Apparitions de Jésus et Marie à Pré Neuf de L'Escorial



Notre-Dame des Sept Douleurs

par M. L'Abbé C.P. Chanut

On trouve les premières traces de la dévotion aux douleurs de la Vierge, à la fin du XI siècle, particulièrement dans les écrits de saint Pierre Damien (mort en 1072), de saint Anselme (mort en 1109), d'Eadmer de Cantorbéry (mort en 1124), de saint Bernard (mort en 1153) et de moines bénédictins et cisterciens qui méditent le passage de l'Evangile qui montre Marie et Jean au pied de la Croix (Evangile selon saint Jean, XIX 25-27).

Saint Anselme écrit : " Votre peine, Vierge sacrée, a été la plus grande qu'une pure créature ait jamais endurée ; car toutes les cruautés que nous lisons que l'on a fait subir aux martyrs, ont été légères et comme rien en comparaison de votre douleur. Elle a été si grande et si immense, qu'elle a crucifié toutes vos entrailles et a pénétré jusque dans les plus secrets replis de votre coeur. Pour moi, ma très pieuse Maîtresse, je suis persuadé que vous n'auriez jamais pu en souffrir la violence sans mourir, si l'esprit de vie de votre aimable Fils, pour lequel vous souffriez de si grands tourments, ne vous avait soutenue et fortifiée par sa puissance infinie " (saint Anselme : " De l'exercice de la Vierge ", I 5)

La Compassion de la Vierge au pied de la Croix alimenta la piété des fidèles jusqu'au XV siècle et l'on connaît bien des morceaux composés sur ce thème, qui n'ont rien perdu de leur fraîcheur, quoique la plupart soient bien oubliés, puisque la dévotion privée ne s'alimente plus de prières latines. Jacopone de Todi nous a laissé le chef d'oeuvre du genre dans le Stabat Mater, poème de l'amour qui souffre sans désespérer, du contrit qui s'attache au Christ et à Marie, et qui goûte la joie surnaturelle retrouvée par son union aux douleurs du Fils et de la Mère. La messe de Notre-Dame des douleurs comprend ce poème de compassion.

Les XIII et XIV siècles ne contemplent que la douleur de Marie au pied de la Croix, comme en témoignent les écrits franciscains, singulièrement ceux qui font faire de nuit, aux pèlerins de Jérusalem, une rapide excursion (la maison de Pilate, la pierre où Marie s'évanouit, le Calvaire et le Sépulcre) qui est à la base du Chemin de Croix (voir au Vendredi Saint). Avec des franciscains, comme saint Bonaventure (1221-1274) ou saint Bernardin de Sienne (1380-1444), on trouve des dominicains, comme Jean Tauler (1294-1361), le bienheureux Henri Suso (1295-1366) ou saint Antonin (1389-1459). C'est encore l'objet unique de l'office de la Compassion de la bienheureuse Vierge Marie instituée par le concile de Cologne (1423), comme de celui que les Annonciades célébraient, au début du XV siècle, le lundi de la semaine de la Passion. A cette époque, le culte de Marie sous le titre de Mater Dolorosa prend une extension considérable, singulièrement dans les Flandres où abondent les livres liturgiques, les monuments d'art religieux et les opuscules de piété.

Il faut attendre le XIV siècle pour que l'on parle communément des sept douleurs (sept glaives) de la Vierge : la prophétie du vieillard Siméon, le massacre des Innocents et la fuite en Egypte, la perte de Jésus au Temple de Jérusalem, l'arrestation et les jugements du Christ, la mise en croix et la mort du Christ, la déposition de la croix et la mise au tombeau.

Au cours des temps, comme elle l'avait déjà fait pour ses joies, la piété populaire étendit la compassion de la Vierge à toute sa vie, mais il est assez difficile d'en suivre l'évolution. Peut-être a-t-on commencé à opposer aux cinq joies de la Vierge ses cinq douleurs : la prophétie de Siméon, la perte de Notre-Seigneur à Jérusalem, l'arrestation, la Passion et la mort du Christ. Rapidement, le nombre augmenta : on a des séries de dix, de quinze, voire de cent cinquante (chez le bienheureux Alain de La Roche, mort en 1475). Le nombre sept allait bientôt l'emporter, sans doute en rapport avec la célébration des sept joies de la Mère de Dieu que les fondateurs de lOrdre des Servites célébraient chaque samedi et que saint Louis dAnjou, franciscain et archevêque de Toulouse (mort en 1297) offrait après les Complies. Signalons quelques schémas.

Les sept heures sont une méditation des peines de la Vierge pendant la Passion : à matines, l'arrestation et les moqueries ; à prime, la comparution devant Pilate ; à tierce, la condamnation ; à sexte, la mise en croix ; à none, la mort ; à vêpres, la descente de croix ; à complies, la mise au tombeau.

Les sept glaives s'étendent à toute la vie de la Vierge : le premier glaive est la prophétie de Siméon à qui la métaphore est empruntée (Vois, cet enfant est fait pour la chute et le relèvement d'un grand nombre en IsraÎl ; il doit être un signe en but à la contradiction, et toi-même, un glaive te transpercera l',me, afin que se révèlent les pensées de bien des curs) ; le second glaive est le massacre des Innocents ; le troisième, la perte de Jésus à Jérusalem ; le quatrième, l'arrestation et les jugements du Christ ; le cinquième, la mise en croix entre deux larrons et la mort ; le sixième, la déposition de croix ; le septième, la mise au tombeau.

Les sept tristesses de la Vierge forment une série un peu différente : la prophétie de Siméon, la fuite en Egypte, la perte de Jésus au Temple, son arrestation et sa condamnation, sa mise en croix et sa mort, sa descente de croix, enfin la tristesse de la Vierge restant sur la terre après l'Ascension.

Le chiffre de sept, si aimé des symbolistes chrétiens, imposait un choix parmi les épisodes de la vie de la Vierge et l'on s'explique assez les fluctuations des auteurs ; la série suivante finit par l'emporter : la prophétie de Siméon, la fuite en Egypte, la perte de Jésus à Jérusalem, la rencontre de Jésus sur le chemin du Calvaire, le crucifiement, la descente de croix, la mise au tombeau.

Ces sept douleurs furent pour la première fois exprimées d'une façon formelle, par Jean de Coudenberghe, doyen de Saint-Gilles d'Abbenbroeck, curé de Saint-Pierre-Saint-Paul de Reimerswal, et de Saint-Sauveur de Bruges : pendant la guerre civile qui suivit la mort de Marie d'Autriche (1457-1482), duchesse de Bourgogne, il fit placer dans ses églises une image de la Vierge avec une inscription mentionnant ses sept douleurs, pour qu'on la vénérât en lui demandant la cessation des fléaux. Là, en 1492, il se forma une confrérie de Notre-Dame des Sept Douleurs, favorisée par le duc de Bourgogne, Philippe le Beau (1478-1506), dont le confesseur, le dominicain Michel François de Lille, avait composé un ouvrage sur les douleurs de Marie (1495) ; cette confrérie qui célébrait la fête de Notre-Dame des Sept Douleurs le dimanche dans l'octave de lAscension, fut approuvée par le pape Alexandre VI Borgia (1495). Cest encore à cette confrérie, dans un livre de miracles (1510), que l'on doit la première représentation de la Vierge avec les sept glaives. En action de grâce pour les miracles on établit une fête à Delft (1 octobre) et à Bruges (13 novembre) où Marguerite d'Autriche (1480-1530) fonda un couvent en l'honneur de Notre-Dame des sept douleurs.

Les artistes devaient bientôt choisir et traiter avec prédilection le plus douloureux épisode de la vie de la Vierge, quand le corps de son fils, détaché de la croix, est déposé sur ses genoux. Les Pieta, et les Mater Dolorosa abondent et si certains artistes modernes ont eu plus de virtuosité, ils n'ont jamais atteint à ce degré d'émotion ; assez souvent, avec une audace que les Primitifs peuvent seuls se permettre, les sculpteurs ont ramené le corps du Christ aux proportions de celui d'un enfant, pour montrer que, de la Crêche au Crucifiement, nous célébrons un profond et même mystère. A la Vierge, soutenue par saint Jean, personnage central des mises au tombeau monumentales, les artistes ont su donner une expression de douleur calme, bien loin du conventionnel.

La dévotion ne fit que croître. Saint Ignace de Loyola avait un culte particulier à l'image connue sous le nom de Notre-Dame du Coeur ; de 1603 à 1881, sans compter les traités, les panégyrique et les méditations, les Jésuites ne publièrent pas moins de quatre-vingt-douze ouvrages sur cette dévotion aux douleurs de Marie. En 1617, Antoinette dOrléans, aidée par le P. Joseph, fonda les Bénédictines de Notre-Dame du Calvaire (les Filles du Calvaire). Antoinette d'Orléans, fille de Léonor d'Orléans, duc de Longueville, et de Marie de Bourbon, duchesse d'Estouville, était née au château de Trie en 1572. Veuve de Charles de Gondi, marquis de Belle-Isle (1596), elle entra au monastère des Feuillantines de Toulouse où elle reçut l'habit de novice (1599) et fit profession (1601) sous le nom de Soeur Antoinette de Sainte-Scholastique ; elle fut élue prieure (1604). Henri IV la tira de son monastère (bref du pape de1605) pour quelle entreprît la réforme de l'ordre de Fontevraud, comme coadjutrice de l'abbesse de Fontevraud, léonore de Bourbon, sa tante. Elle entra à Fontevraud mais ne voulut prendre que la charge de grande-vicaire. Une bulle lui commanda d'accepter et d'exercer la coadjuterie du gouvernement et de l'administration de l'Ordre avec future succession à la charge et à la dignité d'abbesse (1607). Après la mort de l'abbesse (1611) elle refusa de lui succéder et se retira au prieuré de Lencloître, tout en conservant la coadjuterie de Fontevraud. Le pape Paul V l'autorisa à se séparer de Fontevraud (1617) et à fonder à Poitiers une nouvelle congrégation, nommée du Calvaire, ordre de Saint-Benoît, où elle entra (1617) et où elle mourut le 25 avril 1618. Elle fut inhumée aux Feuillantines de Toulouse ; en 1792, sa dépouille fut transportée à l'église Saint-Nicolas puis, en 1818, chez les Bénédictines du Saint-Sacrement d'où elle fut déposée au Calvaire de Machecoul.

La fête de la Compassion, de Notre-Dame des Douleurs ou de Notre-Dame de Pitié, ou encore de la Transfixion de Notre-Dame (du latin transfigere qui signifie transpercer. En français, cela signifie traverser d'un seul coup), est instituée au concile de Cologne (1423) contre les Hussites qui désolent les églises et détruisent les saintes images. Les Hussites, disciples de l'hérétique Jean Hus qui fut brûlé au concile de Constance (6 juillet 1415), se divisaient en deux groupes principaux : les calixtins ou utraquistes qui réclamaient la communion sous les deux espèces, et les taborites qui rejetaient la doctrine du Purgatoire et le culte des saints. Jean Hus professait que l'Eglise est un corps mystique dont Jésus-Christ est le chef et dont les justes et les prédestinés sont les membres exclusifs. Les pécheurs et les réprouvés n'en font point partie. Les justes ne peuvent être séparés de l'Eglise et l'excommunication ne prévaut pas contre eux. Enfin, quand il n'y aurait ni pape ni évêques, l'Eglise n'en subsisterait pas moins par ses élus. Ces prémisses posées, Hus en venait au problème de l'autorité civile et ecclésiastique que le péché mortel annule. Quand, par le péché, cette autorité est perdue, la révolte des fidèles est licite. Car, en réalité, seul le Christ a le droit de lier ou de délier ; seul il a le pouvoir d'absoudre, la responsabilité de l'autorité ecclésiastique se limitant à entériner le pardon. L'écriture enfin est l'unique règle de foi et de conduite. Tout ce qui n'est pas strictement dans l'Ecriture est condamnable et ne mérite ni respect ni obéissance. La fête de la Transfixion de Notre-Dame est alors fixée au vendredi après le dimanche de la Passion : " afin d'honorer l'angoisse et la douleur qu'éprouva Marie lorsque, les bras étendus sur l'autel de la Croix, notre Rédempteur Jésus-Christ s'immola pour nous et recommanda cette Mère bénie à saint Jean (...) surtout afin que soit réprimée la perfidie des impies hérétiques Hussites. " Cette fête est célébrée pour la première fois à Bruges en 1494, puis ailleurs ; elle entre en France par Paris, Angers et Poitiers. Après avoir été fixée à des dates différentes (on l'a connue en France au 17 mars, au lundi de la Passion et à la veille des Rameaux), elle est définivement marquée au vendredi de la première semaine de la Passion, avec le titre des Sept Douleurs. Benoît XIII l'étend à toute l'Eglise latine (22 avril 1727).

La fête de Notre-Dame des douleurs qui a subsisté dans la liturgie postérieure à Vatican II, vient des Servites qui l'obtinrent de Clément IX. Depuis 1668 l''Ordre des Servites commémorait les Sept Douleurs au troisième dimanche de septembre, ce qu'Innocent XI leur confirma comme un privilège propre. Adoptée par le Saint-Empire (1672) elle fut enrichie d'indulgences pour les fidèles par Clément XI (1704). Rendu à la liberté, Pie VII étendit cette fête à l'Eglise universelle (18 septembre 1814) ; lors de la réforme du bréviaire Pie X la fixa au jour octave de la Nativité de Notre-Dame, le 15 septembre (1908). Dans le calendrier festif de Paul VI, la première fête, celle du vendredi après le dimanche de la Passion, la plus ancienne, disparut, mais l'on conserva la seconde, celle du 15 septembre.

D'aucuns auraient bien voulu profiter des bouleversements que nous savons pour rejeter la Mater Dolorosa, sous prétexte que saint Ambroise affirme : " Je lis qu'elle se tenait debout, je ne lis pas qu'elle pleurât. " L'objection n'est pas nouvelle et Benoît XIV y répondait déjà, au milieu du XVIII siècle : " Plusieurs autres écrivains ne craignent point de la dépeindre arrosée de pleurs. Les larmes et les sanglots ne sont point toujours l'indice d'un courage abattu. " Les larmes de Jésus sur Jérusalem, devant le tombeau de Lazare ou à l'Agonie, seraient-elles le signe de la faiblesse du Rédempteur ? Au siècle précédent, le franciscain Ambroise Saxius soulignait : " Qu'on admette les premiers mouvements de la nature, quelques gémissements modérés et quelques larmes : l'amour ne souffre aucune atteinte, et la magnanimité conserve toute son énergie " ; saint Antonin avait dit qu'" elle se tenait debout, pleurant sans doute et noyée dans la douleur, mais calme, modeste, pleine d'une réserve virginale. "

Voyez ce qu'ajoutait à ses plaies, dans la Passion de Jésus, la compassion de sa Mère. Il la voyait, le coeur tout broyé, les mains serrées par la douleur, les yeux ruisselants de larmes, le visage crispé, la voix plaintive, mais tout le corps dressé, virile et debout auprès de son gilbet. Je la devine, la tête voilée sans doute, tant sa modestie demeurait virginale, tant sa douleur passait toute mesure. Que de gémissements dut-elle pousser, pleurant son Fils et répétant : " Jésus, mon Fils Jésus, qui me donnera de mourir avec toi et pour toi, mon Fils, mon très doux Jésus ? " Que de fois dut-elle lever respectueusement les yeux vers ces blessures sauvages, si même elle put les en détourner un instant, ou si, du moins, à travers le flot de ses larmes, elle pouvait encore les contempler !

Comment croire quelle eût pu ne pas défaillir de l'immensité de la douleur imposée à son coeur, alors que je demeure stupéfait qu'elle n'en ait pas reçu la mort ? Vivante, elle partage sa mort, la vie faisant peser sur elle une douleur plus cruelle que la mort.

" Regardez et voyez s'il y a douleur pareille à ma douleur ? " Ecoutons cette lamentation de Marie, la Vierge Mère. Contemplons cette douleur poignante et nous le verrons : il n'est pas de douleur pareille à sa douleur, si ce n'est la douleur de ce Fils où la sienne se modèle ; puisque, ô surprise à peine croyable, c'est une vraie compassion qui l'étreint, et que les mots d'une langue humaine ne sauraient exprimer. Car faisant rejaillir sur soi les douleurs, les blessures, les outrages de son Fils, elle les subissait dans sa propre personne, ressentant ce qui se trouvait dans le Christ Jésus. En son âme, debout près du Christ, elle partageait son martyre ; blessée de sa blessure, crucifiée au crucifix, percée du même glaive. Car son âme fut transpercée par le glaive de la passion du Christ. ( Saint Bonaventure )

Abbé C.P. Chanut






Premier message du Christ: Jeudi 13 novembre 1980, Dans l'appartement de Miguel et Julia, les employeurs de Amparo Cuevas, Fille, prie pour la paix du monde et pour la conversion des pécheurs car le monde est en grand danger.

Un peu plus tard, ce même jour : Fille, n'aie pas peur.

Et de nouveau : Prie pour la paix du monde, et pour la conversion des pécheurs.

Aimez vous les uns les autres. Tu vas recevoir des épreuves de douleur.



2ème message du Christ Samedi 15 novembre 1980,

Chez Miguel et Julia : Amparo reçoit la première stigmatisation et lorsque effrayée elle demande : -Mais qu'est-ce que c'est ? Elle voit et entend le Seigneur crucifié lui dire : - Ma fille, c'est la passion du Christ. C'est une épreuve. Tu dois la subir tout entière.

Comme Amparo s'exclame : - Je ne peux pas tenir ! Elle entend de nouveau le Seigneur qui lui dit : - Si toi, au bout de quelques secondes tu ne peux pas tenir, qu'ai-je eu à souffrir, moi, pendant des heures entières sur la croix, mourant pour ceux-là mêmes qui me crucifiaient? Tu peux sauver beaucoup d'âmes par tes douleurs.

Comme le Seigneur lui demanda si elle acceptait, Amparo répondit avec courage : - Avec votre aide, Seigneur, je le supporterai.





3ème message du Christ Samedi 22 novembre 1980

Celui qui craint Dieu recevra sa récompense au Ciel, Celui qui le méprise et le blasphème n'entrera pas au Royaume des Cieux.

Dieu sème la graine dans les coeurs, mais il arrive que la plupart des coeurs, pleins de ronces, ne laissent pas croître la semence; il vaudrait mieux pour eux n'être pas nés, parce qu'à ceux-là Je donne actuellement beaucoup d'occasions de se sauver. Lorsque arrivera le moment terrible, il n'y aura pas de lamentations, Je n'aurai pas d'oreilles pour les entendre. Le temps est très proche, ne vous bouchez pas les oreilles.

Heureux ceux qui se repentent : ils pourront entrer dans le Royaume des cieux, car Dieu peut tout.

Des preuves pour qu'ils se sauvent Je suis en train de donner des preuves pour qu'ils se sauvent, qu'ils implorent Dieu, leur Père céleste. J'ai donné ma vie pour les racheter tous: qu'ils ne soient pas aussi ingrats.

Dieu est Tout Puissant Dis-leur que Dieu, avec son grand pouvoir, peut illuminer la Terre et y faire brûler tous les impurs. Disleur que Dieu pourchassera tous ceux qui publient des doctrines fausses. Dis-leur qu'ils mettent en pratique la doctrine chrétienne.

Respect des voeux religieux Que le prêtre ou le religieux fasse voeux de pauvreté, chasteté et obéissance, qu'ils respectent ces voeux, s'ils ne le font pas, alors Je viendrai et ils rendront compte.

Prier pour la paix Prie beaucoup, ma fille, pour la paix en Espagne et dans le monde entier; fais beaucoup de sacrifices et demande à tous de le faire. Demande qu'ils n'outragent plus le Divin Coeur de Jésus et qu'ils prient (demandent) par l'intercession de ma divine et très pure Mère, dont le Coeur est transpercé de douleur à cause de tant d'offenses faites à son Fils.

Rosaires et sacrifices Qu'ils récitent tous les jours le saint Rosaire pour la paix du monde et qu'ils fassent beaucoup de sacrifices.»



Premier message de la Très Sainte Vierge (la mère de Jésus) 1er mai 1981, premier vendredi du mois, Amparo reçut ce premier message de la Vierge dans son appartement, la nuit, à son retour de Cortés, le jour même : "MA FILLE, NE CESSEZ PAS DE RÉCITER LE SAINT ROSAIRE. DIS-LEUR QUE S'ILS NE M'ÉCOUTENT PAS, IL Y AURA BEAUCOUP DE MORTS, L'ÉGLISE S'AFFAIBLIRA; IL N'Y AURA PAS DE TRAVAIL, MAIS BEAUCOUP DE MISÈRES, SURTOUT EN ESPAGNE.

« Ma fille, le saint rosaire récité avec dévotion a beaucoup de pouvoir -je vous demande très peu de chose: de prier et, par votre oraison et votre pénitence; de nous aider, mon Fils et moi, à sauver beaucoup d'âmes qui sont errantes, dans l'attente de quelqu'un pour les sauver.

"Je me suis manifestée en beaucoup de lieux, mais ils sont vides et on ne veut rien savoir. Si on ne m'écoute pas il y aura une autre guerre en Espagne et l'Église espagnole souffrira.

"Priez beaucoup et faites beaucoup pénitence pour vous sauver tous. Je vous aime tous parce que tous vous êtes mes enfants. II faut être plus assidus à recevoir l'Eucharistie sacrée; il est très important de communier les premiers vendredis du mois, avec beaucoup de dévotion. Et de demander que tous les prêtres soient de bons catholiques, donnent le bon exemple et que l'Esprit Saint les illumine pour servir Dieu, aimer le prochain et collaborer au salut des âmes.

"Faites oraison et dis-leur de faire beaucoup de sacrifices car plus vous faites de sacrifices, plus je vous aime: parce qu'ainsi vous m'aidez à souffrir et à implorer pour tant de pécheurs qui en ont tant besoin".





Second message de la Très Sainte Vierge Dimanche 10 mai 1981,

chez Julia et Miguel : "MA FILLE, DIS A TOUS MES ENFANTS QU'ILS RESPECTENT TRÈS BIEN LE MESSAGE QUE JE LEUR AI DONNÉ - PRIER LE SAINT ROSAIRE, MAIS ILS DOIVENT S'APPROCHER DAVANTAGE DE L'EUCHARISTIE CAR BEAUCOUP D'ENTRE EUX NE L'ONT PAS FAIT. QU'ILS COMMUNIENT LES PREMIERS VENDREDIS DU MOIS ET QUE TOUS CEUX QUI COMMUNIENT CE JOUR-LÀ PRIENT POUR L'ÉGLISE CATHOLIQUE AFIN QUE LES CHRÉTIENS SOIENT PLUS UNIS." Le péché d'impureté offense beaucoup le Seigneur. Soyons très humbles car l'orgueil ferme les portes du Ciel. Persévérons car Elle est très contente de nous et intercédons pour les prêtres afin qu'ils soient de bons fils de Dieu.

"APPROCHEZ-VOUS DAVANTAGE DE L'EUCHARISTIE, SOYEZ ASSIDUS À RECEVOIR LE CORPS DE JÉSUS. PRIEZ POUR LA PAIX EN ESPAGNE, PARTICULIÈREMENT POUR LE PAYS BASQUE."



Troisième message de la Très Sainte Vierge Dimanche 14 juin 1981 :

C'est la première fois que la Vierge apparaît sur le fresne dans le domaine du Prado Nuevo (pré neuf) après déjeuner : JE SUIS LA VIERGE DES DOULEURS. JE VEUX QU'ON CONSTRUISE EN CE LIEU UNE CHAPELLE EN L'HONNEUR DE MON NOM. QU'ON VIENNE DE TOUTES LES PARTIES DU MONDE Y MÉDITER LA PASSION DE MON FILS, QUI EST COMPLÈTEMENT OUBLIÉE. SI ON FAIT CE QUE JE DIS, IL Y AURA DES GUÉRISONS. CETTE EAU GUÉRIRA (à côté se trouve une fontaine qui se déverse dans un bassin servant d'abreuvoir). QUICONQUE VIENDRA ICI RÉCITER QUOTIDIEN- NEMENT LE SAINT ROSAIRE, SERA BÉNI PAR MOI. BEAUCOUP SERONT MARQUÉS D'UNE CROIX AU FRONT. FAITES PÉNITENCE. FAITES ORAISON



Premier message double de Jésus et Marie le 25 septembre 1981

Le Seigneur : « Annonce, ma fille, que Je suis comme le père du fils prodigue: quiconque vient à Moi sera sauvé car J'attends les bras ouverts. Je suis très triste. Dis-leur que les trompettes sont sur le point de sonner.

Malheur à celui qui ne sera pas prêt lorsqu'il entendra ces sons! En 1983 les châtiments augmenteront: il y aura de grands tremblements de terre, de grandes sécheresses, des maladies qui causeront la mort. Priez, mes enfants, placez-vous dans la grâce de Dieu (litt. "Mettezvous bien avec Dieu"). Par l'oraison on peut calmer la juste et divine colère de Dieu le Père. Toi, ma fille, tu vas beaucoup souffrir mais J'ai souffert Moi aussi pour vous tous; il est important de souffrir et par la souffrance on parvient au Royaume de Dieu. Dis ce que Je disais: "Père, ta volonté et non la mienne". La volonté de mon Père était que Je verse jusqu'à la dernière goutte de mon sang - et Je l'ai versé pour vous tous.

La troisième Demeure s'appellera Bethléem. Pour parvenir à cette Demeure, il faut prendre sa croix, même si elle pèse; Je vous aiderai à la porter. Ne nous déçois pas, ma fille. Je viendrai chercher les choisis. Je te le répète: ne nous déçois pas, lutte contre l'ennemi. Je suis l'Alpha et l'Oméga : quiconque croit en Moi, possédera le royaume des cieux. Je porte la croix (sur le dos) afin que Dieu le Père répande sa divine Miséricorde sur toute l'humanité.

(Ici le Seigneur donne à Amparo une date...) Je te le répète: dis à tous qu'ils viennent à Moi car Je suis le père du fils prodigue... Souffre, ma fille... Au revoir (et) accomplis la mission que Je t'ai confiée. » La TS Vierge : « Ne fais pas attention aux avis/conseils terrestres (litt. "terriens"), ma fille, ils peuvent t'induire en confusion; fais attention à (ce que te dit) ton directeur spirituel. Continue avec le troupeau de mon Fils, ma fille. Lutte contre l'ennemi; mon Fils est très content (car) tu as ramené beaucoup de brebis à son troupeau. Souffre, ma fille, étends les bras comme mon Fils les a étendus sur la croix pour sauver l'humanité. Continue de lutter - ton chemin est celui de la souffrance.

Ceux qui seront choisis, ma fille, retourneront à l'Éden du Paradis. Je viendrai avec mon Fils chercher les choisis.

Prends cette croix, ma fille, mets-là sur ton dos et suis mon Fils comme Je l'ai suivi sur la croix - le Coeur transpercé de douleur alors que mon Fils souffrait pour sauver l'humanité: pendant ce temps, la majeure partie de l'humanité fait la fête.

Quels ingrats! Dans l'abîme de l'enfer, mon Fils n'aura pas compassion d'eux.

Ceux qui seront choisis se retrouveront au Paradis d'amour et de félicité. Mes anges lutteront contre l'ennemi, ce sera une grande guerre dans les airs. La lutte est proche. Mon Coeur est bouleversé de voir comme on emporte beaucoup de mes enfants au fond de l'abîme. Mais je ne peux pas retenir plus longtemps le bras de mon Fils. Beaucoup mourront sous la main de l'ennemi; le règne de l'ennemi ne durera pas longtemps.

Les enfants lutteront contre les parents, les belles-filles contre les belles-mères et les frères contre les frères. Beaucoup d'innocents mourront: Je les attendrai dans ma Demeure. Les Demeures de ceux qui seront choisis, sont prêtes; les cachots de l'enfer aussi (sont prêts). La lutte vous paraîtra très longue; alors l'ennemi sera vainqueur. Il y aura trois jours d'obscurité; le soleil s'obscurcira et la lune donnera une très pâle clarté. Les véritables enfants de Dieu demeureront en oraison sans oublier Dieu; ce seront des jours terribles. En ces moments-là, on verra qui est vraiment imitateur de Christ. Ne dégainez pas votre épée.

Souvenez-vous que Dieu dit "qui tue par l'épée périra par l'épée". Je demande l'oraison: par l'oraison vous vous sauverez.

La quatrième Demeure est prête pour la lutte. À ces moments-là Élie et Enoch manifesteront leur présence et feront de grands prodiges afin que les ennemis de mon Fils se repentent et reviennent à Dieu.

II faut semer pour récolter, ma fille. Lorsque tu te présenteras devant mon Fils, ne viens pas les mains vides; tends les bras et Moi Je serai là pour t'emmener. Les âmes ont de grands besoins; ne vous laissez pas vaincre par l'ennemi - qui est si proche de vous. On reconnaîtra mon Fils à la croix que portent les nefs célestes. Lorsque ceci arrivera, les jeunes auront des visions et les anciens auront des songes.

Je vous lance un appel, mes enfants, prenez la croix et suivez mon Fils car mon Fils est très fatigué: soulagez-Le en l'aidant à porter la croix. Soyez constants en oraison et faites des sacrifices. Élie et Enoch, témoins de Jésus, seront très efficaces pour la conversion de l'humanité. On les donnera pour morts et après cette mort, il y aura un grand Miracle, ma fille: ceci est écrit - que celui qui a des yeux voie et que celui qui a des oreilles entende. Que celui qui a soif vienne à mon Fils car Il est la fonte (fontaine?) de Vie. Que celui qui ploie sous le fardeau vienne à mon Fils car Lui le soulagera (litt. déchargera). Venez à mon Fils car Lui vous conduira à la Demeure de Vie. Dans cette Demeure, il est écrit: "QUI MANGE MA CHAIR ET BOIT MON SANG SERA SAUVÉ". Cette vie-là sera éternelle.

Nombre de prêtres offensent constamment mon Fils. Prends cette croix, ma fille et suis mon Fils. Par (litt.

Avec) la croix, vous parviendrez au Ciel, mes enfants. Toi, ma fille, tu es en train de semer de roses le chemin de mon Fils. Tu as ramené à son troupeau beaucoup de brebis qui étaient perdues.

Le Châtiment aura lieu le... (date non divulguée par Amparo tant qu'elle n'a pas du Ciel la permission et l'injonction de le faire). Les Demeures de mon fils sont presque vides; celles de l'ennemi sont combles.

Avertis-les tous: mon Fils a faim d'âmes qui viennent à Lui: il les attend là comme il attendit au puits de Jacob pour les convertir tous.Efforcez-vous de vous trouver tous à la droite du Père; ceux qui se trouveront à sa gauche iront au fond de l'abîme.

Ne prête aucune attention aux avis/conseils terrestres, qu'ils ne t'induisent pas en confusion; fais attention aux avis/avertissements du Ciel. Quelle tristesse éprouve le Père en voyant que tant d'âmes se (con) damnent! Mais toi, ma fille, tu es en train d'accomplir une mission très importante. Combien de brebis égarées ont fait retour au troupeau de Jésus! Continue de semer de roses le chemin de mon Fils. Mon Fils est très content car tu lui enlèves beaucoup d'épines: tu es en train de rassembler son troupeau dispersé. »







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