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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#24 / 03 avril 2003 / EDITORIAL

  Nous avons lu dans le numéro de mars 2003 de Lectures Françaises (BP 1 – 86190 CHIRE-EN-MONTREUIL, abonnement annuel 51 €) ces quelques lignes de Pierre Romain ou de Jean De Kremer avec lesquelles nous sommes entièrement d’accord… « Quand notre revue atteint ses quarante-cinq ans d’existence (en 2002), personne ne le signale. Ni la grosse presse bien évidemment, pour laquelle nous sommes des parias, ni nos habituels chers confrères. Négligence ? Esprit de chapelle ? Concurrence à la petite semaine ? Je l’ignore. Dès que certains lecteurs comprennent un exposé ou une appréciation de travers, ils s’énervent contre un jugement qu’ils réfutent ; certains l’écrivent parfois. D’autres se veulent « justiciers » en sanctionnant la comptabilité de la maison. Je sais par notre « patron » Jean Auguy, que quelques personnes n’ont pas renouvelé leur abonnement sans donner de raison. Cela est normal. Mais encore une fois, faire l’économie d’un abonnement d’un an (à peine un plein dans votre réservoir d ’essence), ne changera rien à une situation financière. Pour une petite maison, cet apport est essentiel. Secouons nos paresses ». Le Libre Arverne fêtera ses 45 ans d’existence le 24 octobre 2047, ce qui nous laisse encore de la marge. Un abonnement trimestriel au Libre Averne équivaut à 39 €, soit même pas un plein de gazole. Un abonnement annuel vaut 156 €, 3 pleins de gazole dans une Renault Laguna diesel. Prenez dans votre porte-monnaie une pièce de 50 centimes. Ce n’est même pas le prix d’une baguette. Cette petite pièce donnée chaque jour vous permettrait d’être abonné durant un an au Libre Arverne et aux Lettres Fersanes. Pour vous, cinquante centimes ce n’est rien. Pour nous, c’est beaucoup. Car cinquante centimes quotidiens, multiplié par 150 abonnés que nous espérons obtenir, multipliés par 365 jours, c’est tout simplement l’assurance de pouvoir exercer notre activité sereinement… Le soutien de la presse libre passe par ce petit sacrifice. En effet, nos ennemis peuvent compter sur les banques, les subventions de l’Etat, l’argent de la publicité et des trusts pour éponger leurs déficits. Nous non. Notre presse ne reçoit pas de soutien des partis politiques et c’est tant mieux : la liberté est à ce prix. Face à l’ennemi puissant comme devait l’être le Grand Turc à son apogée, ne sombrons pas dans les querelles byzantines sur le sexe des anges. Le débat n’était toujours pas tranché, les querelles pas encore éteintes que les uns et les autres furent submergés par les Ottomans en 1453. Ma devise est toujours la même vis-à-vis des confrères : « Pas d’ennemis chez nous, pas d’amis en face ». Je ne considère pas le journal ami, le confrère écrivain comme un concurrent venu voler mon pain. Pour moi, il s’agit d’un fusil de plus sur la barricade, et à Verdun, dans la boue des tranchées, on avait l’intelligence de ne pas demander à celui qui luttait et souvent mourrait à vos côtés quelles pouvaient être ses convictions religieuses et philosophiques. Aider notre presse est un devoir militant. La liberté se paie et nous préférons dépendre de nos lecteurs que des trusts. Une question de dignité.

Henri de FERSAN



#24 / 03 avril 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : Lagardère assassiné ?
Gauche plurielle...

PRESSE-MEDIATS : QUAND Libération prend nos journalistes pour les siens
Quand Elle s'occupe des hommes
Quand Marianne falsifie l'histoire


AFFAIRES ETRANGERES : Palestine : toujours l'engrenage attentat/répression
L'armée irakienne tient toujours

SOCIETE : Meutres racistes
Dictature stalinienne dans les bibliothèques

SPORTS

CULTURE : Quartier Libre


ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#24 / 03 avril 2003 / ARTICLE

QUAND LIBERATION PREND NOS JOURNALISTES POUR LES SIENS...

 Ce qu’il y a de bien avec les larbins de presse, c’est qu’ils croient vraiment que nous marchons au sifflet. Incapables de concevoir ce que peut être la liberté, eux qui sont habitués à la marque du collier et à tirer sur la laisse, ils nous imaginent en petits fonctionnaires du FN eux qui ne sont que les petits commis aux écritures des banques et des trusts… Dans un article daté du 31 mars intitulé La Presse FN joue la division, l’inévitable Christophe Forcari, qui a remplacé Renaud Dély dans les basses besognes anti-nationales dans la publication des Chargeurs Réunis, fait œuvre de remplissage : deux ou trois ragots touillés dans une soupe au lieu commun avec une petite rallonge de banalité et hop, voici une version fast-food prête à consommer d’un article sur « la Bête immonde » destiné à conforter dans leur peur paranoïaque le bobo de base ou le fonctionnaire qui trouve dans la lecture de Libé une détente qui repose le cerveau après la fabrication assidue de cocottes en pap ier… L’article commence très fort : « Pour leur petite guerre, les clans du Front national enrôlent les journaux de la presse d'extrême droite. Avec un petit goût de «revenez-y» qui rappelle la scission de 1999 entre lepénistes et mégrétistes. Comme à l'époque, les différents titres prennent position pour telle ou telle faction, s'amusent à publier les documents à charge et à décharge et, parfois, sous couvert de calmer le jeu, jettent de l'huile sur le feu ». Sauf qu’à l’époque, justement la presse du camp national a tout fait pour calmer le jeu, donnant la parole aux deux protagonistes. Rappelons la réunion de conciliation, qui hélas échoua, le 17 novembre 1998 chez Serge de Beketch où tour à tour ce dernier, Martin Peltier, Claude Giraud, Jean Madiran, François Brigneau et Emmanuel Ratier tentèrent de convaincre Jean-Marie Le Pen de ne pas liquider Bruno Mégret. « Sur les hauteurs de Montretout où est juché l'hôtel particulier de Jean-Marie Le Pen, le carré de ses proches collaborateurs ne se prive pas de dénoncer le rôle de ces journaux pourtant qualifiés «d'amis». «La presse nationale ne perçoit pas la légitimité du camp lepéniste. Pour elle, la controverse a été lancée par Le Pen», s'irrite Olivier Martinelli, son directeur de cabinet, à propos de la polémique entre le leader d'extrême droite et Jacques Bompard. ». Olivier Martinelli démentira avoir tenu les propos qu’on lui prête. « Présent fait chier, s'énerve un proche de la fille Le Pen. En 1998, ce journal avait critiqué Le Pen pour se rapprocher des mégrétistes. Présent s'imagine que le courant qu'il représente est majoritaire et il se sent pousser des ailes». Jean Madiran, le fondateur du quotidien, décoré de la francisque, avait tenté lors de la crise de 1998 de négocier une trêve entre Mégret et Le Pen. Le journal affiche aujourd'hui son soutien au dauphin désigné, Bruno Gollnisch, proche de la mouvance conduite par Bernard Antony, le chef de file des «cathos tradis». Sauf que Bernard Antony n’est pas le chef de file des catholiques traditionalistes qui ne sont pas un parti politique. Il n’est – et c’est déjà une lourde charge – que la figure politique la plus charismatique de la Fraternité Saint-Pierre. Il serait malvenu de le faire parler au nom de la Fraternité Saint-Pie X qui représente l’immense majorité des traditionalistes et avec lesquels il a rompu en 1988. « Un autre titre de la «presse nationale», Rivarol, n'est pas épargné non plus par les critiques de la direction du FN. «Rivarol considère que le succès de Le Pen est sa réussite», s'énerve un cadre. Dans un long article titré «Nouveaux conseils d'ami (e)», l'hebdomadaire enjoint, mi-février, la famille frontiste à pratiquer le «silence dans les rangs» et à remiser «les stylets au vestiaire». Rivarol souligne le «courage» du numéro deux du FN, Bruno Gollnisch qui n'avait pas hésité à voler au secours d'un éditeur de revues négationnistes à coup de communiqués. A l'inverse, le journal fustige les propos tenus par Marine Le Pen dans VSD, en janvier, où elle dép eignait les militants d'extrême droite comme des gens dotés «de tous petits cerveaux, une tendance à l'accoutrement vert-de-gris, (...) et (qui) détestent tout ce qui n'est pas blanc de peau». Rivarol juge que ces propos font «bon marché des militants du Front les plus fidèles et les plus dévoués». Une phrase qui vaudra à ce même journal de recevoir une mise au point de Marine Le Pen dans le numéro suivant ». Là, Forcari joue les petits apparatchiks. Habitué sans doute à rentrer en rampant dans le bureau de July en lui demandant : « Que suis-je autorisé à dire, camarade Politkom ? » et à voir le même July en conversation téléphonique avec Seydoux « C’est quoi les consignes boss ? », il ne peut concevoir que notre presse publie ce qu’elle a envie de publier, sans demander l’aval de quiconque, qu’il dirige un paquebot ou un sous-marin… « «Ces journaux ne possèdent une influence que là où certains responsables de fédérations décident de leur donner de l'importance auprès des militants», nu ance Olivier Martinelli. Pourtant, à moins d'un mois du congrès du FN, cette diffusion de terrain peut influer sur les prochains débats et la perception par les militants des deux candidats à la succession du chef ». Mis à part qu’Olivier Martinelli n’a évidemment jamais tenu ces propos (dès la parution de l’article, il téléphonait à Rivarol pour démentir), il serait temps que nos ennemis sachent que notre presse est LIBRE. Rivarol était avant que le FN ne fut… Nous ne sommes ni des fonctionnaires, ni des apparatchiks, ni des commis aux écritures. Nous sommes des hommes et des femmes libres d’écrire ce qu’ils veulent et ce qu’ils pensent. Nous sommes même les derniers journalistes, les derniers esprits libres en ce moment. De ce fait, on comprend que Libération nous jalouse et nous déteste. Le lapin n’est pas le lièvre, le cochon n’est pas le sanglier, le chien n’est pas le loup et l’employé de Libération n’est pas le journaliste…




#24 / 03 avril 2003 / ARTICLE

QUAND ELLE S’OCCUPE DES HOMMES…

  Dans son numéro du 10 mars, « Journée de la Femme » oblige, le magasine féminin s’intéresse… aux hommes. L’éditorial de Valérie Toranian devrait alarmer la bobo lectrice d’Elle entre deux séances de shopping : « Avouons-le, le choc a été de taille quand nous avons découvert les résultats de l’étude mené par le CCA que symboliquement nous avons intitulé les « Etats Généraux de l’Homme » comme pour leur tendre le miroir trente ans après (en effet, c’est Hélène Lazareff, fondatrice de Elle, qui lança les Etats Généraux de la Femme en 1970). Colère, angoisse, amertume, frustrations… les hommes sont en crise et quand ils le clament [et c’est rare] ça fait mal. Non seulement en crise avec nous, mais aussi, ce qui est plus nouveau, avec une société qui les malmène et une science toute-puissante qui leur annonce qu’un jour les femmes pourront définitivement se passer d’eux pour faire des enfants ». Pour illustrer l’article, Elle interviewe certaines « personnalités » bien de chez nous ( Bruel, Badinter, Assayas, Iacub, Cissé…) qui s’empressent bien sûr de ne pas être d’accord avec les doléances masculines. La lecture de cette enquête est pour le moins préoccupante. On remarque en fait que plus on descend en âge, plus les ravages du féminisme se font sentir. Ainsi, la tranche d’âge des 25-35 ans est tellement « dévirilisée », tellement victime du terrorisme intellectuel féminisme, qu’elle est tentée par l’homosexualité pour échapper à l’emprise des femmes, oubliant les armes naturelles de l’homme ou même en oubliant de retourner les armes des féministes contre elles-mêmes (par exemple, demander la parité dans tous les secteurs sur-féminisés, exiger l’égalité filles-garçons dans le barème des notes en athlétisme, relever tous les propos anti-masculins des féministes et les dénoncer comme sexistes…). La tanche d’âge précédente, 35-45 ans (hommes nés entre 1957 et 1967) est celle qui a subi de plein fouet la crise féministe. Il serait intéressant de prendre les statistiques de ces deux catégor ies d’âge et y recenser la part qu’elle occupe dans les suicides, dans les SDF, dans les convertis à l’Islam (ces hommes qui ont été élevés comme des hommes et à qui on a interdit de se comporter comme tel et qui voient dans la mort une délivrance, qui deviennent clochards parce qu’on ne leur a pas appris à demander de l’aide, qui se convertissent à l’Islam pour y retrouver une légitimisation de leur virilité). Pour les moins de 25 ans, c’est encore pire : ils se sentent « des femmes comme les autres ». C’est cette génération-là, née après 1977, qui va provoquer par sa faiblesse l’effondrement de la société. Bien entendu Elle déclare avoir « entendu le message des hommes ». On est en droit de ne pas avoir du tout confiance… Certaines femmes sont spécialistes pour vous arracher des confidences et vous les balancer à la figure au moment où elles savent que ça va vous faire le plus mal. D’ailleurs, le seul homme de la rédaction interviewé fait tellement « eunuque du harem » dans ses déclarations qu’on est en d roit de s’attendre au pire… Moi personnellement, je ne me reconnais pas dans la génération des 25-35 ans. Il faut dire que tant mon épouse que ses amies ont des conceptions de la société à l’opposée du féminisme. Je leur ai parlé du masculinisme comme réaction au féminisme, elles ont trouvé cela plutôt intéressant. Elles sont les bases solides de la société de demain. Il est vrai que mon épouse est surprise que je m’entende aussi bien avec ses amies. Pourquoi ne m’entendrais-je pas avec elles ? Elles pensent toutes comme mon égérie… Et comme leurs maris ou leurs promis pensent tous comme moi, VIVA LA VIE !!! Lors de la commission « femmes » de Bloc Identitaire, une jeune fille s’est levée et a expliqué le calvaire qu’était celui d’être aryenne à Paris, la violence raciste et sexiste des afro-maghrébins et la lâcheté du Gaulois… « Mais protégez-nous ! » demandait-elle, avec la voix brisée de celle qui sait qu’en cas de viol ethnique, la « justice » est d’une rare clémence envers les violeurs… J e me suis levé et du haut de mes 33 ans (un « vieux » par rapport au reste de l’assemblée) je lui ai dit « En mai 68, vous avez voulu que les hommes rangent leurs couilles dans le tiroir. Maintenant, vous voulez qu’on les remette. Le problème, c’est qu’on ne sait plus où on les a rangées »… Une jeune fille a lancé : « On va vous aider à les retrouver ! » L’intéressant, c’est que cette opinion était partagée par l’ensemble des jeunes filles du groupe, toutes issues de milieux populaires ou de classes moyennes et toutes issues des écoles du système. Cela signifie tout simplement qu’il reste encore une chance de sauver ce qui peut l’être encore. En effet, la société va s’écrouler, c’est inéluctable. Elle ne peut pas survivre. Le mouvement féministe à totalement dévirilisé le Gaulois, politique accentuée par la féminisation de l’éducation nationale conjuguée à l’introduction de la mixité à l’école, où les petits garçons ont en fait été élevés comme des petites filles. De plus, elles ont tout fait pour saboter la natalité du monde européen. Tout était prêt pour la submersion de notre société par les masses du sud, qui, elles, n’étaient pas dévirilisées, au contraire ! Elles étaient confortées même dans leur machisme et leur sexisme. Progressivement, les Blancs furent mis à l’écart. Les médiats accentuèrent l’idée de collaboration raciale horizontale (sens allogène mâle et autochtone femelle, jamais l’inverse – d’où haine des beurettes amenant à la fois le phénomène des tournantes et celui à priori antagoniste de la « marche des femmes ») . Face à l’Islam conquérant et agressif, l’Occident castré et décadent sera balayé, comme les Romains le furent par les Barbares, comme les Chinois le furent pas les Mongols… Ne survivront que les Blancs voulant combattre. Ils n’existent qu’en deux modèles : le traditionaliste et le païen. Dans les deux cas, haute conscience de son combat, forte natalité, esprit guerrier. Pendant que la France sera ravagée par la guerre civile, les rezzous, et sombrera dans le chaos , eux forgeront dans les réserves gauloises la société nouvelle. Pure ethniquement et moralement. La force, c’est que les femmes, nos femmes, ont compris leur rôle capital : seul un ventre blanc peut donner un enfant blanc. Les familles nombreuses sont de nouveau un modèle de société hors de la tradition, la jeunesse aspire à une spiritualité retrouvée et non plus au matérialisme bourgeois. Ils ont compris que l’Education Nationale est une machine à détruire… Le 5 mars est né quelque chose de nouveau, quelque chose de fasciste (dans le sens noble du terme) : garçons et filles, chrétiens et païens, ont communié ensemble pour l’œuvre de restauration de notre civilisation et de notre race. Longue vie au pagano-christianisme enraciné dans notre identité indo-européenne face à l’impérialisme du désert et des jumeaux de l’alliance déchue, Isaac et Ismaël… L’enfant n’a pas encore été porté sur les fonds baptismaux, il n’est encore que fœtus, mais il est porteur de tous les espoirs. Le Saint-Empire Romain d’Occiden t est né de nouveau à Mâcon, derrière les bannières de nos régions issues de nos vieilles tribus gauloises. Et derrière les buccins, fils des Arvernes et des Vénètes, fils des Parisii et des Carnutes, fils des Elusates et des Sardones, tous réunis chez les fils d’Ambarri, nous marchons derrière le symbole qui nous unis : la roue solaire du soleil invaincu, Jésus-Christ pour nous, Teutates pour eux… En vérité je vous le dis, nous assisterons bientôt à la transformation de la chenille en papillon. La France nouvelle sera enfantée dans la douleur et le sang, mais elle sera. Demain, sortira de nos écoles la vague révolutionnaire, garçons et filles tendus vers le même idéal. L’esprit non-pollué par la propagande du Système, ils se lanceront à l’assaut d’une société qui les a rejetés. Formés politiquement, idéologiquement, religieusement, militairement, armés de leur foi et de leur détermination, ils renverseront sans problème une société qui crève et balaieront sans problème les pillards avachis par le butin, l a luxure et le chichon… La France régénérée et purifiée, on pourra alors retrousser ses manches et bâtir un nouvel avenir. Cela se fera ensemble. Hommes et femmes de France, tournant le dos aux mirages mortifères de la démocratie, du féminisme et du capitalisme apatride…

 

 

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