Collectifs et coordinations pour la démission d'Allègre

1, rue J.P. Timbaud
75011 Paris

Voici une nouvelle pétition, dont nous souhaiterions qu'elle soit massivement signée dans les établissements, dans les semaines qui viennent.
Cette action a plusieurs buts :
- Continuer à exercer une pression sur le gouvernement et les directions syndicales, en montrant que le nombre des enseignants en colère va croissant
-Aller faire signer dans les établissemnents encore peu engagés dans la lutte, dans les écoles

primaires de nos quartiers, dans les sections F.C.P.E. auxquelles appartiennent ceux d'entre nous qui ont des enfants scolarisés ; c'est un moyen d'entrer en contact, d'élargir et de consolider la mobilisation, de constituer de nouveaux collectifs , après la manifestation du 20 Mars, pour préparer celle de Mai.
- Les feuilles de signatures ( ou les photocopies) doivent être envoyées, même si la collecte continue, pour que nous puissions faire état régulièrement, sur le site, de la progression du nombre des signataires

NON A CETTE POLITIQUE

ALLEGRE DEMISSION

Le ministre de l'éducation nationale a construit toute son action sur l'injure et la provocation à l'égard des enseignants. Il a tenté de dresser la nation entière contre ses enseignants, pour faire passer, après un simulacre de concertation, une réforme qui porte une atteinte grave à l'Ecole Publique.

Le souci tapageur de mettre l'élève au centre du système éducatif n'est qu'un alibi: dans les collèges et les lycées, il ne s'agit que d'alléger les horaires, d'appauvrir les contenus, de remettre en cause le cadre national des diplômes, de transformer les enseignants en animateurs sociaux; dans les écoles, il ne s'agit que de remettre l'enseignement aux C.E.L.(contrats éducatifs locaux), de remplacer des enseignants qualifiés par des aides- éducateurs ou des "intervenants extérieurs".

Economies budgétaires, généralisation des emplois précaires, renoncement à la transmission des savoirs, cette politique libérale, soutenue par Madelin, Chirac ou Pasqua, nous ne l'acceptons pas.

Depuis des mois, les enseignants de la région parisienne, rejoints depuis par d'autres, organisent grèves et manifestations.

Le 20 mars, nous étions plus de 60 000 à Paris, venus de toute la France pour exiger l'abandon de cette politique . Les mots d'ordre les plus repris exigeaient le départ du ministre.

Pourtant, le gouvernement s'obstine à ne pas entendre la majorité de la profession

NOUS NE CEDERONS PAS

Nous appelons à préparer la montée en masse de tous à Paris, enseignants des écoles, collèges, lycées, universités, chercheurs, parents, étudiants, lycéens, tous ceux qui sont attachés à la défense de l'Ecole publique.

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