  S’lut »

L’homme partit vers une autre direction et continuait d’éclairer en cherchant désespérément l’adolescent masqué.  Stella reprit la conversion avec Hikaru quand l’homme était hors de porté de voix.

-    Hikaru !  Où es-tu ?
-    Je suis prêt de la grosse pelle comme je te disais.
-    Ok, je crois que le prof est en danger, si j’ai bien compris, il y a un autre homme, Bob, si je ne me trompe pas, il désire écraser le prof avec la mystérieuse fourgonnette à l’aide d’une autre pelle mécanique. 
-    Mais je suis loin de lui, je ne peux rien faire, à moins que, attends, je vais vérifier si les clés sont là.
-    Tu vas..., génial !  Moi il y a encore le conducteur, attends un peu, je ne vois plus sa lumière (Stella sortit de sa cachette et se promena mais ne vit aucun signe de vie vers la direction du conducteur).  Je crois avoir trouvé une entrée dans le repère, je m’y dirige.  Bonne Chance !  Que tes dieux soient avec toi !
-    Bonne Chance toi aussi, mais je crois que je vais m’amuser avec cette grosse machine.
-    Ehh, je vais fermer le walki talki pour un petit bout.  Fin de la transmission.


[Conclusion trouvée dans les archives du Journal de Montréal]

SCANDALE à la carrière Miron.

Cadieux, JF.  La nuit dernière, des mystérieux personnages ont infiltré la carrière Miron pour ensuite prendre le contrôle d’une pelle mécanique.  Par la suite, il y aurait eu un combat de pelle mécanique.  On a remarqué la présence d’un Draconiar sur le site, les policiers pensent que c’est un complice dans l’affaire du BFM Foisy.  Pour plus de détails, photos aux pages 17-45.  Photo de la couverture :  Les deux pelles mécaniques s’affrontent, le gagnant ira en final à « Monstres Mécaniques ».

La semaine suivante

Un nouveau Héros, mais la partie n’a pas pu finir.
Cadieux, JF.  Le match des étoiles fut interrompu.  En effet, hier soir plusieurs terroristes ont envahi le stade pour le match des étoiles.  Il eut un Draconiar qui a tenté de s’imposer, mais il fut vite neutralisé par la puissance des armes des terroristes.  Selon mes sources, il aurait perdu l’usage de ses ailes et de ses jambes.  Par la suite, un surhomme venu de nulle part a su contrecarrer les plans des terroriste, il se nomme : Le Capitaine Aventure.  Pour plus de détails, photos aux pages 11-88.  Photo de la couverture : On voit le Capitaine Aventure, le nouveau héros de notre planète posé avec deux fans de baseball, un asiatique portant une casquette de son équipe préférée et un autre s’étant improvisé en mascotte avec un costume ridicule. 



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