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saveurs d'Orient
Mensuel satirique d’opposition nationaliste et catholique.


#18 / SEPTEMBRE 2002 / EDITORIAL

  L’article ci-contre devrait faire du bruit dans Landerneau. Un événement littéraire de la rentrée ne fait que confirmer ma décision. Il s’est trouvé une grande maison d’édition, Gallimard, pour éditer un livre faisant l’apologie des rapports sexuels avec des fillettes de 7 à 10 ans, écrit par un individu au faciès, disons, levantin. Il s’est trouvé des éditeurs pour cautionner la démarche de Gallimard. L’un d’entre-eux est POL, celui-là même qui cautionna en 1997 le saccage du stand de National Hebdo à la Foire du Livre de Paris par le gang Daeninckx… Voilà l’image du régime : plutôt pédophile que nationaliste. Cet exemple n’est pas un cas isolé. Il est même systématique ( MRAP/Bassompierre/Vicious Sharks ; Education Nationale / profs pédophiles / profs révisionnistes). Cette société, décidément, ne mérite pas de vivre. Coupons les liens définitivement. Nos écrits se veulent « publications officielles du Gouvernement Provisoire du Royaume de France». Je ne me proclame ni roi, ni régent, ni recteur magnifique, ni mégaduc de quoi que ce soit. Simplement, c’est ma manière de dire non à la République et à son système gangrené. Si, vous aussi, le régime actuel vous dégoûte, rejoignez le royaume virtuel. Nous ne vous demanderons rien. Pour être des nôtres, il suffit juste de renier la République. Bientôt, le Royaume de France rejoindra la Patagonie sur Internet. Quand nous aurons le chef et le peuple, ils seront bien obligés de nous donner un pays. Bien sûr, nos élites bien pensantes ne comprendront pas cette démarche. Que mes lecteurs m’excusent mais je la traduis en sauvageon pour la nomenklatura : « Nique la Gueuse ! » Vous avez compris au moins, messieurs les apparatchiks ?

Henri de FERSAN



ABONNEMENT (12 n°) : 18 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN

Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#18 / SEPTEMBRE 2002 / ARTICLE

ET SI NOUS FAISIONS SECESSION ?

  C’est une idée que je développe un peu dans la troisième partie du Printemps de Strasbourg, Le Soleil se lève à l’Est. Dans le fond, pourquoi la République nous conserverait puisqu’elle ne veut plus de nous ? D’autre part, nous autres nationalistes commençons à en avoir ras le bol de trinquer pour les autres. La lecture de Marianne (28 août) est édifiante sur la nullité intégrale de nos élites et leur impudence la plus infecte. Tout d’abord, ils font mine de découvrir le tribalisme. Comme s’ils ne savaient pas que l’homme a besoin d’une identité, que les sociétés multiraciales sont multiracistes et surtout que le métissage est une arme mondialiste pour détruire la France jugée trop blanche et trop chrétienne (rapport Perlmutter de 1970). Marianne prône une idéologie nouvelle, basée sur un homme nouveau. Ce discours est potentiellement criminel : par son côté « faisons table rase du passé », il rappelle Lénine, Mao, Pol Pot… A noter que Borloo préconise la préférence étrangère en matiè re d’emploi ! Ces savants fous veulent faire de nous les cobayes de la société plurielle, et eux refusent de vivre avec 20 % de nationalistes !

  Ensuite, Elisabeth Badinter fait mine également de découvrir les excès du féminisme. Quand on a pour nom de jeune fille Bleustein-Blanchet, on connaît bien son pilpoul ! Comme si elle ne savait pas qui étaient les pionnières du féminisme, leur lien avec les idéologies de haine que furent le racisme et le talmudisme, quand ce n’était pas purement et simplement le satanisme, comme cette Helena Petrovna Blavatsky et sa théosophie qui influença Eléonore Roosevelt et la disciple de celle-ci, Hillary Clinton… Les féministes se contrefichent du droit des femmes : Simone Veil a pris la défense de l’excision et n’a jamais combattu en faveur de l’avortement en Israël (les véritables raisons de sa loi sont d’ordre raciste et surtout mercantile…). Quant à Halimi, on ne l’a jamais entendu dénoncer les tournantes et le caractère raciste de celles-ci. Et pour cause : attachée aux liens du sang, elle préfère les demi-frères aux esclaves… Ceux qu’ils appellent « l’extrême droite » avaient prévu la catastrophe dès le départ, il suffit de reprendre nos textes de l’époque. Alors laissez-nous diriger ! Fini de payer pour les erreurs de ces crevures de politicards, de pseudo-intellos, de banquiers apatrides qui jouent au Monopoly avec nos vies, notre avenir et notre nation et qui, si les choses tournent à l’aigre, retourneront dans leur vrai pays ! Nous représentons 20 % de la population ? Alors nous exigeons 109.400 km² du territoire, 20 % du matériel militaire (y compris les têtes nucléaires) et une enveloppe de 236 milliards d’euros. Tout le monde sera content : l’Hexagonie, débarrassée de ses 20 % de « mauvais républicains » pourra vivre dans la joie du métissage, de la société plurielle, du PACS et des 35 heures… De l’autre côté, les exclus du système auront enfin l’occasion de prouver la validité ou non du modèle qu’ils proposent… On verra rapidement qui aura raison. Bien sûr, ils ne voudront pas que l’on demande notre indépendance et vous savez pourquoi ? Parce qu’ils savent que si les petits commerçants, artisans, les famil les nombreuses disparaissaient, c’est toute l’économie qui s’écroulerait par manque de vaches à lait se laissant docilement traire… Vous imaginez une France où il n’y aurait que des fonctionnaires, des nantis et des allogènes ? Elle ne tiendra pas six mois ! Alors, s’ils ne veulent pas nous rendre notre liberté et notre argent, arrachons-les nous-mêmes ! Depuis 1789, il y a toujours deux France : celle qui dirige et celle qui n’a qu’un droit : payer et la boucler. Cette France-là décide de quitter la partie. Maintenant que les ouvriers sont de droite, et si Spartacus le devenait aussi, lui qui défia la République ?

 

 

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