LE MONSTRE HIDEUX DE COLERAINE
Avant d`all� voir le rocher qui int�ressait tant l`humano�de.Je d�cidais d`inspect�, examiner avec une grande attention, une zone d`au moins 300 m�tres � la ronde, � partir du rocher.La premi�re chose que j`ai  �t� voir fut bien entendue le cimeti�re.J`ai remarqu� avec surprise qu`il avait eu une moyenne de 5 d�c�s en 1968.Je trouvais que s`�tais beaucoup, vivant moi-m�me dans un petit village � faible population le nombre de morts auraient du �tre moins �lever, en supposant que la mort est de cause naturel.Tout en marchant derri�re l`�norme rocher.Je regardais la v�g�tation en prenant un grand respire de sant�.Je senti le doux parfum de quelques sapins.Le secteur �tait surtout entour� de peuplier avec peu d`�rable.En empruntent un chemin de terre, apr�s avoir march� quelques m�tres.Je vis sur ma droite une pierre compl�tement plat, �lev�e et assez �tendue d`un diam�tre que j`avais �valu� � peu pr�s 15 m�tres de large.Elle se trouvait justement � 300 m�tres derri�re le fameux rocher.Tout � coup, je me suis souvenus que les t�moins soutenaient avoir vu atterri, le v�hicule � plusieurs reprise, derri�re le renonm� rocher.Au fond l`histoire n`est pas bas� sur une pierre mais bien de deux rochers naturel.Ma surprise fut de d�couvrir de la mousse de pierre de couleur noir comme du charbon couvrent certains endroit de la pierre avec quelques touffes verte.Cet v�g�tation �tait plac� surtout � des partie non accessible � la lumi�re du soleil.En regardant cet masse plate, je serais port� � croire qu`elle aurait put servir � une piste d`envole et d`atterrissage pour les ovnis.Bien dissimuler par les arbres.En retournant sur mes pas je regardais le cimeti�re avec un regard r�goureut la chani�re �tait sur la gauche et non sur la droit comme dans la revue Affa p�ssiblement on a du avoir d�placer le b�timent pour des raisons de glissement de terrain ou autre?.Je voulais donn� d`un mani�re pr�cise et exacte les �l�ments qui entourent le secteur du ph�nom�ne.
Photo de l`�crivain: Henri Bordeleau, plusieurs mois avant son d��es.
Le reptilien de Coleraine.
On constate dans la r�gion deux grande �tendue d`eau, qui sont remplie de myst�re entre t`autre de l`existence de monstre marin �tranges qui hante le paysage.Le lac Aylmer et le St-Fran�ois qui se trouve � une altitude de EB 45 m�tres sur une surperficie de 157 kilom�tres.Je ne crois pas que l`ufonaute a visit� le rocher, par simple hasard.Mais probablement pour une raison bien d�terminer.Ce qui pourrait expliqu� pourquoi que ces apparition est dur� plusieurs jours.La cr�ature n`a jamais fait aucun contact avec les t�moins.Malgr� une tr�s vive curiosit�.C`�tait comme s`il voulait voir comment les humains r�agirait � �a pr�cence..Pour mieux comprend ce que les enfants ont observers.Je me suis construit une maquette grandeur nature du monstre. Que j` installais moi m�me sur le rocher.Je voulais reproduire les conditions identique de l`intensit� de la lumi�re du jour, en me placent � une distance de 50 m�tres du rocher avec une paire de  jumelle 7x50 tout comme l`un des jeunes observateurs la fait � l`�poque.Ainsi j`arrivais � un r�sultat de vision semblable que celle du 29 ao�t 1968.Apr�s avoir examin� l`endroit, ma conclusion fut qu`il �tait totalement impossible de voir les pieds de la maquette et c`est tout simplement la roche qui nous l`emp�che � cause de sa hauteur avec le sol  et son �loignement avec les t�moins.La th�orie d`Henri Bordeleau, le champ r�pulsif qui enveloppe le reptilien �tait supposer nous expliqu�s pourquoi qu`on ne voyaient jamais le bas des jambres de la cr�ature est une h�risie.Une opinion fausse dans les formes prescrites..Il y a aussi un d�tail � not�, sur la zone de 300 m�tres que j`ai explor� se trouve une antenne de t�l�vision qui alimente le c�ble qui existait d�j� en 1968.Il est malheureux de constat� que personne n`est eu l`id�e de demand� � la compagnie du cable , pour savoir s`il avait eu des probl�mes de pertubation durant le 29 ao�t au 1 septembre 1968.
Le croquis des lieux par Donald.
Dessin de la revue AFFA page 16 vol:1 no:2.,�dition septembre-octobre 1968.
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