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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#54 / 30 octobre 2003 / EDITORIAL

A quel personnage de la mythologie peut-on comparer les journalistes de la presse dissidente ? Certains diront Hercule, à cause du nettoyage des écuries d’Augias. En fait, notre tâche est plutôt à comparer à celle du pauvre Sisyphe qui, puni par les dieux pour sa trop grande intelligence, devait éternellement hisser un rocher en haut d’une montagne, rocher qui retombait immanquablement…C’est un peu la tâche qui est la nôtre dès qu’il est question du fascisme et de la Seconde Guerre Mondiale. Dans Le Figaro du 2 octobre 2003, Emmanuel Le Roy Ladurie (de l’Institut) parle d’Helena Blavatsky, la célèbre luciférienne créatrice de la Théosophie (secte dont furent membres notamment Gandhi, Jung, Martin Buber, Bakounine, Trotsky, Lénine, Isadora Duncan, Theodor Reuss) et qu’il hisse au rang de mère spirituelle du nazisme. Rien de moins. Voici donc le rétablissement de la vérité historique pour les lecteurs du Figaro qui ne le liront jamais. D’origine juive et cousine du comte de Witte représentant du Tsar lors de la paix russo-japonaise de 1905, Helena Petrovna Blavatsky (1831-1891) est connue pour avoir fondé une secte appelée « théosophie » en 1875 dont le but est « d’effacer le christianisme de la surface de la Terre » et prônant le culte d’Isis en symbiose avec la Golden Dawn, cette association qui effectivement joua un rôle dans le nazisme en manipulant le pauvre Rudolf Hess et dont la famille Bush est membre. Elle sera notamment une proche du F\ Giuseppe Garibaldi, qui n’est pas précisément une référence du fascisme, en compagnie des tristement célèbres F\ Adriano Lemmi, l’un des grands penseurs du mondialisme avec F\ Albert Pike et F\ Giuseppe Mazzini… Voyons l’œuvre qu’elle a laissée : en 1881, S\ Annie Besant-Wood (1847-1933), son héritière en 1891, rejoindra la Democratic Federation fondée par les marxistes Henry Mayer Hyndmann et Eléonore Marx (la fille de Karl, épouse du théosophe Edward Aveling). Elle a notamment déclaré dans Inquire within the Light bearers of darkness en 1930 : «Si vous voyez l’un de nous travailler pour un mouvement particulier dans le monde, sachez que cela fait partie du plan mondial, et ce grand plan est : un nouveau ciel et un nouvelle terre édifiés sur les ruines de l’ancienne civilisation ». Besant a aussi été membre de la Fabian Society, un groupe visant à créer un régime socialiste, technocratique et mondialiste à l’échelon mondial, créé le 4 janvier 1884 et qui joue un rôle déterminant dans la formation des élites à Oxford, Cambridge, Harvard, Columbia, Johns Hopkins, London School of Economics…Viendra ensuite la troisième grande prêtresse, Alice Bailey (1880-1949). Elle fondera le Lucifer Trust, devenu le Lucis Trust en 1922, logé actuellement à Genève dans les locaux du Congrès Juif Mondial et qui regroupe des organismes officiellement hors de tous soupçons tels la Findhorn Fondation, le World Wild-life Foundation, Greenpeace, Amnesty International et collabore de manière très proche avec d’autres associations (Le Libre Journal n°203, 10 mars 2000). Le Lucifer Trust (devenu Lucis Trust en 1922) a pour but avoué la destruction de l’humanité. Et non seulement, il n’y a aucun lien entre le LT et le fascisme, mais justement, on y trouve les pires ennemis du national-socialisme : la ploutocratie US et le communisme soviétique… Parmi les financiers du culte luciférien, on trouve la Fondation Rockefeller, le rabbin Mark Tannenbaum du Congrès Juif Américain (venu donner ses ordres lors de Vatican II), le président d’IBM, Robert Mac Namara, les théosophes, la famille Field… En 1947, l’UWF (United World Federation) fut fondée par le banquier James Warburg (de la fameuse banque qui finança l’URSS) et son coreligionnaire Norman Cousins, membre du Lucis Trust. De même, Blavatsky avait des conceptions anti-nazies et anti-fascistes sur le domaine de la famille. Là où le IIIe Reich et le régime mussolinien prônaient les familles nombreuses, Blavatsky était acharnée du « contrôle des naissances », le sinistre Planning Familial étant l’une des créations de sa secte par le biais de sa disciple et coreligionnaire Margaret Sanger, le tout financé par la Fondation Rockefeller… membre du Lucis Trust !! Sa disciple Besant prônait la destruction de la famille traditionnelle. Bailey, la troisième larronne, prônait avortement, limitation de la famille, manipulation génétique et euthanasie… On voit que ce cher vieux Le Roy Ladurie s’est quelque peu trompé et que non seulement Blavastky n’a rien de fasciste, mais qu’elle est totalement impliquée dans le modèle de société prôné par les vainqueurs en 1945… Il est vrai qu’associer Blavatsky au fascisme permet d’éluder la vraie question : qui a appliqué les délires de Blavatsky, qui s’en est fait écho ? La réponse est claire : ceux-là même qui ont gagné la Seconde Guerre Mondiale. Et c’étaient les nazis et les fascistes qui l’avaient gagnés, ça se saurait…

Henri de FERSAN



#54/ 30 octobre 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Henri de Fersan nommé à la vice-présidence du PFC
La CGT a-t-elle volé dans la caisse d'EDF ?
Tire sur la chiraquette et la bombinette cherra...

PRESSE-MEDIATS : Quand Paris Match reprend l'affaire Kennedy

AFFAIRES ETRANGERES : Poutine purifie la Russie
Irak : "Et ça continue encore et encore...

SOCIETE: Du côté de la guerre raciale

SPORTS : Football
Rugby

DEVOIR DE MEMOIRE : Aventure de l'Histoire HS n°9
[ABONNEMENT] (52 n°) : 170 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#54 / 30 octobre 2003 / ARTICLE

HENRI DE FERSAN NOMME A LA VICE-PRESIDENCE DU P.F.C....

Au mois de septembre, désirant préparer sa succession, le président du Parti Français Chrétien Pierre Grandemange a décidé de faire appel à une personnalité extérieure pour prendre la charge de 1er Vice-président du Parti (donc, n°2), en l’occurrence votre serviteur… Bien que j’eusse juré en son temps que je ne ferai plus de politique, j’ai accepté le poste car le PFC refuse la démarche électoraliste. Déjà, une importante personnalité du milieu culturel nationaliste a manifesté son intention de rallier le PFC dès l’intronisation d’Henri de Fersan dans ses nouvelles fonctions. Interrogé par notre journal dans un long tête-à-tête avec moi-même (cela s’appelle une introspection), il nous a fait par de ses nombreux projets, notamment une volonté de créer une véritable contre-société qui, à long (très long) terme, visera à remplacer l’état dans tous les domaines, y compris dans ceux de la justice, de la défense et de l’aide sociale. A plus court terme, il compte organiser un Congrès pour les 20 ans du parti (13 ou 14 novembre 2004) qui se tiendra vraisemblablement dans le centre de la France et où seront présentés les nouveaux statuts en cours de rédaction, ainsi que les nouvelles personnalités ayant adhérées, et les nouvelles structures mises en place. Le PFC a été créé le 14 novembre 1984 sous le nom d’IFC (Indigènes Français Chrétiens) et a pris son nom définitif le 20 avril 1985, avec pour objet de « défendre légalement les intérêts culturels, spirituels et matériels des Français chrétiens à l’intérieur et à l’extérieur du territoire national ». Désormais, le PFC se veut le parti défendant les droits, la dignité et les intérêts des 20 % de « Français de seconde zone » et visera à créer les conditions nécessaires à l’obtention de places dans les instances dirigeantes proportionnelles à leur part dans la population et ce, par tous les moyens qu’il jugera approprié. N’ayant aucune ambition électoraliste, il ne se place pas comme un concurrent du Front National mais se réserve le droit de donner avant chaque élection des « consignes de votes » en fonction de la rectitude doctrinale et religieuse du candidat susdit. Nous tenons à préciser qu’un candidat FN ou MNR membre de la F\ n’aura jamais notre soutien sauf cas gravissime (c’est-à-dire présence en face d’un ennemi déclaré de notre pays).




#54 / 30 OCTOBRE 2003 / ARTICLE

IRAK : ET CA CONTINUE ENCORE ET ENCORE...

Nouvel attentat en Irak contre l’occupant américain. Cette fois-ci, la Résistance a failli décrocher le jackpot en ratant de peu Paul Wolfowitz, le fanatique belliciste n°2 du Pentagone. Le 26 octobre, à 6 heures 10, une salve de 29 roquettes de type Katioucha tirée du zoo de Bagdad frappait l’hôtel Al-Rachid, où logeait l’américano-israélien, et tuait un soldat américain, en blessant quatre autres ainsi que onze civils et deux collaborateurs de la police irakienne. Les tirs étaient concentrés sur les 7e et 8e étages . C’est la deuxième attaque de ce genre visant cet hôtel de luxe où, le 27 septembre, c’est le 14e et dernier étage qui avait été visé. Wolfowitz a déclaré dans la conférence de presse suivant l’attentat : « Nous avons essayé d’obtenir du Congrès son accord à la formation et l’équipement des forces indigènes ». Le soir, un convoi américain était attaqué près de l’hôtel Al-Mansour sans faire de victimes. Déjà, le 25 octobre, c’est un hélicoptère qui a été pris pour cible par un tir de roquette antichars, blessant un soldat américain à Tikrit. A Baaqouba (60 kilomètres au nord-est de Bagdad), on note six blessés américains dans deux attaques à la grenade et cinq autres l’ont été à Khaldiya dans les mêmes conditions. Le lundi 27 octobre, c’est le Comité International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge qui a été la cible d’un attentat sanglant réalisé à l’aide d’une ambulance piégée conduite par un mercenaire syrien : on compte 12 morts. Quatre commissariats ont par ailleurs été touchés par des explosions, pour un bilan total (y compris l’attentat contre le CICR) de 43 morts (dont 26 civils) et 224 blessés. Depuis la fin de la guerre, 113 soldats américains sont officiellement tombés sous les balles et les bombes de la Résistance, mais, selon Laurent Latruwe d’Ecrits de Paris, le bilan réel serait de 400 morts américains, 60 morts anglais et au moins 2.500 blessés. On compte les premiers cas de désertion dans cette armée composée à plus de 40 % de mercenaires latino-américains : 28 selon le porte-parole de l’US Army, Pete Mitchell. On compte également 478 cas de dépressions nerveuses ayant exigé un rapatriement sanitaire et au moins 13 suicides. Mais la guerre n’est pas mauvaise pour tout le monde… Les Etats-Unis affichent ainsi officiellement 7,2 % de taux de croissance (ce qui permet de faire oublier les 6.000 milliards d’euros de dette, soit 58 % du PIB) mais leur économie est au bord de la banqueroute. Les dépouilles de l’Irak et les 200 milliards de dollars (1 $ = 1 €) du marché de reconstruction intéressent d’autant les partisans de Bush : la compagnie pétrolière Halliburton (si chère à Cheney), les usines militaires Lockheed Martin (de Bruce Jackson, directeur financier de la campagne de Bush), l’entreprise de travaux publics Bechtel (qui employa Donald Rumsfeld…) et bien sûr Boeing (bailleur de fonds de Bush…). Pendant ce temps, le lobby sioniste continue de faire pression pour la continuation des opérations militaires et rameute le ban et l’arrière-ban de ses coreligionnaires et autres shabbat-goïm dévoués, y compris à l’ONU, comme ils avaient su le faire pour la guerre en Iraq. Ainsi Hans Blix, qui avait légitimé l’intervention américaine en cas de découverte d’armes de destruction massive est un juif suédois : issu du très sioniste Folkpartiet, sa mère est de la famille Lamm, l’une des, sinon la, famille juive la plus influente en Suède. Rolf Ekéus, un autre inspecteur suédois, était lui aussi lié à Israël où il fit une visite secrète en janvier 1998 pour informer Israël de l’état des installations irakiennes (information révélée par Expressen du 30 janvier 1998). Autre juive suédoise bien impliquée dans l’ONU : Nane Lagergren, l’épouse de Kofi Annan (le prédécesseur de ce dernier, Boutros-Boutros Ghali était lui aussi marié à une fille de Sion) et surtout la nièce du diplomate Raoul Wallenberg, ce juif suédois disparu à Budapest en 1945 dont la trace se perd dans les geôles soviétiques en 1947… (Il aurait été arrêté par un commissaire politique soviétique qui convoitait… sa Mercedes !) et qui est héritier direct du banquier Michaël Benedicks. La Fondation Internationale Raoul Wallenberg est d’ailleurs actuellement dirigée par Baruch Tenembaum… (la judaïté de Blix et Lagergren a été dévoilée dans le n°4 de l’année 1985 du Judisk Krönika). Il est vrai que la composition du cabinet Bush est pour le moins ethniquement connotée, le Pentagone est devenu une étoile de David : Richard Pearle (responsable du Pentagone, l’ami de la Chine communiste), Paul Wolfowitz (vice-ministre de la Défense), Dov Zekheim (sous-secrétaire d’état à la Défense, citoyen israélien), Douglas Faith (sous-secrétaire d’état à la Défense), Robert Satloff (patron du Conseil National de Sécurité, le NSC), Elliott Abrams (conseiller du NSC), Henry Kissinger (conseiller au Pentagone), James Schlesinger (idem), Daniel Saul Goldin (patron de la NASA), Richard Haas (directeur des Programmes de Sécurité Nationale), Lincoln Bloomfield (adjoint au secrétaire d’état pour les Affaires de politique militaire) sont juifs. On peut rajouter Colin Powell, élevé dans une famille juive de New York et parlant hébreu. On note aussi parmi eux Marc Grossman (secrétaire d’état aux Affaires étrangères), Mel Sembler (Banque d’Import-Export des Etats-Unis), Ari Fischer (Porte-parole de la Maison Blanche), Joshua Bolten (Directeur de la politique de Bush), Steve Goldsmith (Conseiller du Président), Adam Goldman (chargé des liaisons entre la Maison Blanche et la communauté juive), Joseph Gildenhorn (ancien Ambassadeur en Suisse, responsable du financement de la campagne présidentielle de Bush), Christopher Gersten (mari du ministre du Travail Linda Gersten et directeur de la Coalition des Juifs Républicains), Mark Weinberger (assistant du Ministre des Finances), Samuel Bodman (vice-ministre du Commerce), Bonnie Cohen (sous-secrétaire d’Etat au Management), Ruth Davis (directrice du centre de formation des diplomates), Jay Lefkowitz (conseiller général de l’office du budget) et David Frum (nègre de Bush)… A noter qu’aux Etats-Unis, un appel au boycott des entreprises accusées de soutenir l’effort de guerre israélien a été lancé par la National Alliance, les « plus coupables » étant Kimberley-Clark, Coca-Cola, Nestlé, Intel, Sara Lee, Disney. Parmi les compagnies visées : Auchan, Boitherm, Hugo Boss, Carrefour, Dim, Garnier, Lancôme, Giorgio Armani, JC Penney, Perrier, L’Oréal, Marks & Spencer, Kleenex, Maggi, Vittel, KitKat, Champion (vêtements), Huggies, Maison du Café, Fanta, Sprite, CNN, Time, Nokia, IBM, Schweppes, 20th Century Fox, National Geographic, The Sun, The Times, The Daily Telegraph, The New York Post… L’inconvénient, c’est que l’on risque de ne plus acheter grand’ chose…

 

 

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