El Cordobes

EL CORDOBES


C'est dans la poussière que tu t'en allas Todo envuelto en polvo te vi partir,
Des rues de Cordoue jusqu'à la féria de tu bella Córdoba hasta Madrid,
De Madrid la belle, para demostrar .
Inconnue de toi lo que había en ti.
Le soleil en feu quand tu arrivas Cuando tú llegaste la luz del sol
Semblait se confondre à du sang déjà con tu valentía se confundió
Jamais rose rouge n'a eu cet éclat Y te vi reír loco de emoción.
Mais personne n'a eu ce jour là Pero allí nadie pudo ver el
Ce sourire au fond de tes yeux porque reías así,
Qui allait pourtant peu à peu y una voz muy dentro de ti te gritó:
Conquérir toutes les plazzas tú puedes vencer.
Puis vint le moment du premier combat Entre el y sombra luchabas tú,
L'ombre et la lumière dansaient sous tes pas con la claridad de tu juventud,
Chacun attendait comme tant de fois Ni un momento el miedo te dominó
A croire que la peur n'était rien pour toi te sobraba ardor, te sobraba luz.
Et même à l'instant où la mort passa y la muerte cerca de ti pasó,
Plus près que les autres, toi, tu t'avança porque como tú, nadie se acercó.
Et la foule criant ses "viva" Pero al fin todo mundo vio el
Découvrit le plus merveilleux porqué reías así,
Des sourires au fond de tes yeux cuando oyó muy dentro de ti,
Jamais plus elle ne l'oubliera esa voz que ayer te alentó.
Tolède, Barcelone, Seville, Linarès, Desde que la vida te vio nacer,
Le chemin fut lent, Manuel Benites, ¡Oh Manuel Benites, que amarga fue!
Avant qu'on ne t'appelle hasta que te llamaron
El Cordobès "El Cordobés"

("Manuel benites" Jean-Max Rivière / Gérard Bourgeois) - 1966



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