C'est malheureux pour certains, intéressants pour d'autres, mais voici ce de quoi j'ai l'air :
Me voici, en
Février 2007, dans une position des plus révélatrices...
(Désert de Mojave, Californie)
Fiche signalétique :
Nom : Samuel Thibodeau
Surnoms habituels : Sam, Bodo
Surnoms internautes : Elbodo, TiBudd
Situation familiale : En union libre avec Geneviève Pelletier depuis 2000.
Année de naissance : 1981
Lieu de naissance : Greenfield Park (Québec) Canada
Villes habitées : Saint-Constant (1981-2001), Montréal (2001-2003), Terrebonne
(2003-...)
Occupation : Pharmacien salarié en milieu communautaire (Familiprix)
Scolarité : B.Pharm (Université de Montréal, 2003)
Religion : Athéisme (ancien catholicisme absolument non pratiquant)
Orientation politique générale : Centre droite conservatrice.
Opinion sur l'avenir du Québec : Autonomiste, c'est-à-dire ni fédéraliste ni
séparatiste.
Faits notables sur l'auteur de ces pages :
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Depuis qu'il est tout petit, démontre une attraction importante envers tout ce qui concerne la géographie, la cartographie, les transports et plus particulièrement ce qui touche le domaine des transports ferroviaires depuis quelques années. |
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À l'âge de 5 ans, son passe-temps favori était de regarder des cartes routières et de dessiner des routes...! |
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S'intéresse très activement aux trains depuis l'âge de 15 ans. |
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Est un internaute inépuisable (au grand désespoir de sa copine et ses proches...) |
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Est un vrai mordu de motoneige depuis son très jeune âge, loisir qu'il a d'abord pratiqué avec son père, puis seul depuis l'âge de 14 ans. |
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Manifeste un intérêt pour les voyages ; a visité le Canada, les États-Unis, la Jamaïque, Cuba, la République Dominicaine, la Grande-Bretagne, la France, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. |
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Adore être près de la nature et passe en général beaucoup de temps à l'extérieur. |
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Est un cycliste moyennement en forme (hybride performance, vitesse moyenne 30 km/h, 1500 km par année). |
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"Popote" beaucoup, adore faire la cuisine et le marché avec sa conjointe Geneviève. |
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Côté bouffe, n'aime pas vraiment les fromages, les petits pois et encore moins le "Chop Suey". |
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Est toujours d'accord pour manger du BBQ, surtout un gros bifteck AAA "coupe New York" pas très santé ; mais adore aussi les sushis et, avec contraste, la poutine...! |
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Est un grand amateur de bière en général (toujours avec modération depuis qu'il a gradué de l'UdeM). |
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A déjà travaillé à la Brasserie Labatt (LaSalle) comme opérateur de camion à fourches, mais aussi comme agent de services aux membres dans une caisse populaire. |
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A fait ses études primaires à Vinet-Souligny et Piché-Dufrost (St-Constant), puis son secondaire au Collège Charles-Lemoyne (Ste-Catherine) et son DEC en Sciences de la Santé au Cégep André-Laurendeau (LaSalle). |
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Souhaite avoir visité les cinq continents avant de fonder une famille (il en reste donc trois à visiter !) |
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Se prononce ouvertement pour ou contre n'importe quoi (généralement de type "grande gueule" mais bon gaillard quand même). |
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Adore la photographie et s'intéresse aux radiocommunications. |
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S'implique beaucoup auprès de la communauté des amateurs de trains au Québec. |
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En 2002, a fondé Railfan-Montréal, une communauté d'amateurs de trains dynamiques regroupant une cinquantaine de membres intéressés par les opérations ferroviaires au Québec. Il veille toujours à l'organisation d'activités pour ce groupe. |
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En 2003, a été co-organisateur d'une excursion à Senneterre en voiture "parc" panoramique nolisée regroupant 24 amateurs de trains. |
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En 2003, 2004 et 2005 ; s'est rendu en train à Bayview Junction pour un court périple exclusivement ferroviaire. |
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En 2006 et 2007, a visité Barstow en Californie pour des voyages à vocation purement ferroviaire. |
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Parcourt en général 10 000 km
par année en "railflânnant" (c'est-à-dire en jouant à la chasse aux trains). |
Présentation "ferroviaire" de l'auteur...
Je suis pharmacien dans la région de Lanaudière depuis déjà quatre ans ; j'ai donc quitté la région de la Montérégie depuis quelques années ; toutefois, je garde un certain attachement pour ce qui va demeurer ma région natale. J'ai grandi à Saint-Constant ; d'ailleurs, y'a-t-il une ville plus ferroviaire au Québec ? Au fond, cette ville ne se démarque sûrement pas des autres banlieues montréalaises... mais les ferrovipathes penseront sûrement à Exporail (Musée Ferroviaire Canadien) qui y est établi depuis presque 40 ans.
C'est lorsque j'étais tout petit que j'ai commencé à aimer les trains. Je demeurais alors en bordure d'une voie ferrée (l'ex-subdivision de Massena du Canadien National, pour vous situer...), où des convois passaient plusieurs fois par jour, me réveillant, m'empêchant même parfois de dormir. Le passage du train me faisait pleurer tellement cela me faisait peur, la maison tremblant tellement le convoi passait vite. Mes parents ont alors tout fait pour me faire aimer ce qui m'affolait autant, faisant de moi un véritable "ferrovipathe".
À l'âge de 4 ans, j'ai reçu en cadeau de mes parents un magnifique train miniature. Malheureusement, étant trop jeune pour en profiter passionnément, j'ai volontairement brisé celui-ci quelques mois après, probablement dans le but d'en apprendre un peu plus sur son fonctionnement ou sa mécanique. Je m'en mords aujourd'hui les pouces, évidemment...
1er Juillet 1985 : Je reçus une magnifique piste de train en cadeau de fête.
Par ailleurs, j'ai toujours eu un petit penchant pour les trains du Canadien Pacifique. D'après-moi, ceci est attribuable aux anciennes belles couleurs brillantes des wagons du CP Rail qui devaient alors m'épater. De nature curieux, je posais beaucoup de questions à mes parents sur les trains, ces derniers n'étant absolument pas au courant des trains en général !! Aujourd'hui, je comprends bien que le CP est une compagnie comme les autres et qu'elle n'est pas tellement différente du CN, mais quand même, j'ai toujours ce penchant pour le "rouge"...!
Durant mon enfance, mon observation des trains s'est limitée aux convois du CN qui passaient carrément dans ma cour, ma mère m'interdisant de me rendre à la voie du CP Rail, située de l'autre côté d'une rue achalandée, et ce, jusqu'à l'âge de 10 ou 12 ans.
Évidemment, vint l'adolescence. À l'adolescence, c'est pas "COOL", les trains...! En effet, s'il y a bien une chose que j'ai complètement chassée de ma pensée durant cette période, c'est ma passion ferroviaire ! Donc, peu de choses à dire sur le sujet, ou presque. C'est malheureux, car c'est durant cette période que de nombreuses transformations ont été effectuées dans la région, allant des abandons au remplacement des locomotives J'ai donc carrément manquer le bateau !
Un jour, alors que j'avais 15 ou 16 ans, j'ai croisé un train, à Saint-Constant, sur la voie du Canadien Pacifique. À ma grande surprise, et à mon grand désespoir, il ne s'agissait pas d'une belle série de locomotives éclatantes du CP, mais plutôt d'une affreuse brochette de locomotives grises, brunes, beiges, aux engins de différentes compagnies bâtardes qui rugissaient sans cesse. Je me suis alors interrogé alors sur ce qui pouvait bien se passer dans la région pour que d'aussi affreuses locomotives peuvent se permettre de passer sur les voies d'une compagnie me semblant aussi prestigieuse que le CP...
C'est en naviguant sur l'Internet que j'ai appris que le Canadien Pacifique avait vendu une partie de son réseau à de petites compagnies régionales qui possédaient des droits de passage vers Montréal. Mon intérêt pour les chemins de fer entre alors dans une période de "renaissance". Durant de nombreuses longues soirées, je me suis assis, alors en compagnie de mon défunt petit chien, Carlo, sur le bord de la voie ferrée, attendant les trains, tentant de comprendre leur fonctionnement et de démêler tout ça.
Voici ce cher petit maniaque de trains qui m'accompagnait toujours !
Le développement de l'Internet a rapidement contribué à alimenter ma passion des trains. L'autoroute de l'information m'a d'abord permis de réaliser que je n'étais pas seul dans cet univers... C'est en tombant sur un site web jadis réalisé par Érick Pelletier sur les trains opérant dans la région de Québec que j'ai pu constaté que d'autres s'y intéressaient. À l'époque, l'Internet n'était pas aussi développé et les informations y défilaient au compte-gouttes. Avec la popularité grandissante du réseau, de plus en plus d'amateurs de trains ont pu améliorer leurs connaissances et développer leur passion. J'étais alors embarqué dans un véritable train de la passion...
La passion ne s'arrête plus... l'achat d'un balayeur d'ondes a certainement été le meilleur achat jamais réalisé ; j'ai enfin pu comprendre une foule de choses sur les opérations ferroviaires. Dire que j'ai passé tellement de temps à attendre les trains...
Je vous offre donc d'en apprendre un peu plus sur mon "dâdâ"... après tout, c'est bien d'avoir un passe temps !
Sur ce, je vous souhaite une bonne visite !
