BFM Foisy
Maître : Guillaume LeVasseur
Joueurs : Anik, Jean-François.
Courriel de Gui
En Jeu:
"USS Foisy"
avec Hikaru Matsushita
Tobie "Joe Pot"
Karl Gloauguer
Tiamat
Nelli Thuryn
Sophie Roberge
R-Type XXXII: The red baron était un jeux de réflèxes
avant tout et une épreuve pour les pouces ensuite et enfin, on pouvait
dire que son tout était un divertissement passable. Mais Hikaru
n'en avait rien à foutre. Il était visiblement pertubé,
mais s'efforçait de le cacher. Le studio luxueux de son oncle n'en
était pas la cause, même si le style décontracté
de sa mise contrastait cruellement avec la décoration de style néo-renaissance.
Exaspéré, Hikaru éteignit le playstation et décida
qu'il serait temps d'aller s'entraîner au dojo le plus proche.
L'entraînement lui manquait aussi cruellement que Tsutomi, qui avec
son sourire et sa naiveté éclairait la journée. Hikaru
prit son kimono, le fourra promptement dans son sac et ouvrit la porte
avec un air déterminé qui d'une seconde à l'autre devint
un visage convulsé. La souffrance et la mort, quelq'un infligeait
une blessure profonde à l'ordre, à l'harmonie de la natuure
et sa porpre harmonie s'en trouvait compromise.
"Tout devient plus clair" échappa Hikaru, sans se rendre compte de
la présence de son camarade.
"Mais quoi au juste, la stupidité de Paradis et de son cours d'histoire"
répliqua la silhouette de la porte avec un rire moqueur.
Martin Paradis était un prf brillant, mais Hikaru savait que son
caractère hyperactif ne faisait pas fureur. Oubliant ce commentaire
sur l'école, Hikaru se reprit, puisant en-lui--même la force
de paraître imperméable au message troublant que lui transmettait
la terre:
Hikaru--Tobie, que viens-tu faire ici, je t'ai dit que je ne voulais pas
de ton pot!
Tobie--Non, mais te conaissant, je croyais que tu aimerais venir avec moi
au pied du Mont-Royal, la rumeur veut qu'il y ait un vieux laboratoire disparu.
Un vieux laboratoire disparu!! Hikaru en avait entendu vaguement parler.
Ce genre de laboratoire pourrait sûrement contenir des indices intéressants
de paranormal, voire peut-être des preuves du passage d'êtres
mystiques.
Hikaru décida de suivre son camarade délinquant, non qu'il
respctait sa désinvolture, mais il voulait en savoir plus.
En chemin, il oublia vite celui qui aurait pu devenir son premier ami en
sol québecois et se
tourna en lui-même pour retrouver la sérénité
et la volonté qui lui permettait de puiser à même la
magie de la terre. Il y parvint, identifiant du coup une série
de traces à demi-dissimulées par celui qui occupait probablement
le laboratoire abandonné.
"Nous y sommes presque" affirma Hikaru, alors que Tobie laissait échapper
un filet de fumée de canabis.
"Mais ou donc" répliqua-t-il?
"Dans votre tombeau", cinq hommes avaient surgi, encerclant les deux adolescents.
Le chef, un homme au nez crochu et aux cheveux noirs ajouta:
"Dommage, mais personne ne doit savoir ce que nous sommes venus chercher
et prouquoi?"
"Tiamat, le dragon noir, je te reconnais et je te le dis, je ne me laisserai
pas corrompre, les dieux du stade te somment à travers moi d'abandonner
ta quête de douleur!!" Le visage d'Hikaru irradia la puissance
alors qu'il sortait son fidèle eastwood de son sac à dos et
qu'il prenait une position de combat.
Restant de glace, Tiamat répliqua: "Qui es-tu pour percer mon déguisement
et pour connaître mon nom? Peu-importe, draconiens noirs, emparez-vous
d'eux et tuez-les!"
"Merde" cria Tobie....et effectivement, il venait de se foutre dans un
sacré pétrain, mais pas Hikaru.....
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Robin essayait de faire ses devoirs, mes les jumeaux ne voulaient pas coopérer.
Ils se prenaient allégrement pour des fous du roi et racontaient
sans cesse la blague de la grenouille à grande gueule. Alors
Robin décida d'ouvrir la Holovision. Sa mère l'avait
laissé aux tendres soins des jumeaux pour aller rencontrer l'un de
ses douze pères potentiels qui venait de recevoir son premier commandement
sur le bâteau de guerre BFM Foisy qui allait être baptisé.
"Le BFM Foisy est le premier Bateau construit par la nouvelle marine mondiale
et sera commandé par le Capitaine Karl Gloauger que l'on voit ici
en compagnie d'une fiancée présumée. Rappelons
que le capitaine est l'un des plus grands partisans de l'union au québec.
L'inauguration va bon train et l'on procédera bientôt au lancement
du bâteau. Ici Nelli Thutyn du port de Montréal qui laisse
la place à quelques message publicitaires...."
Les messages suivirent dont une partucilièrement drôle qui
défiait l'auditeur à la regarder dans les yeux, puis ce fut
le retour au reportage, mais tout avait changé. Un homme se
tenait devant la caméra, tenant Sophie Roberge dans son bras droit
alors que la journaliste parlait avec panique : "Un homme nous dit qu'il
a prit le contrôle du bateau et qu'il ne faut en aucun cas envoyer
la police, il dit que si la police approche il tuera tout le monde.. au
secours Tchhhhhhhhh!"
Le nuage de statique en 3-D remplaça l'image du vaisseau assailli....
Courriel de Anik
Après le journal télévisé,
il eut un bref silence avant que Martine parte en sanglot.
Martine : Maman, je ne veux pas qu’elle meurt!
Martin : Mais fais-toi en pas, elle va s’en sortir,
elle s’en sort toujours.
Martine : Ne fais pas l’hypocrite, tu sais bien
que depuis les forces de la région sont parties pour un nouveau continent
plus de 88% des attentats terroristes, si on compte les attaques des pirates
et des terroristes marins, dans la dernière année, dans tous
les cas les terroristes ont eu ce qu’ils voulaient.
Ce fut assez pour convaincre le deuxième jumeau
qui avait tenté de garder son calme à partir en larme lui
aussi. Robin s’approcha et les serra fort dans ses bras.
Après quelques minutes les jumeaux furent calmés.
Robin : Je connais un de mes amis qui est très
rusé et très habile, je vais aller le voir pour qu’il
aille sauver maman.
Martin : C’est quoi cette histoire d’ami imaginaire,
à ton ton de voix, cette histoire n’est pas vraie.
Robin : Tu te trompes cette histoire est très vraie,
je suis peut-être un peu nerveux, car cette personne est un Super-Héros.
Martine : Un Super-Héros comme tu dessines toujours
dans ton bloc-notes.
Robin : Ouin, genre ça, comment ça tu fouilles
dans mon bloc-notes.
Martine : Car je cherchais le nom du logiciel que tu utilises
en classe pour tes cours d’algèbre, je me rappelle que tu notes
toujours tous les logiciels que tu utilises dans ton bloc-notes.
Robin : C’est bien, c’est bien, mais je dois
partir, donc verrouillez à double tour quand je serai parti.
Robin alla dans sa chambre, pris son sac, embrassa les
jumeaux avant de partir.
Martin : Mais qu’est-ce que tu as dans ton sac?
Robin : C’est mon imperméable, au cas qu’il
pleut.
Martine : Mais ton imperméable est dans le garde-robe
à côté de la porte d’entrée, je vais aller
te le chercher.
Robin resta sans bouger et prit l’imperméable,
ouvra son sac face à lui, fourra l’imperméable et partit
à la course en faisant semblant de ne pas comprendre la question
que Martin lui posait.
Robin se dirigea à la station de Métro
pour se rendre ensuite au Vieux-port. Arrivé au Vieux-port,
il avait foule, déjà que la foule était nombreuse pour
l’inauguration du BFM Foisy, le reportage à la télévision
attira une tonne de curieux. Robin chercha un endroit pour se changer,
mais il y avait des gens partout. Il avait pensé d’aller
à des toilettes publiques, mais il y avait une file, il ne voulait
pas que la personne qui attendra après lui vois entrer un garçon
et sortir l’idole d’un peuple : Stella, l’étoile
de l’espoir.
Robin (en pensée) : Je me changerai plus
tard. Sur le bateau, je devrais trouver un endroit, mais avant tout
je dois me trouver une embarcation pour me rendre.
Tous les endroits touristiques où des embarcations étaient
à louer étaient fermé en cette heure de la soirée.
Robin (à lui-même) : Pot d’épices !
Quand on se promène le jour, on nous harcèle pour louer leur
engins ridicules, mais quand on en a veut vraiment un, ils sont tous fermés.
Un passant : Excusez de vous interrompre dans vos pensées,
mais si j’ai bien compris, vous cherchez un véhicule marin.
Robin : Exactement!
Le passant : Bien, je suis un des commerçants que
vous accusez de harcèlements, je peux vous faire un prix, mais comme
on n’est pas dans les heures régulières, vous devinez
bien que c’est double tarif.
Après avoir payer un montant
pour l’embarcation pour la nuit au complet, Robin se retrouva sur
une bicyclette nautique. Alors Robin pédala de toutes ses forces
pour faire tourner les deux grosses de cet engin très lent.
Ayant quitté la rive il se dirigea vers le bateau. Ce dernier
avait à peine quitter le port pour hors de portée de tir des
armes normales des policiers. Robin décida de se changer sur
la bicyclette pour qu’il soit prêt quand il sera au bateau.
Ce ne fut pas sans peine qu’il a mit son costume et de garder l’équilibre
sur la bicyclette qui se laissait bercer sur les vagues.
Pendant ce temps, les jumeaux
suivent anxieusement les informations à la holovision. Journaliste
: Vous voyez de notre vue d’hélicoptère
que la flotte de la police s’est fait couler en l’espace d’une
seconde, même en faisant passer les images au ralenti, nous ne pouvons
pas voir les torpilles ou missiles qui les ont fait couler. Attendez, une
escouade en moto-marine arrive et... Non les terroristes ont vraiment un
système de défense incroyable, les neuf moto-marines ont piqué
du nez en même temps et les policiers tentent de rejoindre le port
à la nage. Mais qu’il y a-t-il? Quelle est cette embarcation
qui se dirige lentement vers le BFM Foisy, on dirait cette sorte de vélo
nautique que les touristes louent pensant à tort que c’est
amusant. Mais quel est cet homme? faisons un gros plan s’il vous plaît.
À cet instant, on voit un garçon de dos enlever ses pantalons
cargo, pour enfiler des collants noirs. Le garçon avec cagoule
et grande cape se retourne et il enfile de grosses bottes de cuirs.
Martine : Tu crois que c’est lui
l’ami de Robin?
Martin : Bien non, tu n’as
pas compris, c’est un Super-Héros, pas un clown exhibitionniste
qui se déshabille à l’holovision.
Martine : Mais c’est un ami de
Robin...
Martin : Ouin, vu de cet angle,
c’est possible que ça soit lui, maman est vraiment en danger!
Stella était sur le bicyclette nautique, mais il avait l’étrange
impression d’être observé. Il avait entendu plusieurs
moteurs tomber en panne tous en même temps, il regarda son embarcation
et fut content de ne pas avoir de moteur. Il pédala, ç’a
pris une bonne demi-heure pour pouvoir se coller sur le BFM Foisy, il avait
de la difficulté à avancer à cause des énormes
vagues que le bateau faisait. Finalement, il rejoint le bateau, mais
il était bien trop haut pour qu’il puisse y monter, il tenta
avec son fouet, mais encore là, il n’était pas assez
long. Il vit un hublot un peu plus haut que lui, alors il frappa plusieurs
fois dans le hublot avec son fouet et quelqu’un l’ouvrit.
Alors il tenta de donner un petit coup de fouet vers l’intérieur.
Le bout de son fouet se plaça dans le trou du hublot. Il tira
doucement et arrêta, il répéta ce geste quelques fois
pour enfin voir ses attentes récompensées, la personne qui
avait ouvert le hublot attacha le fouet, donc Stella put monter. Il
se hissa jusqu’au hublot laissant la bicyclette nautique à
la dérive. Au hublot, il s’aperçut qu’il
était trop petit, il ne pouvait qu’y passer sa jambe.
Alors il resta à l’extérieur et cria pour communiquer
avec son allié.
Stella : Merci, mais je suis encore
bloqué. Qui êtes vous?
Voix : Je suis Nelli
Thutyn, je suis une journaliste qui fut enlevée lors du départ
du bateau. Vous, qui êtes-vous, un pêcheur ?
Stella : Bien non, je suis un
Super-héros anonyme, mais mon nom de travail est Stella, l’étoile
de l’espoir, je viens sauver les otages, combien vous-êtes?
Nelli : Dans cette cabine,
nous sommes trois, mais je crois qu’en tout il y a une centaine d’otages.
Stella : Il en a bien trop, je
pourrais jamais les sauver !
Nelli : Ce n’est pas
moi qui a dit que vous étiez un Super-Héros, assumez donc
vos dires. Mais que voulez-vous faire perché à ce hublot?
Stella : Je cherche un moyen d’entrer
dans le bateau, il me semble que ça se voit. Mais attendez,
je vois une petite porte plus à droite, si je me balance avec mon
fouet, je crois que je pourrai la rejoindre, quand vous ne sentirez plus
de pression sur le fouet, détachez-le.
Alors Stella descendit un petit
peu, et commença à courir au mieux qu’il pouvait sur
la coque du bateau et retomba, ensuite avec l’élan il tenta
à nouveau et ce fut au quatrième essai qu’il réussit.
La porte n’était pas très grande, Stella pensa d’abord
qu’elle devait servir à une entrée clandestine aux nains,
mais laissa tomber le pourquoi de la porte et entra. Une fois entrée,
Nelli détacha le fouet comme convenu et Stella le récupéra.
Il se retrouva, dans un petit garde-manger avec plusieurs caisses de cannes
de conserve. Il sortit de la salle et se retrouva dans un couloir,
il vit deux hommes armés faire la garde, alors il retourna dans le
garde-manger. Il tâta les murs, à savoir s’il pouvait
les défoncer, mais il ne pouvait pas. Soudain il entendit des
pas allant dans sa direction, alors Stella se cacha dans un coin avec sa
cape, quelqu’un entra et referma la porte. La lumière
s’ouvrit.
Nelli : Ouin, une cape noire
sur un mur blanc, ce n’est pas trop discret.
Stella : Mais que faites-vous
ici?
Nelli : Après avoir
détacher votre fouet, j’ai fait venir un garde lui disant d’aller
voir avec dans le garde-manger, car un Super-héros venait d’y
entrer. Le garde partit à rire. Quand il reprit son souffle,
il me dit que si j’avais vraiment faim il y avait des moyens plus
simples d’avoir de la nourriture, donc il me laissa aller seul
au garde-manger. Quel votre plan comme vous êtes à l’intérieur
du bateau?
Stella : Je vais sauver les otages.
Nelli : En détails,
ça veut dire quoi?
Stella : Bien, j’avais d’abord
penser donner des bonbonnes d’oxygène à tous les otages
et ensuite de faire couler le bateau, mais comme il y a plus de cent
otages, je devrai trouver mieux.
Nelli : Comment êtes
vous arrivé jusqu’au bateau en fait? Tous les autres
véhicules qui ont tenté d’approcher le bateau ont eu
de féroces pannes, mais deux hélicoptères de notre
chaîne ont échoué, il n’en reste qu’un seul
qui se contente de prendre des images de loin.
Stella : Les héros ne dévoilent
pas leurs secrets, mais comment savez-vous tous ça?
Nelli : Avec ma pagette,
je reçois des informations de l’extérieur, c’est
justement des gens du dernier hélico qui m’ont envoyé
ces informations. Attendez, je reçois un nouveau message :
U-N- -H-U-L-U-B-E-R-L-U- -A-R-R-I-V-É- -E-N- -V-É-L-O-
-N-A-U-T-I-Q-U-E- -V-I-E-N-T- -D- -E-N-T-R-E-R- -D-A-N-S- -L-E- -B-A-T-E-A-U-
- -. Vous êtes arrivé en vélo nautique ha ha !
! !
Stella : Bon ça va, vous
avez découvert mon secret, mais vous m’avez faite penser que
le bateau doit posséder un champ d’absorption d’énergie
électrique, je me rappelle d’avoir vu ça, si je ne me
trompe pas, c’est dans un vos reportage, Madame Thutyn.
Nelli : Mais c’est
fort possible, le bateau a comme cargaison les derniers modèles de
véhicule au gaz de l’armée américaine, donc ils
se gardent en position de contrôle.
Garde : Ne videz pas toutes les cannes de conserve, le voyage dure plusieurs
jours.
Nelli : Non, mais comprenez-moi,
c’est long à ouvrir une canne de conserve avec une lime à
ongle.
Pendant que Nelli répondait,
Stella se cacha derrière la porte, le garde ouvrit la porte en répondant,
Garde : Attendez que je vois aide avec moi poign...
Et Pow, un goût de bâton
de majorette derrière la tête.
Garde : Ayoy don !
Le coup n’a fait que surprendre
le garde qui en échappa son poignard, Nelli le saisi et menaça
le garde, tandis que Stella continua de fesser le garde voulant absolument
réussir à l’assommer.
Nelli : Vous allez nous
reconduire dans la cale du bateau.
Garde : D’ac,cord,
mais, mais dites, ay, à, votr,ay copain d’ay, rrêter
de me frapper!
Stella arrêta et prit le
fusil électrique du garde et le menaça pendant qu’il
allait parler à Nelli.
Stella : Je ne crois pas qu’on
pourra libérer tous les otages, mais il serait bien que vous quittiez
le bateau avec quelques personnes importantes, je ne sais pas, genre le
capitaine et sa fiancée. Je resterai à bord, tentant
de neutraliser la source du champ d’absorption d’énergie
et vous communiquerez avec moi par la pagette. Une fois désamorcée,
je tirerai une fusée de détresse, si j’en tire quatre,
c’est que tout le bateau est neutralisé.
Nelli : Avez vous des fusées
?
Stella : Non, mais je trouverai,
ça vous va?
Nelli : Je ne veux pas perdre
mon scoop, mais je peux envoyer mon cameraman à la terre, et je vous
laisserai sa pagette si vous voulez être aussi au courant des dernières
nouvelles.
Stella : Marché conclu.
Allez avec le garde récupérer votre cameraman et trouver une
embarcation convenable pour vous sauver, je reviens dans 5 minutes avec
le capitaine et sa fiancée.
Garde : Bonne chance !
Stella : Comment ça Bonne
chance ?
Garde : Le capitaine est dans une cabine juste à côté
de l’escalier, il y a cinq gardes à l’intérieur
et vous... Vous n’êtes pas capable d’en assommer
un et ne vous faites pas la différence entre un fusil électrique
et un rasoir électrique.
Nelli : Pourquoi vous nous
aider ?
Garde : Je ne sais pas le nom de celui qui nous a engagé, mais au
prix qu’il nous a payé, il n’a pas eu les mercenaires
les plus loyaux.
Stella : Mais donnez-moi votre
fusil!
Le garde pris son fusil dans sa botte et tira un coup en direction de Robin.
On n’entendit qu’un « spssssou ». Ensuite
le garde le donna à Stella.
Garde : C’est vous qui l’avez dit, champs d’absorption
d’énergie électrique. Il convertit l’énergie
pour faire fonctionner et avancer le bateau à grande vitesse, je
crois. Mais ne demandez pas pourquoi tout ce qui est à pile
ne marche pas.
Stella : Et son pagette ?
Nelli : Il marche avec des
cristaux liquides qui ne demandent pas beaucoup d’énergie,
l’énergie thermique du corps suffit à l’alimenter,
donc on manque de pile, seulement quand on meurt.
Stella : Alors, comment les gardes
sont armés ?
Garde : Les plus bêtes encore avec leurs fusils électriques,
les autres comme moi avec un couteau. Je crois que ceux sur le pont
ont des fusils à poudre.
Stella : Si les cinq n’ont
pas de fusils en état, je pourrai libérer le capitaine et
sa fiancée sans problème.
Garde (à Nelli) : Est-ce qu’on
peut y aller avec lui? il est tout jeune, ça serait triste qu’il
meurt.
Nelli : Ça me va.
Alors les trois sortirent du
garde manger, Stella longeant les murs pour ne pas se faire voir.
Le garde alla chercher le cameraman. Les quatre ensemble se
rendirent à la cabine où le capitaine était enfermé.
Le garde se mit une poche de patate sur la tête, pour ne pas se faire
reconnaître de ses confrères. Le cameraman avait pris
le couteau du garde, tandis que Nelli quelques cannes de conserve.
Alors les 4 entrèrent. Nelli lança ses cannes de conserves
sur le garde le plus près de la porte, Pochedepatateman réussit
à assommer un garde avec son poing et prit le couteau de ce dernier.
Stella fouetta les deux autres gardes qui se lamentèrent des coups
reçus. Le cameraman prit le dernier par le bras et put l’immobiliser
avec le couteau. Pochedepatateman assomma les deux que Stella étaient
en train de torturer avec son fouet. Le cameraman trouva de la corde
et attacha les gardes et Neilli les baillona. Stella et Pochedepatateman
libérèrent les deux otages qui étaient attachés
sur des chaises.
Sophie (à Pochedepatateman): Vous êtes mon
héros, mon sauveur, je vous suis reconnaissante corps et âme,
surtout corps.
Karl : Merci bien,
Sophie reste avec moi, on ne sait pas si on leur faire confiance, surtout
lui, il est habillé pareil comme les gardes autre sa poche de patate
je dois le reconnaître.
Nelli : N’ayez pas
peur, vous ne me reconnaissez pas?
Nelli Thutyn de Montréal Scandale en direct.
Les prisonniers suivirent donc leurs sauveurs, Karl gardant son bras protecteur
autour des hanches de Sophie. Les personnes descendirent donc dans
la cale. Le garde qui avait enlevé sa poche de patate avait
réussit à donner le droit de passage à chaque endroit.
Dans la cale, ils trouvèrent un petit bateau à moteur
que l’infirmerie américaine avait.
Stella : Karl et votre amie, tout
comme le cameraman, vous allez vous cacher sous le banc, tandis que le garde
conduira le bateau et vous amènera en sécurité.
Karl : Je suis le
capitaine de ce bateau, je ne veux pas l’abandonner à ces brigands.
Cameraman : Moi aussi, je ne suis pas sûr
de vouloir partir.
Sophie : C’est parfait ainsi,
je partirai donc seule avec ce monsieur musclé qui m’a sauvé
la vie si héroïquement.
Karl : Hmm, finalement
je vais partir et vous (prenant le cameraman par le bras), vous venez avec
nous, c’est un ordre du capitaine.
Courriel de Gui et JF
Alors que Ryan, l'homme dragon, faisait sa ronde quotidienne en survolant
les environs de son "domaine" et en chemin pour son entrainement, son père
adoptif, le prof. Johnson, lui communiqua le message suivant par son
transmetteur de pensées (télépathie).
- Fils, le groupe de draconiens qui rode dans le secteur depuis quelques
temps est revenu. Cette fois ils sont plus près du labo. Je ne crains
qu'ils finissent par nous découvrir.
- Non, là c'est trop, nous avons été assez patient,
cette fois je vais m'en occuper personnellement. Peux-tu me préciser
leur position.
- Ils sont à environ 1 km du versant sud de la montagne, directement
en face du labo.
- D'accord j'y vais tout de suite.
- Attends un peu, ils ne sont pas seuls cette fois, ils encerclent 2 autres
personnes, des adolescents je crois. Tu ferrais mieux d'aller voir avant
qu'il aie des ennuis mais sois prudent tout de même.
Ryan interrompit la communication avec son père pour se rendre à
l'endroit indiqué par celui-ci. Il se mit immédiatement en
vol, tout en sortant ses griffes. Il arriva bientot au dessus du sentier,
qui était à découvert, donc il voyait parfaitement
tout ce qui se passait. Il remarqua avec évidence que les 2 ados
étaient pris au piège par cette bande de draconiens noirs
sans pitié qui se rapprochaient dangereusement d'eux. Il fondit donc
droit sur eux.
Soudain Tobie regarda dans les airs et appercut une silhouette foncée
arrivé à toute vitesse. Prit de panique il s'écria
:
- HA Hikaru, r'garde là haut, en v'là un autre !!!!
- Hein... Quoi... ? (Hikaru baissa sa garde et regarda dans les airs, les
5 hommes noirs en firent autant)
Tous furent pris par surprise lorsque Ryan aggripa l'un des hommes par les
épaules avec les griffes des jambes pour le soulever de terre. En
volant sur place, avec le draconien bien empoigné dans ses griffes
il lança au reste du groupe :
- Vous, il y a quelques temps que vous rodez dans les parages. Quoi que
vous vouliez vous ferriez mieux de déguerpir et de ne plus revenir.
Je vous conseille aussi de laisser ces jeunes tranquilles si vous ne voulez
pas d,ennuis. Je ne tuerai personne cette fois, mais la prochaine fois,
je sévierai.
Tiamat restait de glace devant ce nouveau venu et lança à
son tour :
- Qui c'est ce monstre, on a rien a foutre de toi. Laissez le faire les
gars, occupez vous des 2 autres, je vais lui faire mon affaire moi à
cet demi-portion.
Les 3 autres hommes se dirigèrent alors vers Tobie et Hikaru. L'un
alla directement sur Hikaru et essaya de le plaquer. Hikaru évita
la charge avec agilité pour lui flanquer un coup amorti dans les
côtes. L'homme dragon encaissait le coup mais chuta tout de même
un peu plus loin. Un autre, approcha prudement vers Tobie. Il essaya de
le frapper à la figure, mais Tobie se pencha de justesse et se releva
tout en lui administrant un superbe Uppercut sous le menton. Tobie se frotta
la main qui devint soudainement douloureuse. Voyant l'homme un peu étourdit,
il le frappa dans l'abdomen avec son pied. Mais le 3e draconien le prit
par derrière en l'agrippant par les bras et la taille. Il gueula
:
- À l'aide Hikaru, vient m'aider !
À ce même moment, Ryan lacha son gaillard qui s'assoma sur
le choc. Il se rua sur le chef en lui jetant :
- C'est moi que tu traite de monstre connard, t'es tu deja vu en face ???
Il l'agrippa par la gorge, et le souleva pour aller l'accoter sur un arbre.
- Je t'avais averti. Maintenant tu rappelles tes hommes avant que je me
fâche pour de vrai.
Ryan insista sur son emprise sur l'homme qui essayait de se dégager.
- D'acc... ord... les gars... on se... koff koff... on se replient.
3 des hommes se levèrent et s'enfuirent immédiatement. Ryan
lâcha Tiamat qui lui jeta sèchement :
- T'as gagné cette fois, mais cé pas fini tu vas voir.
Le chef se retourna pour suivre ses hommes. Le dernier du groupe qui était
encore inconscient, se réveilla, mais ne perdant pas de temps, Hikaru
le frappa derrière la tête avec son fidèle Eastwood...
Ce qui eut aucun effet sur « l'homme » qui se mit à ricaner
bruyamment, puis, il disparu soudainement devant les yeux ébahi de
Tobie et de Ryan. Hikaru serra les dents et laissa échaper
:
« C'est le seigneur noir..... mon dieu...non, la terre en sang
sous le coup de l"outrage final et le dernier dragon qui crache son
sulfure engufle la terre de noirceur. Qui était cet homme,
qui porte le roi noir en son sein, comment l'arrêter..... »
Hikaru se roulait de côté, il ne parvenait plus à contrôler
les noires prophéties qui fusaient dans son cerveau. La puissance
de l'être qu'il venait d'affronter brouillait complètement
son lien à la terre qui se trouvait pollué par la noirceur
de l'esprit.
Ryan ne se laissa pas impressionner par les convulsion du jeune adolescent
et il le leva de terre pour lui asséner quelques gifles et le ramener
à la réalité :
« On m'avait dit que le stress pouvait avoir des effets néfastes,
mais ceci est ridicule!!!! Allons, reprends-toi petit », lança-t-il
en asséna quelques gifles au jeune homme.
« Je vous prierait d'arrêter, domo arigato pour ce réveil,
mais je vais mieux. »
Tobie riait : « Et dire que c'est moi qui en fumait du bon. »
Hikaru s'agenouilla et se mit à se concentrer, il maintint cepandent
la conversation avec ryan :
HIKARU-Vous habitez le laboratoire n'est-ce pas?
RYAN-La plupart du temps, mais ces temps-ci je passe mon temps à
chasser ces terroristes qui se disent draconiens.
HIKARU-Vous avez des sectes par ici?
RYAN-Ne me demande pas, ce n'est pas ma spécialité.
HIKARU-J'en déduits qu tu n'habite pas seul, mais que tu es isolé..
Voudrais-tu me présenter à ton ami? Comme tu le vois
je manque de camarades de valeurs...Je te défierais à une
partie de baseball, mais malheureusement, nous avons un grave problème.
L'homme que nous avons affronté, Tiamat...est en fait un avatar diminué,
mais néanmoins dangereux d'un dragon ancien.
RYAN-Tu es complètement cinglé petit.....
HIKARU-Peut-être, peut-être pas. Si c'est vrai, tu pourrais
gagner à en savoir plus,, ça pourrait t'en apprendre plus
sur toi-même, qui sait Tu es prêt à enquêter sur
les draconiens avec moi?
Courriel de JF
Ryan : Attend un peu petit, je ne comprends pas très bien toutes
tes histoires sur ce seigneur noir et ce Tiamat qui serait un avatar diminué
comme tu dis. Il est clair que ces types sont comme moi, mais même
moi je n'ai que de vagues souvenirs sur mes origines, j'veux dire, j'ai
des parties humaines comme vous mais de dragons aussi. Néanmoins,
je crois que je devrais rentrer et en parler avec mon père, il est
grand temps d'éclaircir tout ça.
Hikaru : Comme ça c'est avec ton père que tu vis ?
Ryan : Ouais, en fait non... ce n'est pas mon vrai père mais il m'a
recueilli il y a plusieurs années.
Hikaru : Qu'est ce qui s'est passé ? Pourquoi est tu là ?
Ryan : Impossible de répondre petit, la seule chose que j'me rappele
c'est de voir d'autres gens comme moi qui couraient partout, c'était
la panique. Je crois qu'une catastrophe est arrivée, j'entendais
mon nom crié partout, Ryan, Ryan... mais impossible de me souvenir
qui s'était. Mon père m'a dit que la seule chose que je pouvais
dire quand il m'a trouvé c'est Ryan, Ryan... alors il a cru que c'était
mon nom mais ...
Hikaru : Inutile d'en dire davantage, l'heure n'est pas à la nostalgie,
je crois savoir qui est votre père. Ce ne serait pas le professeur
Johnson par hasard ?
Ryan : Oui c'est ça, mais comment sais-tu ça petit ?
Hikaru : Il y a quelque rumeurs qui ont circulé pendant quelques
temps comme quoi, un certain mr. Johnson aurait adopté un jeune enfant
extraterrestre, mais je ne sais rien sur lui.
Ryan : Je vois d'accord ! Bon j'y vais, alors vous pouvez venir avec moi
si vous voulez.
Les 2 adolescents suivirent l'homme dragon vers son "antre". Ils arrivèrent
après environ 15 minutes de marche devant un grosse paroi rocheusse.
Courriel de Gui
Tobie pénétra dans le Laboratoire illuminé de partout. Tobie ne put s'empêcher de faire une remarque subtile.
TOBIE--C'est aussi bien décoré que dans star trek ou que
chez moi à
Noël ici!!!
Un regard noir de Ryan et d'Hikaru le força immédiatement à se taire, ses compagnons n'avaient semblent-ils pas l'humeur à rire. En fait Ryan semblait intrigué par la situation, mais il n'appréciait pas de commentaires légers sur ce qu'il estimait être son domaine personnel ou à tout le moins la maison paternelle. Les trois compagnons se dirigèrent donc vers l'écran de contrôle principal qui permettait au professeur d'interagir avec l'ordinateur principal et le système de sécurité du bâtiment.
RYAN--Vous devez promettre de ne pas parler de ce que vous allez voir à personne.
HIKARU--C'est plus qu'une promesse, c'est un serment sacré que je scelle en exécutant la révérence du dieu Jenno Tenno.
Tobie bafouilla une promesse incompréhensible qui irrita Ryan...Il faudrait s'occuper de ce jeune indiscipliné plus tard.
Une voix assurée interrompit ce serment ridicule...
VOIX--Clata verata nict"atchoum!"...je voulais vous saluer dans la langue dragoniar, mais mon rhume m'en empêche.
HIKARU--La langue dragoniar est la langue natale de notre
ami(en pointant Ryan).
L'homme s'approcha, il était de taille moyenne et portait un sarrau blanc.
JOHNSON--Je suis le Professeur Johnson, j'étais anthropologue lors du premier contact avec les dragoniar et je me suis aussi occupé de Ryan en tant que médecin, géologiste et biologiste.
HIKARU--Mais vous êtes mort, je l'ai vu à la télévision,
ils ont
découvert votre corps.....
JOHNSON--Je vous expliquerai un jour pourquoi personne ne doit connaître mon existance, mais tout cela n'a pas d'importance pour l'instant.
Johnson se tourna vers l'écran et pianota sur quelques touches pour faire apparaître une image d'un bâteau amaré au vieux(très vieux) port.
JOHNSON-Ryan, il y a une prise d'otage sur le BFM Foisy, ce bâteau qui est sur l'écran.
RYAN--Ma première mission??
JOHNSON--Je crois oui, regard bien ce que je vais te maontrer, je vais magnifier la vedette qui approche du naivre.
Hikaru eut un haut le coeur viloent quand il reconnut le conducteur de la vedette rapide qui s'élançait vers le Foisy avec huit créatures d'apparence dragonoide armés de fusils électriques.
RYAN--Pas encore cet emmerdeur....
Hikaru voyait déjà plus loin. Son instinct l'avait déjà mis sur une piste.
HIKARU--Regardez au centre de la vedette, cette couverture recouvre
probablemnt une pièce électrique ou electromagnétique
quelconque. La légende dit que Tiamat est venu sur terre pour mener
les légions draconiques à la gloire, mais que dans son coeur,
le grand dragon céleste ne pouvait priver les hommes de la liberté.
Il envoya donc son féal, bahamut sous forme humaine pour défendre
l'humanité. Les pouvoir de bahamut lui permirent de sceller Tiamat
dans le corps d’un homme et de ses descendants. Mais si le dragon
s'éveille....
JOHNSON--Ce que vous dîtes est surréaliste, ces gens sont dragoniars, je l'admets, mais rien ne prouve qu'un être surnaturel soit avec eux.
HIKARU--Et si c'était une entité extra-dimensionnelle, qu'en diriez-vous?
JOHNSON--D'après la loi de Zamojski, c’est possible, mais
ce n’est pas
votre affaire...
HIKARU--(avec un visage mi-colérique, mi-éclairé par une illumination)Et s’ils cherchaient à créer un pont entre les dimensions, pour laisser le pouvoir de l'autre dimension éveiller Tiamat au pouvoir, ou pire, faire venir ses légions.
Johnson décida d'ignorer Hikaru et se tourna vers Ryan.
JOHNSON--Ryan, tu dois libérer le BFM Foisy, il ne doit pas tomber aux mains de ces terroristes, je te donne ce communicateur qui a l'apparence d'une montre power ranger, ainsi personne ne pensera à te la voler. Je te guiderai. Ah oui, j'oubliais, un espèce de d'acteur kabuki(théatre japonais aux costumes freaks) est entré sur le bateau et semble vouloir passer pour un super-héeros, assure-toi qu'il survivra. Il ont sûrement trouvé un moyen de s'équiper sans nous voler, j'aimerais que tu découvre ce qu’ils voulaient.
RYAN--J'y vais ce pas.
Hikaru aurait voulu le suivre, mais il lui fallait d'abord gagner la confiance de Johnson et faire une petite recherche.
HIKARU--Vous avez internet ici???
RYAN--Oui, tu veux surfer en attendant?
HIKARU(avec un sourire malicieux)--pourquoi pas???
...
Courriel de Anik
L’alarme avait sonné, tous les gardes s’excitèrent et coururent un peu partout. Stella s’était caché avec sa cape au pied d’un phare, cachant Nelli aussi. Après les agitations, Stella avait sorti de sa cachette. Stella : On devrait trouver l’endroit de la source de l’absorption d’électricité.
Nelli : Ils peuvent la cacher n’importe où, mais je pense...
Stella : Ah, mais c’est évident ! Je crois savoir où elle est, mais désolé de vous avoir coupé la parole continuer.
Nelli : Je disais que la source d’absorption d’électricité
doit être cachée et protégée, donc placée
à un endroit sécuritaire. Comme j’avais expliqué
dans mon reportage, les ondes d’absorption voyagent aussi bien dans
la matière que dans l‘air. Donc il peut être dans un
coffre-fort à double verrous. Il aurait fallu que ça soit
des idiots de la pire espèces pour l’avoir placé dans
un endroit accessible genre en haut du mat à drapeau. Mais dis donc
où avais-tu pensé qu’il avait caché la source.
Stella : Bien, eehh, c’est drôle, eehh, je ne me rappelle déjà
plus à l’endroit que je pensais, c’est certain que je
ne pensais pas qu’il était dans un endroit accessible genre
en haut du mat à drapeau.
Nelli : Mais tu n’as pas pu l’oublier, ça fait 10 secondes
à peine. Stella : Je vous dis que je l’ai oublié !!!
Changement de sujet si vous permettez, je suis surpris qu’il n’est
pas plus de gardes, au moins je suis armé.
Nelli : Je sais, de ton fouet et de ton bâton.
Stella : Vous pouvez bien rire, mais j’ai pris un fusil aux gardes qui surveillaient ma mèr...rde de merde.
Nelli : Pourquoi cette colère soudaine?
Stella : Désolé, mais je pensais au capitaine et l’émotion
est arrivée.
Nelli : Tu pensais au capitaine, j’avoue que j’y pensais un
peu, mais j’aurais plus crû que tu pensais à sa fiancée
assez sexy je dois le reconnaître. Mais si c’est le capitaine
qui te donne de l’émotion, ça c’est...
Stella : Désolé de vous coupez la parole une autre fois,
mais comme je disais j’ai pris aussi un fusil, je crois que c’est
dans les modèles les plus récents avec plusieurs ajustements,
regardez-le.
Nelli : Fusil électrique?
Stella : Bien oui!
Nelli : Électrique?
Stella : Bien oui, ça fait trois fois que je vous le dis, contre
tous les gardes on a bien besoin d’une arme électrique pour
trouver la source d’absorption d’électr... Youpss.
Nelli : Youpss comme tu dis.
Stella : Eehh, bien non, j’espère que vous ne pensiez pas que je voulais m’en servir comme arme, je voulais m’en servir pour, hmm, comme détecteur de la source.
Nelli : Mais je comprends rien.
Stella : Écoutez.
Stella prit son arme, vérifia les ajustements et tira un coup : « spsssou ».
Stella : Vous ne remarquez rien?
Nelli : Pas vraiment, c’est pareil comme quand le garde avait tiré
un coup vers vous. Stella : Non, non, vous n’y êtes pas, lorsque
le garde à tiré vers moi, ç’a fait « spssssou
» et cette fois-ci « spsssou ». Je crois que nous sommes
plus prêt de la source. Comme vous l’aviez si bien expliqué
dans votre reportage, la source est plus efficace à courte distance.
Donc je vais me servir de ce fusil comme détecteur.
Nelli : Peut-être est-ce les piles qui sont plus faibles ?
Stella : Croyez bien ce que vous voulez, mais moi je vais m’en servir comme détecteur et je suis tellement optimiste que je vous confie la tâche de trouver les fusées de secours pour indiquer à vos collègues que la source est maintenant sous notre contrôle.
Nelli : Ok, mais je vais aussi aller voir les otages pour m’assurer qu’ils vont bien, rendez-vous ici dans une heure.
Stella : Ouin, eehh, c’est parce que je n’ai pas de montre.
Nelli : Il y a l’heure sur votre pagette.
Alors chacun partit dans une direction, Stella restant sur le pont. Il se collait sur les murs et quand il était sûr qu’il n’y avait personne, il tirait un coup de fusil et étudiait le « spsssou » à chaque fois. Et soudain : Stella : Aahh! Que c’est ça, on m’attaque, ah non ce n’est que la pagette qui vibre. Qu’est-ce que ça dit : U-N- -D-R-A-G-O-N-I-A-R- -G-R-I-M-P-E- -A- -B-O-R-D-S- -D-U- -B-F-M- -F-O-I-S-Y. Un Dragoniar! Ah! Il faut que j’aille me cacher, avec ma cape sur un mur. Non! j’ai lu sur Internet que les Dragoniars aiment manger les murs, je vais me cacher dans ce petit bateau de sauvetage, si je ne me trompe pas, on n’est pas dans la saison où les bateaux de sauvetages sont bons pour les dragoniars.
D’un pas rapide et discret, Stella saute et atterrit dans le petit bateau de secours (qui n’avait plus aucune utilité à part de flotter à cause du moteur électrique).
Courriel de JF et Anik
Ryan : Parfait ! Je vais leur montrer de quel bois je me chauffe à
ces draconiens merdiques.
Ryan enfile son bandana de guerre noir comme un pirate et attache sa ceinture
porte bonheur. Ensuite il rebrousse chemin et retourne dans le couloir par
lequel il est venu. Il marche d'un pas assuré, fier de pouvoir enfin
faire ses preuves devant les humains. Bientôt la grosse porte en roc
s'ouvre devant lui pour le laisser passer. Aussitôt la porte franchie,
Ryan déploie ses ailes en s'envole en direction du BFM Foisy. En
chemin il réfléchit à ces êtres noirs qui lui
ressemblent mais qui sont si différents en même temps. Qu'est
ce qu'ils veulent, qui sont-ils vraiment? Peut-être trouvera-t-il
une réponse sur le navire qu'il doit sauver.
Lorsqu'il arrive au vieux port, il reste à l'écart et observe
la situation pour ne pas se faire remarquer. Il aperçoit une foule
sur le bord des quais qui attendent la suite des événements
et un hélicoptère qui survole les alentours pour filmer ce
qui se passe. Ryan décide alors de contourner le navire en faisant
un détour sur le côté pour être sûr de ne
pas être vu. Il se demande alors comment faire pour approcher sans
se faire détecter. Il opte finalement pour le plongeon. Il se déplace
rapidement même sous l'eau grâce à son entraînement
intensif. En arrivant face à face avec le bateau, il le contourne
par la droite puis il va jusqu'au milieu de la coque environ. De là,
il sort la tête de l'eau pour observer son entourage. Il remarque
qu'il est bel et bien du côté opposé de la foule, donc
personne ne peut le voir pour l'instant. En tournant la tête, il aperçoit
la chaîne de l'ancre du bateau qu'il rejoint à la nage. Il
grimpe un peu pour sortir complètement de l'eau puis se secoue les
ailes pour les faire sécher.
-----------------------------------------------------
Pendant ce temps...
- Voilà un autre scoop de dernière heure ! Nous ne sommes
pas assez prêt pour être certain de ce que c'est, mais nous
voyons un genre d'homme reptile qui grimpe sur le bord du bateau... quoi...
Mon collègue me dit qu'il s'agit peut-être d'un Dragoniar.
En tout cas, ses intentions sont inconnues et seul le temps nous apportera
une réponse. D'ici là nous vous gardons en ligne jusqu'à
ce que nous ayons plus de détails.
Le professeur Johnson regardait son écran attentivement et fit le
saut en attendant ce message.
- Ça y est, il est arrivé !
Il essaya de capter l'attention d'Hikaru, mais ce dernier était captivé par son écran et de toute façon Tobie n'était plus dans les parages.
- Tant pis pour eux... Vas-y mon fils je sais que tu en es capable. Je
suis fier de toi.
------------------------------------
Après s'être secoué les ailes, Ryan les déploya
à nouveau et vola lentement jusqu'au bord du navire. Il voyait quelques
gardes humains patrouiller le pont et se dit tout bas : " Les salopards,
ils ont engagé des mercenaires, quelle lâcheté. "
Il remarqua ensuite la présence de quelques canots de sauvetage et
se dit qu'il pourrait se cacher là en attendant de trouver un plan
d'action. Mais soudain, il vit l'une des couvertures recouvrant un canot
bouger.
Sans se poser de question il souleva un peu la couverture et il vit l'énergumène dont son père lui avait parlé avant de partir avec son habillement bizarre de supposé super-héros. Celui-ci était de dos et n'avait pas remarqué la présence de l'homme Dragon. Ryan lui tapa dans le dos :
Ryan : Hey petit, qu'est ce que tu fais là ?
Stella : CHUUUTTT !!! Vous ne voyez pas que je me cache, laissez-moi tranquille
!
Ryan : Hey le jeune, tu n'es pas supposé être venu pour sauver
ce navire de ses envahisseurs.
Stella : Quoi, comment savez-vous ça ? (L'étoile se retourne
pour regarder son interlocuteur).
Aaaaah!!!!!!, mais vous êtes un Dragoniar !!!!!
Stella sortit d’un seul saut du bateau de sauvetage et tenta de fouetter le draconniar. Ryan saisit le fouet d’une main.
Ryan : Hey toi, arrête de faire l’idiot, on va se faire découvrir.
Stella tira sur son fouet pour le récupérer, mais Ryan le gardait sous son emprise et convainc Stella de se calmer. Ryan lâcha le fouet et demanda à Stella quelque explications. Stella lui explique brièvement sa situation, la source d'absorption d'électricité, les otages délivrés (capitaine, fiancée, Nelli, le caméraman), les mercenaires etc... Ryan parle alors à Stella des Draconiens noirs. Ensuite il lui propose :
Ryan : Je ne sais pas où est cette source mais si tu peux nous guider vers elle, je n'aurais pas de problème à nous frayer le passage, ensuite tu pourras t'occuper des aspects techniques pendant que moi j'irai chercher le leader de cette bande. Je crois savoir c'est qui et de toute façon j'ai des contes à lui rendre. Alors qu'est ce que tu en dis.
Stella : Ouin, j’ai plus l’habitude de travailler seul, mais j’avoue que votre force physique pourra m’être utile. Attendez que j’y pense.
Ryan (après trois minutes de silence): Ok petit, moi je m’en vais et quand tu sauras, tu laisseras un message en grosses lettres sur le mur et je le lirai si j’y pense.
Stella : Non, je vois que vous êtes impatient, je trouve que vous me bousculez dans cette décision, cela n’aide pas votre cause. Par contre, je crois que je suis prêt à accepter de faire équipe avec vous, à une seule condition, vous m’appeliez Stella et non « petit ».
Ryan : Ok, mon grand, toi tu peux m’appeler Monsieur. Où crois-tu que la source d’absorption est?
Stella : D’après mon détecteur (maison), je crois qu’il l’aurait placé dans la cabine du capitaine, de l’autre côté, attendez, je dois vérifier.
Alors Stella partit à la course sur le pont, fit quelques pirouettes
et cascades (après chacune, il vérifiait si le draconiar l’observait
pour être certain de l’impressionner). Stella retourna vers
Ryan d’un pas élégant et dit : Stella : En effet Monsieur,
mes dernières observations confirment ce que je viens de vous dire,
j’ai pu remarquer 4 gardes avec des fusils à poudre devant
la cabine et à l’intérieur je crois qu’il y en
a au moins trois.
Ryan : Des humains ?
Stella : Oui, tous humains.
Ryan : Pas de problème!
Sur ces mots le draconiar déploya ses ailes et se mit à voler jusqu’à la cabine. Stella tenta de le rejoindre à la course, à son arrivée, il ne vit que 8 hommes couchés sur le sol et la porte de la cabine défoncée. Stella entra dans la cabine et retrouva Ryan.
Ryan : Et puis mon grand, est-ce que tu vois la source?
Stella : Oui Monsieur, regardez cette boîte et tous ses fils. Je devrais être capable de la débrancher.
Ryan : Ok mon grand, je te laisse à ça, je vais surveiller tes arrières pour que tu puisses travailler en paix.
Stella observa la boîte pendant de longues minutes et fit sa première manœuvre, il réussit à couper le courant d’électricité au bateau alors toutes les lumières et les moteurs du bateau s’arrêtèrent. Il sortit son fusil et tira un coup vers le mur. Il n’entendit qu’un bref « spsous ». La machine continuait d’absorber. Il devait trouver le moyen de programmer la machine pour qu’elle arrête d’absorber l’énergie.
Stella : Monsieur, j’ai réussi à couper l’énergie du bateau, mais la source continue d’absorber, je crois que c’est un modèle albanais et je n’y comprends rien.
Ryan : Attends un peu, j’assomme ces trois gardes-là et je te réponds.
Ryan entra dans la cabine, donna la montre Power-Ranger à Stella et lui dit :
Ryan : Depuis que tu as coupé l’énergie, le nombre de gardes qui viennent ici est faramineux. Ceci communique avec un scientifique, je crois qu’il te pourra t’aider.
Ryan ressortit immédiatement pour poursuivre le massacre des mercenaires.
Stella observa la montre, il se demandait ce que représentaient les bonhommes sur la montre, mais il trouvait qu’ils avaient un très beau costume. Après quelques minutes, il comprit le principe de communication, mais encore là, les piles étaient mortes. Soudain, la pagette : R-E-V-I-R-E-M-E-N-T- -D-E- -S-I-T-U-A-T-I-O-N- -T-O-U-T-E-S- -L-E-S- -L-U-M-I-E-R-E-S- -D-U- -B-A-T-E-A-U- -S-E- -S-O-N-T- -É-T-E-I-N-T-E-S-.- -P-A-R- -C-O-N-T-R-E- -L-E-S- -F-O-R-C-E-S- -P-O-L-I-C-I-E-R-E-S- -N-E- -P-E-U-V-E-N-T- -P-A-S- -E-N-C-O-R-E- -A-P-P-R-O-C-H-E-R. Sa pagette fonctionnait encore. Alors avec les outils qu’il avait trouvés dans la cabine, il installa le convertisseur d’énergie thermique sur la montre. Il réussit à travailler malgré le bruit des corps des gardes s’écrasant sur la porte.
Stella (à la montre) : Bonjour, Bonjour, ici Stella un super-héros, je répète un super-héros, qui est à l’autre bout? Qui m’entend ?
Johnson : Ici le professeur Johnson, où est Ryan ?
Stella : Ce n’est pas Ryan, c’est Stella un super-héros, je répète un super-héros, j’ai besoin d’aide? Est-ce que vous m’attendez ?
Johnson : Oui, oui, quel est votre problème ?
Stella : Je veux changer la programmation d’une source d’absorption d’énergie albanaise, pouvez-vous m’aider ?
Johnson : Une source d’énergie albanaise vous dites, bien je ne sais pas trop.
Hikaru : Professeur, avez-vous un problème ?
Johnson (à la montre) : Je vous prête un de mes amis, je crois qu’il pourra vous aider. (À Hikaru) Je crois que c’est le fou qu’on a vu à la télévision.
Hikaru : Bonjour, vous avez bien rejoint le www.produnet.com que puis-je faire pour vous?
Stella : Bonjour, Bonjour, ici Stella un super-héros, je répète un super-héros.
Hikaru : Vous avez besoin d’un psychologue, je vous trouve cela en deux secondes.
Stella : Non! Je veux changer la programmation d’une source d’absorption d’électricité. J’ai réussi à débrancher le retour d’énergie, mais je veux changer la programmation pour qu’elle arrête d’absorber l’énergie. Que je crois que le modèle de la source est albanais.
Ryan : (au loin on attend qu’il crie) : TIAMAT MON ENFOIRÉ !
Stella : Désolé pour le bruit.
Hikaru : Attends un peu, ah je vois que tu dois rebrancher immédiatement la sortie d’énergie, car sinon tout risque d’exploser.
Stella : Youpss, Pour enlever le câble, j’ai d’abord tiré, je l’ai arraché à moitié, mais comme il tenait encore, je l’ai coupé, mais comme ça prend quelques secondes avant que l’électricité arrête dans le bateau à cause des condensateurs (principe que je viens tout juste de réaliser), j’ai défoncé l’autre prise avec bâton et ce fut seulement une fois le câble lancé par la fenêtre que tout fut arrêté.
Hikaru : Il faut vraiment trouver au plus, vite, je lis ici que ça
prend environ 15 minutes avant d’exploser.
15 minutes, ce n’est pas beaucoup.
Stella : Encore Youpss, ça doit déjà faire au moins 12 minutes, le temps que je réussisse à faire fonctionner la montre de communication.
Courriel de JF
Pendant que Stella venait de tout foutre en l'air (ce que Ryan ne sait pas
pour l'instant),l'homme dragon empêchait les mercenaires d'aller embêter
son nouvel allier qui "essayait" de régler la situation.
Les gardes ne faisaient pas le poids, même à plusieurs contre
ce fabuleux dragoniar. Ryan ne se posait pas de questions et rajoutait sans
cesse de la marchandise à sa collection sur sa montagne de corps
inconscients. Après quelques minutes, les gardes arrêtaient
d'arriver.
Ryan- C'est étrange, l'atmosphère s'est calmée si subitement, ce n'est pas normal ! TIAMAT MON ENFOIRÉ, QU'EST QUE TU MANIGANCE ENCORE ?
Mais Ryan n'eu aucune réponse. Il reprit son souffle et jeta un dernier coup d’œil rapide aux alentours. Il scruta attentivement chaque recoin mais ne vit rien d'anormal. Il retourna donc dans la cabine pour voir où en était rendu Stella.
Ryan- ALors mon grand, comment ça marche avec cette machine ? Est-ce que ça avance ?
Stella- En vérité, on a un petit problème, j'ai réussi à diminuer l’absorption d'énergie, mais j'ai fait une gaffe et maintenant, la machine est déréglée et tout va sauter dans 3 minutes.
Ryan- Quoi, mais qu'est qu'on va faire, on n'a pas le temps de faire évacuer le bateau ?
Stella- Je sais, et en plus, les 2 personnes auxquelles j'ai parlé ne peuvent rien faire pour nous aider.
Ryan- Mais voyons donc, ne me dit pas que mon père ne sait pas quoi faire pour nous aider.
Stella- Votre père ?
Ryan- Donne-moi ça !
Ryan arrache la montre des mains de Stella
Ryan: Père, c'est moi, qu'est ce vous nous conseiller de faire pour
nous sortir de la maintenant ?
Johnson: Ryan, je suis désolé, je ne connais pas ce type de
machine, je ne peux pas vous aider, il va falloir trouver un moyen de vous
en débarrasser vous-même.
Ryan: Un moyen de s'en débarrasser, désolé je ne vois
pas.
Stella: Je l'ai, il faut la jeter au plus vite par-dessus bord et après
on s'occupera de sauver les otages, mais il y a un problème, elle
a l'air vraiment lourde.
Ryan: Pas de problème, je vais m'en charger.
Ryan essaya tirer la source d'énergie en dehors de la cabine, mais il n'avançait pas assez vite. La grosse machine ne bougeait presque pas.
Ryan: merde, il me faut de l'aide car à ce rythme là, on n’aura pas le temps.
Stella essayait de pousser la machine avec Ryan, mais celui-ci n'y voyait aucune différence, l'aide du jeune homme était insuffisante.
Stella : Ça ne fonctionne pas, il faut trouver autre chose sinon on est perdu.
Mais à ce moment là, les deux alliers entendirent du bruit à l'extérieur
Stella : Qu'est ce que c'est, qu'est ce qui se passe
Courriel de Gui
Le professeur Johnson regarda Hikaru d'un air satisfait. Enfin une solution
viable..... Mais Hikaru était silencieux, il comprenait la situation,
mais il se méfait de Tiamat, le seigneur dragon qui avait, il ne
savait comment, à s'incarner dans un dragoniar dans ce monde après
plus de 2500 années d'exil. Heureusement, Tiamat semblait aigri par
cette longue absence, ce qui le rendait impatient. Cette impatience l'avait
amené à agir avec précipitation, ce qui leur avait
laissé une ouverture: ils étaient parvenus à défendre
le laboratoire, empêchant du coup aux dragoniars d'obtenir la dernière
pièce qui pouvait faire réussir leur plan.
Hikaru s'inquiéta d'avantage quand il se rendit compte que le prof
Johnson n'était plus sur ses gardes, il se concentrait sur la situation,
prodiguant à Ryan les derniers conseils alors que peut-être
que son laboratoire pourrait subir une attaque d'une seconde à l'autre.
Un pressentiment conquis soudainement le coeur d'Hikaru qui plaqua le professeur
par terre ce qui lui permit d'éviter de justesse le sabre qui allait
s'abattre sur lui.
L'homme inconnu portait une armure de métal ayant l'apparence de l'armure d'un samouraï. Sur son casque se trouvaient les marques de Sun Lien, le voleur qui avait terrorisé la chine au troisième siècle au point, selon la légende, de se tailler une place dans le panthéon. L'homme portait un masque qui cachait ses traits, mais on pouvait quand même distinguer son menton rond et une moustache de soldat sur son visage.
Il essaya à nouveau de trancher le professeur en deux, mais il Hikaru bloqua le coup avec son bâton d'aluminium.
Hikaru s'écria alors en souriant: Rien de mieux que le bauxite n'est-ce pas?
L'homme grogna pour toute réponse...
"Tu es le champion de Sun Lien, le jaloux et fourbe dieu des
ruelles...."
L'homme l'interrompit, se lançant dans une invective destinée
à
détourner l'oeil d'Hikaru un petit groupe d'hommes qui se dirigeaient
vers le sous-sol du Laboratoire.
"Le champion des dieux du stade se doit de se montrer honorable aux yeux du monde, je te défie selon l'ancienne tradition à la justice, nous verrons qui se tiendra debout à la fin." dit l'homme avec arrogance pour irriter Hikaru.
"Moi, Hikaru, le champion des dieux du stade, le réceptacle de la grâce, j'accepte ton défi, mais ne t'imagine pas que ce défi aidera tes amis voleurs à délester le professeur Johnson de quelque bien que ce soit. Professeur Johnson, je ferai un bouclier de mon corps, activez toutes les mesures de sécurité que vous pouvez!!!!"
Fortement surpris par le courage de celui qu'il prenait pour un
adolescent égoïste et irritable, le professeur Johnson obtempéra.
Johnson--Voilà, nos "invités" ont été
emmurés dans le corridor,
Hikaru...
Mais Hikaru n'était plus au sol, porté par une force qui
ne pouvait
être physique, il venait d'accomplir un bon prodigieux pour bloquer
le coup du samouraï qui semblait flotter dans l'air, le sabre levé....
Le combat venait de commencer, et il était clair qu'Hikaru était
désavantagé. L'homme adulte était beaucoup plus fort
physiquement que lui ce qui le forçait à puiser dans ses ressources.
À trois reprises,
Hikaru bloqua un coup de son adversaire avec une vitesse quasi surhumaine.
Comment pouvait-il dont anticiper les coups de son adversaire avec autant de précision?
Juché sur la vague de son cœur, Hikaru s'efforçait de sentir les tremblements qui lui permettraient de vaincre, de puiser au cœur de la magie de la terre pour se surpasser et pour se dévoiler dans toute sa lumière. Le serviteur de Sun Lien le savait et il chercha à le déconcentrer.
Il lui asséna un coup violent aux côtes qu'il ne pu bloquer,
puis il se
mit à l'insulter:
"Ne t'imagines pas que tu peux gagner, tu es seul, même le professeur ne croit pas que tu en es capable, tu n'es qu'un jeune raté drogué de jeux vidéos ou de pot!"
Hikaru releva l'insulte, il bouillait! Il était en effet seul, sans
ami véritable dans cette ville, son désespoir se manifestait
au monde, il ralentissait et les petites entailles se multipliaient sur
son corps, autant de présages funeste de sa défaite prochaine....Enragé,
il répondit:
"Pourquoi es-tu devenu le laquais de Tiamat, toi qui sers le plus
grand
des êtres célestes, je n'aurait jamais cru voir le jour d'un
tel déshonneur...."
L'homme répondit: "Sache que je ne sers jamais réellement
que moi-même sans vergogne, si Tiamat croit le contraire, c’est
la preuve de sa
faiblesse...et ceci sera la preuve de la tienne..."
Le samouraï s'était reculer et se donnait maintenant un élan pour asséner un coup fatal à Hikaru. Hikaru fut d'abord paniqué, puis, comme par hasard, le prof Johnson s'exclama...
JOHNSON--Non de Zeus, nous sommes cuits!
Zeus! l'image du dieux barbu, celui qui avait vaincu son père à la lutte lui apparut, puis le visage de tous les autres dieux du stade et le souvenir du jour de son élection au rang de champion lui revint. C'était une lourde responsabilité, mais ELLE l'avait aidé... Tsutomi et ses yeux tendres qui l'encourageait d'un sourire....Il se sentait revivre et se souvenait de toutes ces fois ou ils avaient lutté et d'un truc qu'elle avait utilisé une fois.... Il était prêt..et savait ce qu'il devait dire...
Dès que le samouraï leva son épée, il se mit à crier comme un déchaîné, impatienté, le samouraï décida de précipiter son coup, ce qu'Hikaru avait prévu en donnant un coup de bâton parfaitement synchronisé sur la tête du samouraï fracassant son casque et l'assommant en transformant son cri en kiaï puissant.
L'homme tomba sur le coté, puis l'armure de samouraï disparu pour laisser place à un homme ordinaire habillé en concierge de la commission scolaire.
JOHNSON--Mais qu'est-ce que.....
HIKARU--Merde, Tiamat est plus fort que je croyait...Il est capable de
communiquer avec les puissances et à leur ouvrir le chemin du cœur
des
hommes...Cet homme a été "possédé"
si vous voulez par le dieux Chinois
du vol....Il faut que vous avertissez les autres.....
JOHNSON--Pourquoi?
HIKARU--Certains des sbires de tiamat ont probablement des pouvoirs et
des habiletés aussi dangereuses que celui-ci.......
Les deux hommes se regardèrent avec un air consterné.
Courriel de Gui
Tiamat jeta un petit coup d’œil amusé au jeune garçon
qui se tenait devant lui. Il semblait clame, mais fébrile, comme
une panthère qui détend ses muscles avant de bondir. Sa réponse
ne correspondait pas à l'idée que Stella s'était faite
de lui. D'un claquement de main, il ordonna à ses sbires de se joindre
à Ryan et Stella pour prendre en main la pile en voie d'exploser.
Il continua en disant:
"Mes amis, il ne sera pas dit que j'ai fait périr ces innocents par manque de compétences, quiconque aspire aux plus grands honneurs, doit montrer son aptitude à contrôler les évènements, mais je vois que ce n’est pas le cas pour vous."
Il jeta un regard dédaigneux à Stella et continua alors qu'ils
transportaient la pile vers le rebord du vaisseau:
"Vous savez, mon jeune ami, en vous attachant au rôle de super-héros, vous vous mettez à la merci des autres. Leur défaite est votre défaite. Enlevez ce masque et prenez le contrôle de votre vie avec moi, nous nous tâcherons de gagner et de ne pas laisser le monde nous contrôler et nous forcer à accourir alors qu'il nous doit tant!"
Tiamat fendit un sourire mégalomaniaque alors que la pile faisait son chemin vers le bord du vaisseau. Ryan avait bien envi de lui foutre une baffe pour lui fermer la gu.. Mais il remarqua deux tireurs embusqués sur le toit du poste de contrôle du navire et comprit qu'il allait falloir jouer serré.
Courriel de Gui
Tiamat regardait fixement Stella avec un rictus mauvais. Pour la première
fois, Stella put se faire une idée exacte de Tiamat. Grand, il en
imposait plus par son regard et son nez crochu que par son corps. Ses longs
cheveux contrastaient vivement avec son visage pâle. Il portait un
habit noir de combat et le chandail vert traditionnel des militaires. Une
série de cartouches ioniques attachées à une bandoulière
autour de son épaule révélait d’avance à
quiconque la présence de son fidèle fusil à ions dans
l'étui de sa ceinture. Mais encore, au son de sa voix souffreteuse
l'on pouvait déceler l'envie de plaire, d'entraîner mille âmes
vers leur perte et d’en jouir à loisir. Stella ne s'y trompa
pas, s'était une voix de diable qui cherchait le vice caché
en lui.
Tiamat sortit son arme et regarda les deux "héros", puis il leur dit avec calme: "Cette alliance est terminée, rendez-vous ou subissez les conséquences."
Un dragoniar armé de deux matraques électriques et un homme d'épée affublé d'un grand chapeau rouge encadrèrent le maître dragon.
"Jamais!!!!", beugla Ryan dans un cri déchirant.
"C'est ce que nous verrons", furent les derniers mots de Tiamat lors de cette journée sombre.
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Hikaru espérait qu'il n'était pas trop tard....
Il avait quitté le professeur Johnson avec précipitation et se dirigeait vers le vieux port de Montréal à toute vitesse. Son objectif, réussir à capturer Tiamat. Tiamat avait perdu, le bateau lui était d'aucune utilité, mais il fallait quand même se méfier de lui. Qu'est-ce qu'un seigneur dragon à la patience exacerbé par son échec pourrait faire aux "héros" qui se mettaient sur son chemin? Juste à y penser, Hikaru en frissonnait de crainte.
Courriel de Gui et JF
Ryan : Père, je suis comme qui dirait un peu coincé,
Tiamat est là avec 2 autres Draconiens et il y a 2 tireurs plus loin,
je ne sais pas quoi faire.
Johnson : Écoute mon fils, le force brutale n'est pas vraiment mon domaine, ni la bagarre. Je suis désolé, mais je ne sais pas plus que toi quoi faire dans ce cas là.
Ryan : D'accord, je comprends... Ah, oui, est-il possible avec ton transmetteur
de pensées, d'envoyer une image de ce que je vois ?
Johnson : Bien sur mais...
Ryan : Parfait, passe-moi l'autre qui est venu avec le bâton de baseball, Hikaru je crois.
Johnson : Malheureusement, il a quitté les lieux mystérieusement,
je ne
sais pas où il est allé.....
Ryan regarda fixement Ryan et ses 2 Draconiens puis se retourna pour voir les 2 tireurs.
Ryan : Crois-tu pouvoir m'aider à trouver une solution
de m'en sortir....
Johnson ne comprenait pas ce qui avait poussé le jeune japonais à quitter son laboratoire à un instant aussi critique, mais il s'activa immédiatement pour remédier au problème. Il jurait entre les dents, ne sachant trop comment aider son fil s qui se trouvait dans une pétrin inopiné et inconfortable.
JOHNSON: Voilà...j'ai la ligne, Ryan...
RYAN: Oui père...
JOHNSON: J'ai établi la communication avec la police. Fait ce que
tu
peux pour gagner du temps
Ryan(à Tiamat): (à JF de compléter cette partie, Ryan
essaie de gagner
du
temps)
JOHNSON: Ils ont posté des tireurs d'élite à porté du bateau, je crois pouvoir leur envoyer des indications de visée pour qu'ils puissent t'aider. Ils on aussi un hélicoptère, attend, j'envoie un message codé pour ne pas être reconnu sous un faux e-mail. Ils ont le message, bon, ils l'ont décodé, parfait! Ils répondent à mon faux e-mail par l'affirmative, tu profiteras à tout le moins d'une certaine couverture....
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Pendant ce temps, Hikaru obéissait à son instinct. Il avait ressenti une vive blessure, celle d'un innocent que l'on arrachait à la nature. Il s'efforçait de suivre les traces de cette déchirure qui se répercutait dans la texture du monde. Chaque acte vil, chaque violence faite au monde se répercutait sur sa totalité en infligeant une blessure à sa texture magique, à son nimbe de miraculeux. Cette fois, un champion était tombé ce qui rendait les choses pires. Les champions sacrifiaient leur vie et parfois une partie de leur âme à protéger ce monde de ceux qui voudraient avidement le corromprent et réduire ses miracles à une série de plates hypothèses ou de souffrantes conclusions.
Il était encore loin, la source venait du port, il venait de le réaliser. Quelle déveine, c'était Tiamat qui frappait encore et lui, jouant le jeu de son ennemi, il s'était laissé jouer comme le gamin qu'il aurait préféré ne plus être. Alors qu’il sombrait un instant dans l'autoflagellation, une voiture s'arrêta sur le coin de la rue et la portière s'ouvrit sur un cri:
"Je vais au port, dépêche-toi!!!!"
Hikaru se jeta dans la voiture qui démarra sur un crissement de
pneu, curieusement, les policiers n'eurent aucune réaction. Hikaru
sembla se
le rappeler quand la jeune conductrice lui adressa un sourire narquois:
"Il n'y a rien à comprendre, nous allons au port, alors cesse
de te
poser des questions et concentre-toi, tu dois laisser sortir ce que tu es,
c'est là l'essence de l'art et donc de ton art martial...."
Elle avait les cheveux blonds nattés, le cou et le visage d'une reine, mais étrangement, rien de sa toilette. Son chandail était un vieux T-shirt et elle portait des bermudas fluo. Hikaru se demanda vivement qui elle était, ce qu'elle était en fait, car elle n'avait rien d'ordinaire..... Mais le port était en vue et elle lui adressait déjà ses adieux en termes sibyllins:
"N'oublie pas de laisser couler ton âme, de faire ta marque, mais pas seulement dans le combat. Partage qui tu es avec les autres, ceux de ta classe et les champions de cette ville. Ils ignorent leur propre destin, mais je crois que tu les as déjà reconnus..Adieu....."
Hikaru voulut répondre, mais il ne put, laissé perplexe dans
un parc de conteneurs il se demandait ce qu'il devait faire. Soudainement,
il eut
un frisson dans le dos qui le fit s'adosser à un conteneur... Au-dessus
de lui, un dragoniar ajustait une arme de longue portée en direction
du BFM Foisy. Le scélérat, pensa Hikaru...puis il se déplaça,
contournant le conteneur pour pouvoir le surprendre et l'assommer.
Tout aurait été facile si Hikaru n'avait pas trébuché
dans le fil du fusil de longue porté qui le reliait à une
génératrice. Tombant à plat ventre, Hikaru se maudit,
alors que le dragoniar s'avançait vers lui. D'un mouvement rapide
et précis, Hikaru se releva, utilisant l'impulsion d’un bon
pour faire face à son adversaire médusé. Le dragoniar
parvint malgré tout à jeter
une boutade:
"Un vrai Jackie Chan..."
Une boutade de trop... Hikaru profita de ces paroles en l'air pour assommer le dragoniar qui tomba sur le cadavre d’un tireur d'élite de la police de Montréal.
"Merde" s'exclama Hikaru en constatant la mort du policier. Le champion était mort au service de sa ville, mais la violence de ce meurtre aurait des effets néfastes sur sa famille, sur ses amis et sur toute la création...
Hikaru versa une larme et fut interrompu par un bip provenant du
portable placé à la droite du fusil...
Un e-mail et des coordonées de tir envoyés par un informateur anonyme..et le plus ironique, le e-mail avait un nom familier à Hikraru....
S'agenouillant derrière le fusil avec une nervosité croissante,
hikaru
réalisa que les voies des dieux sont souvent impénétrables....
Courriel de JF
Ryan venait d'avoir l'assurance que des tireurs étaient de son côté, alors il demanda à son père de leur donner ordre de tirer pour tenir les tireurs ennemis occupés... Bang! Un coup de fusil. Les 2 tireurs se tournèrent dans cette direction puis vers leur maître.
Tiamat : Occupez vous ce ça, et vous deux débarrassez-moi une fois pour tout ce quart de portion.
Ryan sentait bien que Tiamat venait de perdre tous ses moyens et qu'il
était en train de perdre. Mais il décida de ne pas l'empêcher
de fuir, la prochaine fois, il lui règlerait bien son compte plus
tard, mais pour l’instant sa première préoccupation
était de quitter le bateau en un seul morceau. Il attendit donc ses
adversaires en position de combat. Le premier essaya de lui agripper les
bras, mais Ryan fit un bond de côté, le prit par le bras, fit
un 180 pour lui tordre le bras, et le projeta au sol par-dessus son épaule.
Le second arriva par derrière et le saisit par la taille. Ryan eut
le réflexe de lui piétiner le pied et de lui flanquer un coup
de coude dans le ventre.
Il se retourna pour lui faire face en attendant la réaction du
Draconien. Celui ci se jeta littéralement sur Ryan, mais encore une
fois, celui-ci fut plus rapide et en continuant l'élan de son adversaire,
il le projeta sur un mur où il se fracassa le crane. L'autre Draconien
revint à lui et se releva, il essaya de
donner un coup de pied à Ryan, mais il lui saisit le pied de justesse,
il continua le mouvement de pied jusqu'au visage de son ennemi et sauta
par en avant pour le clouer au sol. Le mouvement trop sec et brusque lui
brisa la jambe. Ensuite de la paume de sa main, il lui flanqua un coup sur
le front pour l'achever. Tout en s'époussetant, il se releva en regardant
Tiamat avec un grand sourire. La seule
réaction du Draconien fut de grogner et de dire:
Tiamat : GGGRRRRRRRR!!!!! On se revera !
Ensuite, il s'envola, disparaissant d’un coup et sans avertissement. La porte se referma aussitôt. Ryan se souvint des tireurs et demanda à son père de leur faire cesser le feu. Les tireurs ennemis étant encore distraits, Ryan put les foutre par-dessus bord sans problème. Il regarda ensuite autour de lui.
Ryan : Me voilà seul, je ne crois pas qu'il y ait encore quelqu'un sur ce foutu navire. Qui va le ramener au port, aucune idée. Bof, ce n'est pas mon problème.
Il jeta les 2 autres Draconiens par-dessus bord et s'envola. Il décida qu'il était temps de faire face au humains alors il se dirigea vers la rive en suivant Stella.
Courriel de Gui
Hikaru avait atteint la cible et il en frissonnait de satisfaction tant
il se sentait d'une humeur légère. L'arme du tireur avait
été calibrée parfaitement ce qui lui avait grandement
facilité la tâche. Restait à faire une retraite pour
ne pas se faire indûment accuser du meurtre du policier. Hikaru se
donna un élan et se mit à faire une série de bons qui
le firent passer d'un conteneur à l'autre jusqu'à ce qu'il
soit en face de la sortie. Là il vit la journaliste Nelli Thuryn
en compagnie de huit terroristes et de Tiamat. Hikaru se cacha derrière
un baril. Soudainement, une lumière pourpre émana de la main
droite de la journaliste. Une améthyste brillait dans sa main, absorbant
la substance vitale des terroristes. Nelli émit un rire dément
alors que les terroristes expiraient.
"HA! HA! HA! Les imbéciles! Ils s'attachent à leur dieu
alors qu'ils devraient s'attacher à la puissance!!! J'aurai bientôt
tout ce dont nous avons besoin mon cher, déjà j'ai l'âme
du Maître de Kung Fu qui se cachait dans le super-héros."
Tiamat, l'air renfrogné lui donna la réplique.
"Oui, vos projets avancent, mais je vous conseille de tenir votre place..."
Il se mit à pointer la pierre et continua: "vous vous imaginez que vos héros et votre breloque peuvent vous sauver de moi, mais vous vous trompez, la pierre du destin est à moi et la prophétie aussi, ne l'oubliez pas!"
Lâchant un grognement pathétique Tiamat émit une lumière argenté alors qu'Hikaru sautait pour s'emparer de lui, puis, les deux complices dont les plans devenaient de plus en plus mystérieux s'envolèrent en fumée, laissant Hikaru pensif.
Fin de la mission