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saveurs d'Orient
Hebdomadaire nationaliste et catholique.
Hebdo officiel du Royaume de France.


#22 / 20 mars 2003 / EDITORIAL

  Après avoir vomi leur bile anti-française, la presse juive américaine se livre cette fois à la falsification historique, nous lançant au visage les tombes des pauvres gosses du Middle West qu’ils ont envoyé se faire tuer en Normandie soi-disant pour libérer une France qu’ils projetaient de dépecer et qu’ils ont totalement abandonné avant-guerre. Le New York Post par exemple, qui montre des tombes du cimetière de Coleville et qui titre : They died for France but France has forgotten… Personne ne leur avait demandé de venir et moi moins que tout autre (pour la bonne raison que je suis né en 1969 et pouvait donc difficilement m’exprimer en 1944). Quand on connaît les dessous du déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale, on s’aperçoit que les Américains et les Britanniques n’hésitent pas à ne sélectionner que les faits qui vont dans leur sens. Dans les colonnes du Figaro Magazine du 8 mars 2003, Henri Amouroux se plaint de cette version américaine de l’histoire officielle. Que nous reprochent les mâcheurs de chewing-gum ? Pêle-mêle Munich en 1938, Vichy en 1940 et « une absolue ingratitude à l’égard des libérateurs américains tombés sur son sol ». Rien que cela. Reprenons les arguments un à un et voyons-en l’inanité. Munich ? Mais qu’elle fut la responsabilité de la France ? Replaçons-nous dans le contexte de l’époque. En 1933, la communauté juive américaine déclarait la guerre à l’Allemagne. La Tchécoslovaquie était une nation surarmée par rapport à sa taille. Les Tchèques y opprimaient les minorités allemandes, hongroises et slovaques. Des milliers de réfugiés des Sudètes commençaient à affluer en Bavière, commençant à déstabiliser une économie allemande encore fragile. L’Allemagne demanda alors la médiation de la communauté internationale. La Grande-Bretagne faisait cause commune avec les Etats-Unis mais n’était pas prête à la guerre. Il lui fallait encore un an de répit avant de commencer la construction de ses bombardiers. Il fallait repousser la guerre. Exit la Tchéc oslovaquie qui, poussée par l’URSS (Benes était un stipendié du NKVD sous le matricule 19), multipliait les provocations contre l’Allemagne dans l’espoir d’amener une guerre et par ricochet une intervention soviétique. Les accords de Munich, voulus par la Grande-Bretagne, permirent à l’Allemagne de reprendre ce qu’on avait volé à l’ Autriche en 1919. Se sentant compris par la communauté internationale, les Ruthènes et les Slovaques demandèrent leur indépendance. Restait seule la Bohême-Moravie qui, abandonnée par ceux qui l’avaient poussée à la guerre, n’eut comme seule issue que d’accepter de devenir un protectorat du Reich, la population locale ne devant qu’à l’assassinat d’Heydrich le fait de ne pas avoir totalement basculé dans le pro-germanisme, ce qui explique a contrario leur attitude en 1945… La défaite de 1940 ensuite. Renforcée par le matériel saisi en Tchécoslovaquie et par les camions et moteurs d’avions vendus par les Etats-Unis, l’Allemagne put se retourner contre la France. La Grande- Bretagne avait entraîné celle-ci dans la guerre soi-disant pour garantir l’indépendance de la Pologne dont on verra en 1945 tout le cas que la dite Grande-Bretagne en fera… Tout avait été programmé : comme en 1914, la France s’épuiserait de longs mois dans une guerre contre l’Allemagne, avant que la Grande-Bretagne ne s’arme parcimonieusement et que l’URSS ne rafle la mise en 1941. Seulement, la France s’est écroulée en trois semaines (entre autre parce qu’elle n’a jamais reçu les avions américains qu’elle avait payés) ce qui n’était pas du tout prévu. L’Allemagne put ainsi se retourner à temps contre l’URSS qui ne dû sa survie qu’à l’aide massive des Etats-Unis. Les Etats-Unis ont tué plus de civils français que les Allemands pendant la guerre par des bombardements à l’intérêt militaire plus que douteux (notamment celui de Bruz). Ils nous ont trahis en Indochine en 1954 et poignardés dans le dos en Algérie en livrant des armes au FLN. Et ne parlons pas de Suez… Les Etats-Unis nous ont été d’aucune aide en 1914-1918 et leurs diplomates ont tout fait pour que la guerre de 1939-1945 éclate. Nous n’avons pas besoin des Etats-Unis, surtout depuis la chute du bloc de l’Est. Yankee go home ! Dans le numéro du 8 février 2003, Le Figaro Magazine donne le point de vue d’un certain Justin Vaïsse. Au vu de la teneur de l’article, on est en droit de se demander si Vaïsse ne s’écrivait pas avant Weiss… Intitulé Des clichés qui font mal, il contient tout de même des éléments fort instructifs montrant que la haine anti-française aux Etats-Unis émane d’un groupe ethnico-confessionnel très particulier… Ainsi, Michaël Kelly (du Washington Post et de la Jewish World Review) déclare : « C’est bien sûr simpliste d’aller combattre des régimes malfaisants au seul motif que ces régimes voudraient vous réduire en esclavage et vous forcer à collaborer à leur perversion, alors qu’il est beaucoup plus simple et plus rentable de hausser les épaules de cette manière séduisante typiquement gauloise et d’envoyer ses Juifs dans les camps comme le demande le nouveau maître ». George F. Will (ABC et… Jewish World Review…) ajoute: « Les prétentions françaises à jouer les grandes puissances sont devenues douteuses depuis la guerre contre la Prusse ». Quant à Thomas L. Friedman, ancien responsable d’Israël pour le New York Times, il accuse : « Etre faible après avoir été puissant est une chose terrible. Cela peut vous rendre stupide »… L’article est illustré par une photo où l’on voit deux juifs, l’un portant un drapeau israélien, l’autre portant une pancarte où il y avait écrit : « Vous avez trahi Israël comme vous avez trahi Jean Moulin ». Trahis Israël ? Tiens donc… Nous étions censés être alliés ? De plus qui a livré l’agent du NKVD Jean Moulin à l’agent du NKVD Klaus Barbie ? Le juif Aubrac ? L’enjuivé De Gaulle/Dogol ? Règlement de compte inter-sémite qui ne nous concerne en rien… A noter que l’auteur de l’article se livre à une falsification des faits. Il présente le courant ho stile à la France comme celui des « éditorialistes conservateurs de Washington et New York ». Or non seulement les trois noms cités ne sont pas conservateurs pour la bonne et simple raison qu’ils sont de gauche, ils n’incarnent en rien le peuple américain puisqu’ils sont tous les trois Juifs ! On voit bien d’où vient la haine contre la France. Dans l’éditorial de la semaine prochaine, puisque nous sommes visiblement partis pour une longue guerre, nous allons voir en quoi les patriotes américains sont contre la guerre. Ni Salomon, ni Slimane, tout le monde dehors !!!

Henri de FERSAN



#22 / 20 mars 2003 / SOMMAIRE

EDITORIAL

POLITIQUE : WILMOTTE RESISTE ENCORE
UN TERRORISTE D'EXTREME GAUCHE LIBERE !

PRESSE-MEDIATS : QUAND LE PARISIENRACOLE POUR LES ALGERIENS...
QUANDACTUALITE JUIVE PARLE DE LA VIOLENCE A L'ECOLE

AFFAIRES ETRANGERES : NOUVELLE PREUVE DU RACISME ANTICHRETIEN DES TALMUDISTES
VIVE LE LIECHTENSTEIN §
UNE MILITANTE PACIFISTE ASSASSINEE PAR TSAHAL

SOCIETE : OFFRONS DES ALLUMETTES AUX ARMENIENS...
LA FAILLITE DE L'ECOLE DE LA GUEUSE

SPORTS : FOOTBALL

CULTURE : RAFFARIN - JOSPIN MEME COMBAT
LA PARABOLE DE STAR WARS


ABONNEMENT (52 n°) : 156 €
Règlements à l’ordre de Henri de FERSAN


Avertissement: Nuit gravement à la République.
Attention: non estampillé par le Consistoire ….

#22 / 20 mars 2003 / ARTICLE

WILMOTTE RESISTE ENCORE

 Joël Wilmotte est le très courageux maire divers-droite de Haumont, dans le Nord. Jadis, il était membre du Parti Socialiste, mais en a été exclu suite à l’affaire Eve-Maude… Cette jeune fille avait été enlevée le lendemain de Noël 1992 par une bande de Maghrébins et violée et torturée du 26 décembre au 2 janvier. Sa famille fut persécutée par les familles de violeurs (dont tous les éléments féminins, celles-là même que l’on voit dans les Marches des Femmes…) et fut même accusée de « racisme » pour avoir porté plainte… A la suite de cette affaire, Joël Wilmotte a été exclu du PS car il avait pris fait et cause pour la victime. Mais il est toujours dans le collimateur de la police de la pensée. Il a été condamné à 8 mois de prison avec sursis et 1 500 euros d'amende par le parquet du tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe, qui le jugeait pour « discrimination raciale ». Salima Saïfi, la jeune soeur de Tokia Saïfi, secrétaire d'Etat au Développement durable, figurait parmi les plaignants. Selon cinq couples d'Hautmont, les Maghrébins ne peuvent se marier le samedi après-midi. «Le maire avait réservé le samedi après-midi aux personnes de confession chrétienne ou aux personnes se mariant ensuite à l'église», explique Salima Saïfi. La gendarmerie a épluché les registres municipaux et constaté que les mariages des couples maghrébins étaient, de manière répétée, relégués au vendredi ou au samedi matin. Joël Wilmotte a fait appel. Il est vrai que la famille Saïfi, originaire d’Haumont, est « discriminée ». Tokia se retrouve secrétaire d’Etat alors qu’elle n’a qu’un Deug de Droit (moi j’ai un DEA et deux maîtrises, dois-je donc viser d’emblée Matignon ?). Elle est capable d’être une ministre républicaine puisque elle est la co-fondatrice de Espace Intégration, une association entretenue avec les impôts des contribuables lillois et dont le FASTI épinglera le manque de transparence de l’utilisation des dites subventions… Après avoir fricoté avec le PS, elle passera chez Génération Ecologie ( le recyclage bio de gauche à droite…) avant d’aller trouver un strapontin européen chez Madelin… Si elle n’était pas algérienne, elle ne serait rien. Notons également qu’elle est une chaude partisane du regroupement familial, même pour les couples non-mariés ou les homosexuels, ce qui est la porte ouverte à la colonisation de la France dont elle est le Pacha le plus flagrant… En donnant raison aux plaignants, le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe vient de confirmer la haine que portent les élites dirigeantes au peuple et à ses traditions. Nous espérons que les Français – et notamment les habitants de Haumont – verront que Raffarin et Jospin, c’est la même chose. A noter que ce sont les mêmes qui ne veulent pas que les catholiques puissent se marier le samedi après-midi qui exigent que les enfants musulmans et juifs bénéficient de privilèges culinaires à la cantine. Remercions Raffarin et sa réforme électorale qui vise à éliminer les nationalistes des Assemblées. Comme cela, les six millions d’exclu s descendront dans le seul espace de parole qui leur reste : la rue. Détruits la République avant que la République ne te détruise…




#22 / 20 mars 2003 / ARTICLE

VIVE LE LIECHTENSTEIN !

 Voilà un souverain comme on en rêve en France. Le prince Hans-Adam II von und zu Liechtenstein est le premier à rétablir la monarchie absolue sur le vieux continent… Le 16 mars, le peuple de cette petite principauté de 33.000 habitants et de 160 km² (mais la Tchécoslovaquie leur a volé en 1945 une enclave de 1340 km² leur revenant de droit) a accepté à 64,3 % une réforme constitutionnelle qui était en fait un plébiscite : si le Prince échouait, il abdiquait et se retirait à Vienne. Son initiative avait recueilli plus de 6.000 signatures, un record dans l'histoire de la principauté. Le Parlement national (25 députés) la soutenait, mais de justesse (13 voix pour, 12 contre). Après une décennie de batailles politiques autour de ce dossier, le prince pouvait cependant tabler sur une certaine lassitude de la population. Approuvée par la totalité des communes, la nouvelle constitution permet au Prince de dissoudre le Parlement, de limoger le gouvernement ou encore de nommer des juges. «Sans prince , nous ne sommes rien», avait martelé, tout au long de la campagne, le président du Parlement, Klaus Wanger, du Parti bourgeois progressiste (FBP, au pouvoir). Avec un «non», le Liechtenstein «courrait à sa perte», renchérissait le prince, pour qui ses adversaires sont « des ennemis de la patrie, des «républicains ». Selon Sigvard Wohlwend, du «Secrétariat pour la démocratie», «M. Liechtenstein lui-même ternit la réputation du pays. Il a déjà bien assez de pouvoir. Un chef d'Etat incontrôlable, qui peut dissoudre le Parlement et le gouvernement dès qu'il en a envie, ce n'est pas démocratique » On note le côté révolutionnaire de cette déclaration, rappelant les heures les plus sombres de l’histoire de France quand les terroristes appelaient Louis XVI « Citoyen Capet » et la propagande autour de « M. Véto ». Le Conseil de l'Europe avait qualifié la réforme de «sérieux retour en arrière», estimant qu'elle isolerait le Liechtenstein au sein de l'Europe, ce qui serai t plutôt une bonne chose pour ce dernier… Pour le prince, «il n'est pas difficile de trouver des ennemis de la Principauté à l'étranger, que ce soit à cause de sa place financière, de sa monarchie, ou simplement parce que c'est un petit pays qui a du succès ! C'est le Conseil de l'Europe ou nous !». Le soir même de la victoire du oui, le Conseil de l'Europe, par la voix de Walter Schwimmer, son secrétaire général, a averti qu'il «examinera attentivement l'application des réformes» constitutionnelles au Liechtenstein. «Vaduz s'expose à des problèmes, prévient-on à Strasbourg. Le Conseil pourrait commencer par un «monitoring», procédure déjà utilisée pour des pays comme la Russie ou la Turquie, « et pourrait aller jusqu'à l'exclusion. A ce moment-là, le Liechtenstein se retrouverait au même niveau que le Bélarus, seul pays qui demeure en dehors du Conseil !» Inutile de préciser que le courageux petit Liechtenstein en a vu d’autre : le 2 mai 1945, quand les 500 hommes de la 1ère armée russ e de libération s’étaient réfugiés dans le pays sous le commandement du général finlandais Smyslowosky, la principauté dirigée alors par le père de Hans-Adam II, le prince Franz-Josef II, refusa de les livrer à Staline, hissant tout un peuple au rang de Justes… Le Liechtenstein ne fait qu’accroître son fort courant de sympathie : ce pays a tout pour nous plaire. La religion d’état y est le catholicisme et la capitale Vaduz y a été hissée au rang d’évêché il y a quelques années. En effet, la faction moderniste de la Secte conciliaire voulait épurer la Suisse d’un évêque (celui de Saint-Gall) jugé trop « traditionaliste » : la petite principauté fut donc érigée en diocèse pour y mettre l’indésirable… Notons qu’à deux reprises, l’Allemagne songea de faire du Liechtenstein un état papal en lieu et place du Vatican : en 1917 et en 1944.

 

 

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