| Lumi�re �trange et radium � Eastman |
| La Tribune de Sherbrooke, 30 avril 1966 p.1 |
| Trois capsule de Radium dans un jardin � Eastman |
| Recherches intensive � la suite de la myst�rieuse d�couverte |
| Par Jean-pierre Lacasse MAGOG- Trois capsule de radium d�couvertes � Eastman ont �t� l`objet de nombreuses recherches,hier, dans cette r�gion. |
| -Mme Fernande Chagnon a trouv� deux de ces myst�rieux objets alors qu`elle travaillait dans son jardin, en compagnie de son fils. les capsules �taient � quelque dix pieds de distance et, fait � remarqur, elles n`�taient pas � cet endroit depuis longtemps puisqu`une semaine auparavant, l`herbe avait �t� br�l� sur le terrain et les nombreuses personnes qui surveillaient le feu n`avaient rien aper�u � ce moment. Les capsules Les capsules de radium ont un diam�tre d`un pouce et trois quart et une �paisseur d`environ un demi-pouce. La surface est de mati�re diaphane et � l`int�rieur on remarque un liquide blanch�tre et opaque. Le fond est form� d`une couche de �tal sur lequel on peut lire:�Dispose of by burial, Radioactive, U.S. Radium Corp, Poison Inside, 2-55. � Recherche Apr�s que Mme Chagnon eut fait part de sa d�couverte � la Tribune, le journaliste s`est rendu � l`h�pital La Providence de Magog avec une des capsules, o� le Dr Julien Rochefort a contact� les autorit�s de la Gendarmeri royale � Sherbrooke afin de leur communiquer la d�couverte. Ces derniers ont alert� la PP et le service de la Protection civile qui se sont rendus au bureau de la Tribune de Magog o� ils ont r�cup�r� le contenant. |
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| Par la suite, ils se sont dirig�s chez Mme Chagnon � Eastman afin de prendre l`aure pi�ce. Quelques instants plus tard, une autre capsule �tait trouv�e pr�s de l`endroit o� Mme Chagnon avait remarqu� les deux premi�res. Expertises M.M. Jean-G. Denault et Louis Fortier, respectivement coordinateur et instructeur de d�tection de radiation du service de la Protection civile ont transport� les trois capsules � Sherbrooke o� des expertises doivent �tre faites aujourd`hui, car le d�tecteur de radio-activit� employ�, hier, � Magog et � Eastman ne sert qu`� d�celer des quantit�s plus consid�rables de radiation. Par ailleurs, M. Denault demande � tous ceux qui auraient en leur possession des objets identiques de communiquer sans tarder avec la Gendarmerie royale ou le Service de protection civile. Provenance Plusieurs hypoth�ses ont �t� �mises quant � la provenance de ces capsules. Certains soutiennent que ces objets seraient la cause des nombreux ph�nom�nes aper�us dans le ciel depuis quelques jours. D`autres croient que ces pi�ces auraient �t� �chapp�es d`un avion ou encore qu`elles proviendraient d`une quantit� de radium vol�e r�cemment aux �tats-Unis. Quoiqu`il en soit, il est difficile d`expliquer pourquoi ces trois capsules ont �t� trouv�es sur une �tendue relativement restreinte et que jusqu`� ce matin, personne d`autre n`aurait d�couvert des articles similaires. |
| CAPSULE DE RADIUM-Mme Fernande Chagnon d`Eastman indique l`endroit o� elle a trouv� l`une des myst�rieuses �capsules�de radium. ( En gros plan, dans le m�daillon). ( Photo La Tribune, par Studio Breton) |
| La Tribune de Sherbrooke mardi 3 mai 1966 p.24 |
| Ayant sans doute servi � l`�talonnage d`instrument ________________________________________ |
| Les trois capsules myst�rieuses d�couvertes � Eastman renfermaient une faible quantit� de phosphore 32 |
| SHERBROOKE- Des analyses effectu�es, hier, aux laboratoire de l`Universit� de Sherbrooke, ont r�v�l� que les capsules trouv�es � Eastman contenaient une faible quantit� de phosphore 32. M. Ricardo Muzzarelli, docteur en chimie, � la facult� des Sciences, a r�v�l� que le contenu des capsules pouvait tout de m�me produire des effets n�fastes et qu`ainsi il �tait dangereux de les ouvrir. Vendredi dernier, lors de la d�couverte des capsules, on avait cru d`abord qu`elles renfermaient du radium �tant donn� que l`on pouvait lire, sur l`enveloppe en m�tal: radio-active. Appel � la prudence Le Dr Muzzarelli a mentionn� qu`il �tait tr�s important de communiquer avec le Service de protection civile si quelqu`un venait � trouver d`autres capsule de ce genre. �Si vous touchez au liquide renferm� dans les capsules, vous courez le risque de vous infliger des br�lures en plus de devenir porteur de substances radioactives. Ainsi, si vous en mangez, vous ingurgiterez du phosphore 32. Un |
| des effets de ce phosphore �tant de d�truire les globules blancs, vous devenez ainsi plus vuln�rable � la maladie.� Comme une montre Le Dr Muzzarelli a soulign� que le phosphore �tait le m�me employ� pour les aiguilles des montres et des r�veille-matin. �Tout de m�me, a-t-il dit, m�me le soir, il ne peut`etre vu � une tr�s grande distance et c`est ainsi peu probable qu`il soit question ici des objets vus dans le ciel, dans la r�gion, depuis quelques semaines. Poursuivant. le Dr Muzzarelli a soulign� que ces capsules avaient sans doute servi � l`�talonnase d`instruments. A Montr�al A la suite des analyses, les capsules ont �t� remises entre les mains de la S�ret� provinciale de Sherbrooke. Un rapport sera fait aux autorit�s de la S�ret� provinciale de Sherbrooke, ce qu`elles entendent faire au sujet de cette affaire. |
| Visite d`habitants de l`espace � Eastman |
| La Tribune de Sherbrooke, vendredi 31 mars 1967 p.26 |
| EASTMAN, Qu�. (PC)- C`est environ,il y a deux semaines, que Mme Grace Lee a re�u sa premi�re visite d`habitants de l`espace extra-terrestre. C`est toutefois seulement depuis mercredi que son fils a d�couvert une pierre �trange qui lui a sembl� �tre un m�t�ore. Ce bolide a perc� un large trou dans le toit de la grange et a arrach� une large section du mur de t�le ondul�e. Mme Lee et son fils habitent une maison de bois rond, vieille de 130 ans, le long d`une route isol�e, � environ 20 milles au sud-ouest de Sherbrooke. M Lee n`�tait pas � la maison le soir o� un bruit du tonnerre a tir� sa m�re de son sommeil. �J`ai eu grand`eur� a-t-elle racont�. �J`ai cru un moment que la maison allait s`�crouler et je me suis lev�e pour constater ce qui �tait survenu, mais je n`ai vu absolument rien d`anormal.� Toutefois, au m�me moment, des citoyens de Magog, � cinq milles de l�, ont entendu un d�tonnement bizarre qu`ils ont attribu� � un avion. �Je n`ai plus song� � cet accident,� a ajout� Mme Lee �Souvent, dans ma vie, j`ai entendu des bruits puissants dont je n`ai pu expliquer la cause.� Mais des citoyens de Sutton et de Stantead, ont �galement fait �tat de ce grand bruit �trange au milieu de la nuit. Lundi dernier, M L�� se rendait dans la grange et remarquait le trou dans le toit et la brisure d`un colombage de c�dre. Mercredi, toujours intrigu�, il revenait sur les lieux et examinait les environs. Derri�re la grange, � demie ensevelie dans la neige, il a trouv� un gros morceau de roc de 15 ou 20 livres. La pierre �tait noire et travers�e de ligne rouge�tre. Remarquant qu`une surface de glace recouvrait la pierre, il a conclu que le roc devait ^re bouillant lorsqu`il a touch� la neige. M. Lee n`a pas r�ussi jusqu`ici � atteidre un savant qui lui dira s`il s`agit d`un m�t�orite. �Cette pierre ne ressemble � aucune autre pierre du pays et, si jamais quelqu`un a lanc� un tel bolide � travers le toit de notre grange, je ne voudrais pas la rencontrer car elle doit �tre extr�mement puissante.� |
| Eastman �n�`est pas une ville sans histoire., 1966 a �t� , peut-�tre la plus grande vague d`ovnis des Cantons de l`Est. D`ailleur tout , la c�te Est de l`am�rique a �t� visit�. DONALD CYR UFO |
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