LES ENFANTS DU MAL

 

 

 

              CHAPITRE 5

 

 

 

Jabem et Momok se disputaient sur l’utilisation des prisonniers humains, l’Orque voulait les manger et le Skaven tester de nouvelle maladies sur eux. Ils furent interrompus par des cris qui provenaient du camp, ils sortirent de la tente pour voir ce qui se passait, le Skaven comprit beaucoup plus vite que l’Orque que le camp était attaqué.

-« Qu’es ce qui se passe ? »Demanda l’Orque comme si il était normal qu’il ne comprenne pas.

-« Les rescapés que l’on croyait avoir quittés le coin sont en train de nous attaquer, t’es con ou tu fais exprès ? Imbécile. »

-« Les quoi ? »

-« Les rescapés ! »S’énerva Jabem.

-« C’est qui ? »

-« Les humains, crétins ? » Après ces mots Jabem regarda Momok, sauta au niveau du visage du peau verte et lui administra un coup de tête magistral qui assomma l’Orque et tomba de toute sa hauteur sur le pauvre Skaven qui un peu sonné n’avait pas calculé que l’Orque pouvait tomber en avant donc sur lui.

-« A l’aide ! ! ! »Hurla Jabem. Aucune réponse ne suivit ce cris de détresse.

-« Bande de fils de (censuré) venez m’aider. »Cracha une fois de plus l’homme rat. Les gardes rapprochés de Momok qui comprirent enfin que Jabem s’adressait à eux grâce au ton de sa voix et non aux paroles car ils ne connaissaient pas le language courant, se dirigeaient vers le tas formé des deux chefs. Les peaux vertes soulevèrent avec beaucoup de difficultés leur chef et permirent au Skaven de respirer de l’air car la sueur et la crasse de Momok l’avaient quelque peu rendu malade.

 

Les habitants de Cortignac s’étaient en fait caché dans une forêt au sud de la ville où un clan d’Elfes sylvains qui regroupait ceux qui partit à l’aventure s’étaient vite retrouvés sans moyen, leur honneur les empêchant de retourner dans leur famille et n’étant pas acceptés dans d’autre tribus ils furent un bon nombre à grossir les rangs du clan des arbres du cœur. Les humains rencontrèrent les Elfes au centre de la forêt et leur expliquant ce qui s’était passé les firent adopter leur causes, c’est ainsi que les hommes encore aptes à se battre et des guerrier sylvains attaquèrent le camps où se reposaient l’armée d’hommes bêtes, quelques régiments Orques et Skavens et les généraux Momok et Jabem. Ketil était un des chefs de guerre des arbres du cœur, jeune pour un Elfe il avait les cheveux longs, châtains très clairs et des yeux vert de la même couleur que ses vêtements : une cape, un haut et un pantalon qui lui donnait l’impression d’avoir été créé pour être un arbre. La troupe qu’il commandait était composée d’un vingtaine d’archer et d’une dizaine de guerriers, parmi eux, forcément, des humains de Cortignac. Les membres de la troupe du chaos furent surpris de voir des flèches élfiques transpercer certain de leurs compagnons. Les Humains et les Elfes eurent avec eux l’effet de surprise qui leur permettait non seulement d’abattre des monstres surpris mais aussi des Orques complètement bourrés et endormis.

 

Lorsque Jabem et Momok comprirent qu’il fallait quitter le camps ils ne cherchèrent pas d’autres alternatives et regroupèrent leurs combattants encore en vie qui ne se fissent pas prier cher pour déquerpir. Les Hommes bêtes se retrouvèrent seul à combattre les forces du bien, leur nombre décroissait de façon alarmante même pour des Hungors. Ketil et ses frères d’armes nettoyaient à sec le camps des Hommes bêtes et lors de la trentième minute le pauvre Elfe ne vit pas l’ennemi qui avec son membre en forme d’épée lui assena un coup du tranchant au niveau de la nuque lui coupant la moitié de l’interface tête-torse, la tête de Ketil ne tenait sur ses épaules que grâce à dix cm de chair et une patate du gauche de l’Homme bête transforma Ketil en un bouteille de vin rouge débouchonnée. Un quart d’heure après tous les Hommes bêtes gisaient part terre dans un bain d’entrailles et de sang coagulé. Les Humains remercièrent les Elfes pour leur aides mais ceux si étant trop triste de la mort de leur chef ne les écoutèrent même pas et retournèrent dans leur forêt pour offrir une cérémonie mortuaire à Ketil.

 En fouillant les tentes les Humains découvrirent des armes, des armures, des provisions et une sorte d’enclos en bois dont la hauteur était d’environ quatre mètre. Cinq des vingt humains restant ouvrirent la palissade, à l’intérieur un nombre incalculable de rats se promenaient sur les dépouilles d’une centaines de citadins de Cortignac. Une odeur nauséabonde emplit en un rien de temps les narines des vingt survivants. Les rats les ayant repérés ne tardèrent pas à mordre ces quelques humains qui moururent en quelques minutes.

Plus un seul bruit ne provenait du camps alors que l’obscurité devenait total. Au loin un loup hurla à la mort, en quelque secondes les hurlements venir des tous cotés. Les loups avaient compris qu’un festin s’offrait à eux.

 

Le général Momok et le général Jabem accompagnés de leur guerriers arrivèrent au temple de Troclon et demandèrent à voir le grand pope.

-« Le grand pope ne veut pas être dérangé. » Leur répondit un garde Elfe noir.

L’Orque et le Skaven reconnurent Choco qui passait au loin.

-« Tu n’as qu’à le prévenir du succès des maladies comme ça il le transmettra au grand pope. » Suggéra Jabem.

-« Pourquoi moi ? C’est tes maladies et ta mission, moi je n’était pas au courant » Se protégea Momok

-« Chute ! Il s’approche. »

-« Qu’es ce que vous faites ici ? Vous n’êtes pas sensés être au campement vous deux ? » S’étonna Choco.

Mort de peur Jabem bredouilla :

-« …Non…Euh…Mission accomplie…transmet au grand pope. »

-« BBBOOOUUUHHH ! ! ! » Fit Choco.

Les deux monstres s’évanouirent et Momok une fois de plus tomba sur le pauvre Skaven mais cette fois si il ne s’en rendit pas compte.

-« AH !AH !AH ! J’adore faire peur, Vous trois emmenés les dans leur quartier »

-« Tout de suite maître Choco. » Répondirent les gardes Elfes noirs. Choco retourna tout brûler autour du temple, s’était son passe temps favoris.    

    

 

                                                                                               CHAPITRE 6

 

 

 

Le grand pope s’approcha des trois demi Elfes et leur parla de façon froide et caverneuse, son capuchon empêchait aux personnes se trouvant dans la salle de voir le visage de cette hêtre dont nos héros ne connaissaient rien.

-« Bienvenu devant votre destin, vous pouvez vous relever, Slash prépare mes affaires de magie. »

-« Notre quoi ? Magie ? Qu’es ce qu’il se passe ? Moi pas comprendre. » Demanda Irec qui posa the question. Ses frères d’armes se la posant aussi.

-« Vous avez le droit de savoir, il est vrais. »Répondit le grand pope qui visiblement s’attendait à cette question.

-« Plutôt qu’on a le droit de savoir » Coupa Torhil.

-« GROOOOOOOOUUUUUUUAAAAAHHHHHHH ! » L’estomac de Kukul venait de parler. Il continua (Kukul pas son estomac) :

-« Pendant que vous nous expliquez, je peux commander une pizza parce que mon estomac commence à s’énerver. Et je…. »

-« La ferme ! » Hurlèrent Irec, Torhil et le grand pope. »

-« Tu la racontes ton histoire ? » S’énerva Torhil.

-« Elle vient cette pizza ? »(C’est Kukul qui parle au cas où vous n’auriez pas compris.)

-« Paf, aille… » Le coup de Tête d’Irec était réputé pour faire très mal.

Le grand pope énervé tapa du pied sur le sol et réussi à imposer le silence, il frappa dans ses mains et fit apparaître un fauteuil sur lequel il s’assit et commença :

-« Jusqu’à il y à une vingtaine d’années un grand chef chaotique régnait sur la région, il s’appelait Damnik et venait de Naggaroth. » Slash arriva, posa un grand sac et prit la parole :

-« Naggaroth ? Je suis né la bas, c’est le pays des Elfes noirs. »

-« Exact, il disait agir pour tous les dieux du chaos mais la folie gagna son esprit et il voulut rentrer dans le panthéon des dieux, il fit détruire les temples cachés de Khaine, Slannech et autres dieux. Pour se venger les dieux lui offrirent une multitude de pouvoir démoniaque, au début il ne comprenait pas et en abusa, au passage trois années de rang il pilla Cortignac et viola une femme à chaque fois, trois humaines furent mise en ceinte par Damnik.

-« Trois femmes donc trois demi Elfes. » Calcula Torhil.

-« Tout à fait. Vous êtes ses fils…vous êtes frères. »

-« … » Les trois demis Elfes se regardèrent un peu choqués.

-« Mon père est un Elfe noir ? Oh ben merde. » Après avoir dit ces mots Kukul cracha sur le sol accompagné de Torhil et Irec.

-« Eh ! Un peu de respect. » Slash n’avait pas supporté cette atteinte à sa race et menaça Kukul de sa lame.

Irec voulant savoir pourquoi il était en ce lieu demanda :

-« Pourquoi il n’est plus là ? Et pourquoi nous avoir fait prisonniers ? »

-« Je continue, la trop forte concentration de pouvoir le fit disjoncter et il implosa lors d’une incantation qui devait en faire un démon. Il y a trois ans Troclon, mon dieu, appris qu’une prophétie disait que si les enfants de Damnik entraient en relation avec des dieux du bien ils feraient un carnage parmi les troupes chaotiques mais si un dieu du chaos prenait possession des pouvoirs qui coulaient dans leurs veines alors sa puissance surpasserait celle de n’importe quel dieu. Voilà vous savez tout et vous allez permettre à Troclon de devenir le maître de l’univers. »

-« C’est bien beau mais mes frères et moi ne sommes pas d’accord, on a d’autres projets. » Irec allait partir en disant cela si la lame de Slash n’avait pas changé de direction or elle se trouvait maintenant sous le menton d’Irec qui  n’osa pas aller plus loin.

 

Le grand pope balbutia quelque mots et une grande table apparut, les demi Elfes furent soulevés magiquement et déposé sur la table où des sangles apparurent et s’enroulèrent autour des trois frères qui essayèrent de résister mais sans succès. Le grand pope, une dague dans la main droite, un sceptre dans la gauche et un grimoire flottant sous ses yeux commença une incantation :

-« je vais débuter la première partie qui consiste à vous transformer en petit démon, plus tard je ferais la deuxième qui consiste à vous égorger avec cette dague et à verser votre sang sur la statue de Troclon afin qu’il absorbe tout.

Adepar mignatet obetio dacil demonus filae Damnik errous mistaque abara louos cognef sticae multas abisseo uldocari demonus demonus demonus carealopodomignifilateous. »

Les demi Elfes se transformèrent dans des hurlements comme l’avait prédit le grand pope en démon, enfin…en une sorte d’homme bête, ils étaient enragés près à tout dévaster.

-« Slash où est tu ? »

-« … »

-« Je comprends pas les quatre démons sont là et lui il…quatre ? » Le grand pope pris peur lorsqu’il comprit que Slash s’était transformé en démon non pas parce qu’il venait de remarquer que Slash avait aussi Damnik comme père mais parce que Slash n’était pas attaché. Le grand pope enleva sa capuche laissant apparaître son visage, si on peut appeler ça un visage, il était tout brûlé, ses yeux étaient blanc et sur son crâne pas un seul cheveux. Slash se je ta sur lui et lui prit la gorge avec ses grosses dents fraîchement acquise. Il alla détacher ses…frères et ils quittèrent le palais, sur le chemin de la sortie les malheureux goblinoïdes qu’ils croisèrent furent dévorés. Une fois dehors ils partirent en direction de la foret la plus proche.

 

Lorsqu’ils s’arrêtèrent ils étaient déjà bien enfoncés dans la foret, Irec remarqua qu’il n’avait pas perdu le don de parler ainsi que les autres.

-« Slash tu es toi aussi un fils de Damnik ? »

-« Apparemment. »

-« Tu n’as pas l’air surpris. »

-« J’étais quelque peu au courant mais je ne connaissais pas son histoire. »

A côté Torhil et Kukul s’étaient endormis et les deux autres eux aussi finir par rejoindre le pays des rêves…et des cauchemars.

Une douce musique était couverte par des voix qui semblaient venir d’ailleurs.

-« Fils de Damnik. » Puis plus rien mais la musique était encore présente.

-« Fils de Damnik. »

-« (musique) »

-« Fils de Damnik, trouvez la clairière de l’autel blanc .»

-« (musique) »

-« Trouvez la et vous serez sauvés. »

 

 

 

CHAPITRE 7

 

 

Depuis près d'un mois les trois démons étaient traqués par un Nain, ils l'avaient repéré dès le début mais ils n'avaient rien tenté pour s'en débarrasser mis à part de courir pour le semer mais cette technique restait sans succès. Le Nain avait la centaine, il n’était équipé que d'un marteau à double tranchant, sa barbe mesurait facilement un mètres et elle était de la même couleur que ses cheveux : orange. Le tueur traquait actuellement ses premières proies, il misait tout sur la prudence car il ne voulait pas qu'elles soient aussi ses dernières. Bien qu'il sache qu'il était repéré il continuait de les suivre en espérant qu'elles l'amènent à un repère où il pourrait retrouver son honneur et monter au près de ses dieux et ancêtres. Il rentra dans l'ordre des tueurs car il fût le seul survivant de la citée où il habitait et dans l'attaque de celle ci par une armée du chaos ses deux fils et sa femme furent tués, pour lui ils étaient morts car il n'avait pas su les protéger alors que pendant la bataille, il se battait comme un fauve avec son marteau forgé par ses ancêtres et il abattit un nombre considérable d'Orque, de Skaven et d'Homme bête. Un coup de massue Orque sur la tête l'avait rendu inerte et il fut entassé avec les morts. A son réveil il constata la défaite écrasante de l'armée de Cortignac. Près de sa maison (en ruine) la dépouille de sa femme et de son jeune fils le glaive encore à la main gisaient sur le sol vidés de leur sang, quant à son fils aîné il le retrouva dans une rue menant au centre de la ville, les traces de sang verdâtre sur son corps et sur sa hache firent plaisir au Nain : ses deux fils étaient mort en héros, mais ils étaient morts et pour lui, de sa faute. Il alla à la rencontre de villages nains, il en trouva un en une semaine où il rencontra des tueurs qui le firent entrer dans l'ordre des Tueurs sous le nom de Rungi couleur d'acier (Rungi était son nom et avant il pratiquait le métier de forgeron) et il se mit en quête de monstruosités à découper, dans une forêt au sud Est de Nuln il tomba sur ces sortes d’hommes bêtes.

 

Les runes du marteau de Rungi se mirent à luire, sans prendre la peine de réfléchir il sauta d’un arbre et atterrit devant les quatre démons, surpris ils reculèrent.

- Alors bande de monstres comment sa va ? Ricana le Nain.

- Maître Rungi ? Vous n’êtes pas mort ? S’étonna le deuxième démon en partant de la droite de Rungi.

- Quoi vous parlez ? Et en plus vous connaissez mon Nom, qui êtes vous ?

Le démon reprit la parole.

- C’est moi Torhil.

- Torhil ?

- Oui et là c’est Irec et Kukul et lui Slash mais tu ne le connaît pas.

- C’est pas possible, qu’es ce qui vous êtes arrivés ?

Irec raconta toute l’histoire des enfants du mal, Slash s’était mit à l’écart ne supportant pas trop d’être avec des personnes dont les plaisirs n’aboutissaient pas à la mort.

 

- Alors maintenant il vous faut retrouver l’autel blanc.

- C’est exact, mais nous en avons jamais entendu parler. Expliqua Kukul.

- Je connais la légende, elle dit que les personnes de bien ayant subit les malheurs du chaos doivent s’y rendent et là les dieux leurs diront quoi faire mais seul ceux qui auront reçu les clefs pourront le trouver. Le Nain s’arrêta.

- C’est quoi ces clefs ? Demanda Irec.

- On parle d’armes enchantées que les dieux offrent aux élus.

- Nos armes elles sont magiques ! C’est peut-être ça ? S’exclama Kukul tout content de sa découverte.

- C’est possible, la mienne aussi je les découverte par hasard. Slash venait de prendre par à la conversation.

- Le hic s’est qu’on les a plus. Torhil venait de faire remarquer que l’armée du chaos devait encore en être en possession.

- Retournons les chercher après tout on nous prendra pour des Hommes bêtes. Conclu Irec.

- Allons y et je vous aiderais à découper des monstres.

La participation de Rungi n’enchantait pas trop Slash mais il dû se résigner.

Le groupe retourna sur ses pas vers le temple de Troclon. Mais Torhil fut songeur pendant deux jours jusqu’à la question de Rungi.

-Qu’es ce que t’as Torhil ?

-Elle est où cette putain de clairière au fait ?

-Seul les clefs le savent.

La troisième semaine le groupe rencontra un groupe de Gobelins qui jouait à se taper dessus (le jeu préféré des gobelins après celui de se bouffer). Le Nain dont le manque de bière commençait à le faire stresser courut vers les vingt gobelins, il fit deux cercles avec son marteau qui envoya en enfer six peaux vertes, les quatre « démons » le rejoignirent et en égorgèrent avec leurs puissantes griffes deux chacun.

-Plus que six, un chacun pour vous et deux pour moi. Ordonna le Tueur. Quatre Gobelins moururent égorgés et deux autres le crâne fracassé par le marteau de Rungi.

Kukul s’était assis sur une pierre à l’écart du groupe.

-T’es blessé ? S’inquiéta Torhil.

-Non, j’ai FAIM !

Slash jeta une dépouille de gobelin devant ses compagnons.

-Si tu veux on peut faire des cuisses de gobelins farcis.

-Ouais ! Et avec des champignons des bois comme dans les pizzas.

Le groupe se remplit donc l’estomac de cuisses de gobelins et de champignons mis à part Rungi qui se contenta des champignons (vous devinez sûrement pourquoi).

 

Ils firent la sieste et se remirent en marche vers le temple. En une semaine ils abattirent près de deux cents peaux vertes. L’exactement, trente quatrième jours, le temple de leurs malheurs se dressait devant eux.

-A l’attaque ! S’écria Kukul qui fut bloqué par Irec.

-T’es malade ? Il faut y aller comme si on était des leurs.

 

Le petit groupe entra donc dans le temple et se dirigea vers les prisons utilisant Rungi comme prisonnier. Lorsqu’ils arrivèrent là où leurs armes étaient c’est à dire à coté de leur ancien cachot trois orques leur demandèrent ce qu’ils faisaient. A la vue de peaux vertes le Tueur eu une montée de violence et leur explosa le crâne faisant grandir une flaque de sang vert tout visqueux où flottaient de petits machins verts qui n’étaient autre que des cerveaux Orques (vraiment très petit).

Irec, Torhil et Kukul reprirent leurs armes et Slash prit la parole.

-La mienne n’est pas là.

-Elle est où ? Demanda le Nain qui vérifiait qu’aucun ennemi arrive.

-Aucune idée.

Derrière eux une voix se fit entendre :

-Faites mois sortir et je vous aiderais. Un vieux magicien était emprisonné, ils le libérèrent, il pris son sceptre et prononça quelques mots. L’épée de Slash apparut. Le Nain lui demanda qui il était mais le magicien disparut. Slash ne connaissant pas ce prisonnier comprit que le grand pope avait été remplacé.

 

 

 

CHAPITRE 8

 

 

Les trois démons et le Nain tueur se dirigeaient vers la sortie lorsqu’un bruit de cloche résonna dans tout le temple. Slash s’arrêta et écouta :

-C’est l’alarme, on est repérés.

Déjà un groupe de peaux vertes était sur la trace des intrus et un de Skaven s’apprêtait à les attaquer, malheureusement pour nos héros les Skavens était au petit nombre de trente (petit pour des Skavens).

Slash ayant repéré que les Skavens bouchaient l’entrée n’hésita pas et se lança sur les hommes rats suivi par ses frères et le tueur.

Les Orques arrivèrent devant les Skavens, ils regardèrent partout mais aucun signe des intrus.

-Cé putun de Skavens son encor’ en trun de dormir, lé intru échappé muntenan.

-Nan chef, il y a du sang, é lé tèt dé Skavens son coupé.

-Ah je sui rassuré, il sont bagarré é il en son mor’.

-Bande d’imbéciles il faut les rattraper, je les veux vivants allez chercher Momok et Jabem. Ordonna Choco qui s’était déclaré maître des lieux après la mort du grand pope.

Le Skaven retrouva l’Orque devant les portes de la salle du trône, les grosses portes s’ouvrirent en crissant. Les deux généraux entrèrent et s’agenouillèrent devant Choco qui se leva et commença à parler.

-Momok je veux que tu ailles à la clairière de l’autel blanc, Troclon à trouver son emplacement où tu attendra que les fils de Damnik se montrent, bien sur tu y vas avec tes hommes.

-Oui maître. L’Orque sortit, regroupa ses orques et alla à sa mission.

-Jabem avec tes hommes rats tu les suis et tu envois des commandos tous les jours, allé.

-A vos ordres. Le Skaven fit comme l’orque.

 

Le groupe des quatre démons et du Nain finit par s’arrêter après deux jours de course.

-Je crois qu’on les a semés. Conclut le Nain au moment où deux dizaines de Skavens les attaquèrent.

-Tu disais ? Ironiqua Slash avant de se lancer dans la bataille. Le Tueur s’amusait à sauter son marteau en l’air et l’abattre sur les têtes des Skavens avant que ses pieds ne touchent le sol. Torhil s’amusait à faire courir les Skavens derrière lui et il se retournait brusquement pour les enfiler sur son épée. Irec et Slash coupaient des têtes et Kukul des jambes. Des jambes ? me direz vous, c’est exact il venait de comprendre que s’était plus facile que de couper les têtes et puis un rat sans jambes mis à part mourir après s’être vidé de sang ne peut pas faire grand chose. Une fois le gruyère sauvé (façon de parler) il se remirent en route. Kukul se mit à rire brusquement.

-Qu’es ce qui te fait marrer ? Lui demanda Torhil.

-J’ai une blague Ah !Ah !Ah ! Trop drôle ! Qu’es ce qu’un rat qui s’est fait coupé la queue ?

-… Apparemment personne ne savait.

-Ah !Ah !Ah ! Un raccourcis !

-Ah ! Ah ! Ah ! Tout le monde se mis à rire sauf les Skavens qui les surveillaient mais chute nos héros ne sont pas au courant.

L’épée de Torhil se mit à briller puis celle d’Irec, de Slash et la corde de l’arc à Kukul se mit à vibrer.

-Qu’es ce qui se passe ? Demanda Irec.

Le Nain émerveillé leur dit.

-Elles vous indiquent le chemin.

Jabem cru que ses ennemis utilisaient de la magie divine et pour arrêter cela il décida d’envoyer ses soixante guerriers restant. Nos héros surpris prirent une formation de combat qui renvoya la surprise du côté des hommes rats et une dizaine prirent la fuite s’était la « on fonce dans le tas ». A un contre dix les chercheurs de l’autel blanc était vraiment mal barrés mais se sont les héros : le Nain recommença son manège et grâce à ses cercles n’eut aucun mal à se débarrasser des dix Skavens qui l’entouraient, Kukul leur coupait les jambes et la queue, Torhil un peut fatigué monta sur un rocher où les Skavens ne pouvaient pas l’atteindre et s’en débarrassa en utilisant son sort sommeil et alla les percer, Irec s’amusait à essayer de nouvelles parades qui fonctionnaient toutes sur ces squatters d’égouts et Slash prenait son pied à les égorger les un après les autres. En quinze minutes à peine se fut terminé, il ne restait que Jabem qui se présenta :

-Je suis Jabem prophète Skaven et je te défie toi le Nain en combat singulier, en duel.

-Pas de blèmes, vas y avance.

Le Skaven avec une rapidité très rapide (façon de parler, je sais, encore) sauta sur le nain qui esquiva le glaive empoisonné de son adversaire, il en profita pour frapper à son tour mais le Skaven réussi à parer le marteau et pendant au moins cinq minutes les deux duellistes s’opposèrent mais la fatigue commençait à les gagner et dans un dernier sur sot d’orgueil le Nain brandit puis abattit son arme mais le Rat se décala laissant tomber le Nain sur le sol caillouteux. D’un coup de rein le Nain se remit sur pied et lança son marteau sur le Skaven. Le marteau tournoyait à une vitesse extrême, l’arme était à deux mètres, un mètre cinquante puis à un mètre du Skaven lorsque celui si se baissa.

-Ah !Ah !Ah ! C’est fini tu n’as plus d’armes. Je…Harg.

De la bouche de Jabem jaillit du sang, il semblait ne pas comprendre.

-C’est l’effet boomerang !Ricana le Tueur.

Jabem s’écroula à plat ventre et le Nain alla récupérer son marteau qui s’était enfoncé dans le dos du Skaven.

Troclon venait à nouveau de perdre un général. Slash expliqua aux autres qui était Jabem et ils entreprirent de lui offrir une sépulture en ce lieu où un des plus grand général Skaven avait rendu l’âme. Les grands guerriers sont ceux qui savent reconnaître les mérites de leurs adversaires, quelqu’ils soient.

 

Pendant ce temps Momok avait trouvé l’autel et avec trente Orques et soixante gobelins s’y était installé.

-Qé con fé chef ?

-De quoi ?

-On avoir faim é avoir tout mangé.

Momok réfléchit et appela la bande de Gouic (un gobelin).

-Hein ?

-On va lé manger après tous dix vermines de moins cé pas grave.

Les dix petits gobelins se firent ainsi mangé par leur frères et cousins.

Momok se parlait à lui-même.

-J’espère que cé connards vont pas tarder à arriver, sinon on pourra plus lé bat’re.

Un de ses guerriers arriva et lui demanda.

-Qué con fé quand démon arriver ?

-On se cache dans la forêt et on saute sur eux.

Derrière lui ses troupes s’agitaient, de l’autel émanait de petites poussières brillantes, Momok s’approcha de l’édifice.

-Ils s’approchent, demun pt’être.

Trois heures plus tard le soleil se couchaient et des tours de gardes se mirent en place bien que les Gobelins désignés pour cette tâche s’endormirent pas longtemps après leurs camarades. Le groupe des fils de Damnik fit de même à six heures de marche de la clairière, ils s’approchaient.

 

 

 

 

CHAPITRE 9

 

 

Rungi chantait des chants nains traduit en langage commun qu’il avait apprit lorsqu’il vivait avec sa famille dans un village près de Karaz a Karak la capitale du royaume naugrim. Les quatre autres se bouchaient les oreilles tant la justesse, la délicatesse et la politesse étaient absentes. Les chants Nains ont souvent rapport à l’alcool et à des victoires gagnées par d’ancien héros dont le nom varie dans chaque village ou citée. Il semblerait que d’une région à une autre les noms est été remplacés par des héros de leur village mais aucune des régions ne veut l’admettre, c’est normal après tout, les Nains sont un peuple fier, orgueilleux et très rancunier. Aucun des démons ne voulait dire au Tueur de se taire d’une part pour ne pas le vexé et d’autre part le respect qui s’en dégageait (du Nain) les en empêchait. Après les phrases « Oh ma bonne bière, tu nous fait se taper dessus et ça nous amuse » le Nain s’arrêta et montra du doigt un bosquet qui remuait de façon anormal, il se mit à parler à voix basse.

- Là dans les buissons, il y a quelqu’un.

- Bas non ça ne bouge pas. Répliqua Slash, les buissons ne bougeaient plus.

- Ca recommence. S’énerva le Nain qui se jeta dans les végétaux, un couinement se fit entendre et Rungi ressortit une tête de gobelin dans la main.

 

Les armes des démons se mirent à luire et à résonnées.

-On doit plus être loin de la clairière et apparemment les orques y sont déjà. Conclut Torhil.

-Bon ben, on fonce dans le tas et on les massacres. Ricana Irec, Kukul le pris aux mots et se mit à courir vers où son arc le conduisit et déboucha dans une clairière où un autel blanc envoyait dans l’air de petites paillettes et de la poussière dorée et argentée. Kukul s’approchait de l’autel lorsqu’un groupe de peaux vertes le cerna. Une trentaine d’orques et une quarantaine de gobelins lui montraient leurs dents et leur primitives et puissantes armes.

-Ca sent le roussi, je croix que je suis mal barré ?

Au moment où Kukul finissait sa phrase un Orque s’écroula une flèche en plaine tête. Un Nain en transe hurlait des insultes destinées aux peaux vertes suivit par les trois autre démons. La bataille fit rage deux minutes après huit orques et douze gobelins couraient en direction de la forêt. Sur le sol une cinquantaine de peaux vertes gisaient, la clairière était maintenant recouverte de Goblinoïdes en pièces détachées le tout dans un bain vert et gluant.

 

Un voile de Lumière envahit la clairière et une forme brumeuse apparut. Elle parlait de façon lointaine comme la voix qu’ils avaient entendu dans leur sommeil alors qu’ils venaient de quitter le temple de Troclon dans un corps qui n’était pas le leur.

-Je suis la déesse mère, commune à pratiquement toutes les religions de ce monde. Je vous ai fait venir ici car s’est la seul façon que j’ai trouvé pour vous parler sans épuiser mon énergie car elle me quitte, le fait d’intervenir dans vos rêves ma beaucoup fatigué mais cet endroit est fait pour le dialogue avec nous les Dieux et vous peuples qui vivent sur la Terre. La seule manière pour retrouver votre enveloppe charnelle d’avant ne vas pas vous plaire.

-Elle consiste en quoi ? Demanda Irec.

-Il vous faudra désorganiser l’armée de Troclon afin de détruire sa statue et plus précisément ses yeux qui sont faits dans un cristal spéciale, ensuite étant coupé avec la Terre tout les enchantements produits par ses disciples seront dissipés. Vous savez ce qui vous reste à faire.

La silhouette disparu petit à petit ainsi que la lumière qui enveloppait la clairière. Nos héros étaient déçus, ils avaient tant de questions à poser à un Dieu.

Les quatre maudits ne sachant plus quoi faire étaient pensifs devant cet autel d’une pure blancheur. Rungi s’était installé un peu en retrait et il commençait à avoir faim et son manque de bière lui rongeait l’esprit, il partit donc chasser pour sa faim et pour occuper son esprit afin de ne plus penser aux bonnes bières Naines. Il n’était partit que depuis quelque minutes lorsqu’il attrapa un gros lièvre fort appétissant. Il continua sa chasse tout en chantant et en sifflotant de bonnes vieilles chansons naines.

-Spouf !

Rungi s’arrêta net et regarda au sol, au centre du segment formé par ses deux pieds une flèche.

-Oups ! Sa sent l’Elfe à plein nez. Dit avec un manque d’enthousiasme le pauvre tueur.

-Et sa sent la crasse. Rétorqua une voix à l’intonation mélodieuse et sensuelle.

Autour du Nain une dizaine d’Elfe pointaient leur arc, ils étaient habillé de vert avec un grand capuchon mais un Nain reconnaît un Elfe sans le voire, sans l’entendre et sans le toucher sa se passe dans leur subconscient et il en va de même pour les Elfes. Un Elfe qui semblait être leur chef s’approcha du nain, le regarda attentivement tout en tournant autour puis rejoignit ses compagnons.

-Ligotez le et faites attention il fait partit de l’ordre des tueur, il n’a donc pas peur de mourir.

Cinq des Elfes s’approchaient de lui lorsque Rungi les chargea, il donnait des coups dans tous les sens mais les jambes elfiques sont solides lorsqu’elles sont protégées par des jambières et il se fit plus mal qu’autre chose.

-Désolé ! Cria le nain avant de commencer à viser les parties sensibles, plus que deux Elfes lui faisaient face, il se stoppa pour dégainer sa hache mais les Elfes, rapides, ne lui laissèrent pas le temps et il reçut un vilain coup en pleine tête. Il tituba essayant de reprendre ses esprits, rien à faire, il sentait ses adversaires le prendre et le ligoter, autour de lui tout était noir, il ne voyait plus ses adversaires puis un tonneau de bière s’approcha de lui, plus de bruits, plus de mouvements, seulement se tonneau qui s’arrêta à petite distance, il ne sentait plus son corps, il ne pouvait plus bouger puis l’état second dans lequel il pénétrait lui fit perdre totalement connaissance.

 

Nos quatre démons toujours pensifs étaient toujours à contempler l’autel. Slash détourna son regard et se leva voyant que ses compagnons toujours absorbés ne semblaient pas revenir dans leur monde, il les appela, mais pas de réponses, il commença donc à leur donner des coups de pieds.

-Qu’es ce qui se  passe ? demanda Irec ne supportant pas de se faire agresser.

-Où est passée la petite boule de barbe ? Les interrogea Slash.

Mais personnes ne savaient et ils se mirent à sa recherche kukul étant un peu fatigué, en vain à la conclusion suivante.

-Il a dû partir chasser car les Nains ont un bon appétit.

Irec et Torhil étaient d’accord avec cette hypothèse et ils prirent la décision qu’il valait mieux se reposer car pendant qu’ils contemplaient l’autel le temps s’était écoulé et le soleil commençait à se coucher. Ils s’étendirent contre les arbres et petit à petit le sommeil conquit leurs petites résistances sans difficultés, seul Slash ne s’endormis pas tout de suite il pensait aux grandes salles noires et froides dans lesquelles ils se plaisaient à se reposer et à « s’amuser avec de jolies filles » ainsi qu’à perfectionner sa maîtrise de l’épée face à de vulgaire humains prisonnier qui finissaient dans les fosses communes du temple de Troclon. Une question lui vint à l’esprit : Où était il avant d’être chez le grand pope ? Que faisait il avant ? Aucune image de Naggaroth ne lui apparaissait, il n’avait aucun souvenir. Mais le sommeil s’était enfin emparé de son corps et de son âme enfin celui qu’il avait actuellement.

 

 

 

CHAPITRE 10

 

 

A l’Est le soleil venait d’apparaître, les oiseaux réveillés depuis les premières lueurs de l’aube s’étaient mis à chanter, les insectes sortaient de leurs cachettes pour se nourrir, les animaux sylvestres mangeaient l’herbe fraîche, humide et grasse dû à la rosée et les corps des peaux vertes morts le jour d’avant avaient commencés le cycle de la décomposition pour disparaître à jamais. Ce mélange de bruit et…d’odeur réveilla les quatre démons.

-Ouha sa put ! Remarqua Kukul.

-C’est normal on est entourés de cadavres. Lui rappela Irec.

-Rungi n’est pas revenu. Constata Torhil.

-Il est peut être partis, il a comprit que nos affaires ne le concernait pas et il s’en est allé chasser de l’Orque ailleurs, de toute façon on a pas besoin de ce minuscule tonneau ambulant. Slash en disant ces mots semblait être content de la disparition du Nain.

-Je te signale que à cause de toi et de Troclon il a perdu ses deux fils et sa femme et je ne te parle même pas de son honneur vu qu’il est devenu Tueur. Lui balança Torhil qui lui avait l’air de bien apprécier le père de ses deux amis d’enfance de plus Irec et Kukul étaient d’accord avec lui.

-Il a dû lui arriver malheurs ils faut que nous l’aidions. Irec avait parlé.

-Se ne sont pas nos affaires, il faut que l’on redevienne normal avant tout, c’est notre but n’es ce pas ? Continua Slash.

-Il nous a aidé depuis qu’on la trouvé dans les bois, on lui doit de lui venir en aide. Si tu n’est pas d’accord va affronter les armée de Troclon pendant que NOUS on va CHERCHER NOTRE AMI. Irec commençait à s’énerver mais très légèrement contrairement à ce que l’on pourrait penser.

-D’accord, je vous suis mais c’est juste parce que seul je ne pourrais pas récupérer mon âme, ok ?

-Oui on sait. Répondirent les trois autres lassés du manque de sociabilité de Slash.

Ils se dispersèrent pour trouver des traces de Rungi. Ils cherchèrent pendant une bonne demi heure mais aucune trace, Slash et Irec rejoignirent Kukul qui s’était adossé à un arbre.

-Qu’es ce que tu as ? Lui demanda Irec.

-J’en est marre en plus toute ces batailles ça me fatigue.

-VEneZ ! J’AI quelque CHOSE. Ils se dirigèrent vers Torhil qui était à une centaine de mètres plus dans la forêt.

Torhil montra un petit trou dans l’herbe.

-Une impact de flèche et là des traces de luttes, il n’y a pas grand-chose, le reste à dû être effacé.

-Des chasseurs, des hommes des bois ou des…Elfes pourrais penser à masquer leurs traces. Pensa Slash.

-Par où sont ils partis ? Demanda Kukul.

-Le reste est effacé, on ne peut pas savoir. Expliqua Irec.

-Faux. C’était Torhil qui disait cela, il s’était un peu écarté. Il y a du sang vers cet arbre, ils ont dû y monter et continuer de branche en branche, c’est clair maintenant, se sont des Elfes, il est donc vivant car même si les Nains et les Elfes ne s’aiment pas trop ils ne tuent pas comme ça.

A ces mots Irec regarda Slash.

-Si ton peuple n’existait pas la guerre de la barbe n’aurait pas eu lieu et Rungi n’aurait pas été enlevé.

Slash se demandant comment ce demi Elfe connaissait l’histoire détourna la tête.

-La question est comment monter dans les arbres et savoir où ils sont allés ?

-Kukul a raison vu notre corps on en sera incapables.

-Pas moi. Répondit Slash. Je peux voler. Deux ailes se dégagèrent de son dos.

-Toi aussi tu en as. Dit Torhil à Irec en passant derrière.

-Kukul et moi n’en avons pas par contre.

-On va vous porter. Déclara Irec.

Et c’est ainsi que Slash s’envola portant Kukul et Irec portait Torhil.

 

 

Les quatre démons volèrent une vingtaine de minutes en suivant les gouttes de sang laissées sur des branches et des feuilles. Ils arrivèrent à une très grande clairière artificielle, des tentes et des cabanes en bois avaient été installés et une multitude de personnes allait d’une tente à une autre, d’un point à un autre, et d’autre semblait être des sentinelles cachées dans les arbres. Nos quatre héros ne virent les gardes qu’au dernier moment mais c’était trop tard des filets avaient été envoyé sur eux à l’aide de flèches. Les battements d’ailes de Slash et Irec ne pouvant plus se faire les quatre se dirigèrent droit sur le sol sans pouvoir contrôler l’atterrissage. A peine arrivé au sol que déjà une trentaine de Nains et d’Elfes se jetèrent sur eux leur assénant des coups de pieds. Les coups plus la chute avaient envoyé dans l’inconscience Irec, Slash, Kukul et Torhil.

-Réveillez vous bande d’abrutis, bordel de merde s’est pas l’heure de la sieste.

Ils ouvrirent un oeil après l’autre et découvrirent autour d’eux des murs de bois et un Nain à la barbe et la chevelure orange.

-Rungi s’est toi ? S’écria Torhil.

-Et ouai s’est moi, alors bien dormis.

-Très drôle. Lui répondirent les démons qui se souvenaient à peu près de ce qui s’était passé.

-Qui sont ces personnes et pourquoi ils ton capturé ? Demanda Irec.

-Ces pas compliqué ce campement est composé d’Elfes noir et de Nains du chaos et ils portent les couleurs de Troclon, l’anneau enflammé, le pourquoi se passe de commentaires.

-Qu’es ce qu’il vont nous faire ? Demanda en avalant sa salive, Torhil, qui n’était pas trop à l’aise.

-Je n’en sais rien du tout. Lui répondit Rungi.

Pendant six jours ils restèrent enfermés dans leur prison Torhil n’arrivant plus à utilisé flammerole. Une fois par jour un Nain leur apportait de quoi manger. A l’aube du septième jour des cris se firent entendre ainsi que des bruits métalliques.

-Il y a une bataille dehors. Conclut Slash qui se moquait du résultat car les Elfes noir ne l’avait pas cru lorsqu’il avait expliqué qui il était et comment il était devenu ainsi, tous ce qu’il en récolta ces des coups, et de la nourriture en pleine face.

La bataille semblait être terrible tant le cris et les entrechoquements étaient bruyant. Trois heures plus tard le calme fut revenu et six humains entrèrent dans la prison de bois.

-Qui êtes vous ? Demanda un des Hommes.

-Je suis Rungi, fils de Brungi et eux Irec, Kukul et Torhil se sont d’ancien demi Elfe.

-Et lui ? Redemanda l’Homme.

-Je suis Slash Blood ancien Elfe noir, ancien général de l’armée de Troclon et à ce qu’il parait fils de Damnik.

Après cette présentation les Humains se reculèrent un peu effrayés.

-Ne vous inquiétez pas il ne vous fera rien, il ne peut pas se le permettre. Dit Torhil en regardant fâcheusement Slash.

Les Hommes partirent et deux Elfes, un Nain, deux Humains et un Halfling entrèrent.

-Des Elfes, Nains, Humains et Halflings ensemble ?

Nos héros réussirent à gagner la confiance de cette coalition qui les emmena sous une tente qui semblait être celle de commandement.

 

 

CHAPITRE  11

 

 

Sous la tente sa parlait tranquillement, les généraux de la coalition racontèrent leur histoire. Le représentant de l’Empire fût chargé de parler pour éviter tout brouhaha qui pourrait gêner la compréhension de Rungi et des quatre démons qui eux étaient bien surveillés.

-Notre empereur fût prévenu de la destruction de Cortignac et de la menace de Troclon, lorsqu’il se rendit compte de la gravité de la situation il en informa le Haut roi des Nains qui lui, avait repéré une certaine agitation des peaux verte et des Skavens. Par la suite il informa les Bretonniens puis les Elfes Sylvains. Les Elfes sylvains demandèrent une aide au roi phénix qui envoya sur le vieux monde une petite armée. Par la suite nous nous sommes tous regroupés essayant d’oublier nos anciennes querelles et de se souder.

C’est ainsi que 420 Haut Elfes, 390 Elfes sylvains, 400 Nains, 680 soldats de l’Empire, 110 Halflings (comme quoi lorsque leurs terres et leur petite vie est menacée ils sont capable de faire preuve de courage) et 480 Bretonniens se retrouvèrent pour faire face à ce nouveau dieu ayant soif de pouvoir. Irec raconta leur histoire, les généraux étaient captivés mais avaient un peu de mal à croire ce qui leur était raconté. Arrivé au bout de son récit Irec regarda ses compagnons. Torhil s’avança.

-Acceptez vous de nous aider ?

-Et vous vous acceptez ? Demanda Elimel. Elimel dirigeait les Hauts Elfes, c’était une Elfe, les cheveux blonds descendant jusqu’aux reins, les yeux bleu turquoise, une silhouette fine, svelte, agile et robuste. Tous les généraux sauf le Nain et l’Halfling semblaient attirés par elle. Es ce pour la description que j’en ai faite ou pour sa poitrine qui était aussi majestueuse que l’émeraude qu’elle portait autour du cou ? Seul eux le savent, moi aussi d’ailleurs mais sa ne vous regarde pas.

Torhil était resté bouche bé devant cette Elfe et la question qui lui avait été posé le surpris encore plus.

-Hein ? Se fût la seule chose qu’il pu dire.

-Nous on est là pour anéantir l’armée de Troclon ce qui revient à vous aidez mais vous aussi donc on vous aide par la même occasion. Dit avec noblesse Elimel.

-Je n’ai pas compris mais allons dégommer ces demis portions. S’affola Rungi.

-Nous non plus on n’a pas compris. Le rassurèrent les quatre démons.

-Je suis d’accord avec vous maître Rungi. Le chef des Nains s’était enfin montré. Je m’appelle Darmor fils de Déamor.

-On se calme. Le chef des forces de l’Empire prenant tout cela à cœur voulait que tout soit préparé sérieusement et il réussi à avoir le calme.

La connaissance du terrain de leurs nouveaux alliés allait servir bien qu’il se doute d’une différence numérique lors de l’assaut final. Mais pour le moment il fallait que tous les soldats y compris eux prennent un peu de repos.

 

Le lendemain en fin de matinée toute la troupe prenait la direction du temple de Troclon mais une certaine distance les en séparait. Il mirent donc 8 jours pour s’y rendre. Arrivé au temple mis à part deux centaines de Gobelins aucune trace de vie ne fût repérée. Les Gobelins furent facilement et tranquillement massacrés.

Irec, Slash, Torhil et Kukul se dirigèrent vers la salle où se trouvait la statue. A eux quatre, ils réussirent à faire tomber la statue et Rungi eu le privilège de casser les yeux. Lorsqu’il se retourna il eu face à lui trois Elfes et un Homme à la peau noire.

-Je comprend vraiment pas. S’étonna Rungi.

-C’est bon je suis redevenu un Elfe noir.

Après avoir dit cela Slash s’en alla en courant et sortit de la salle du trône.

-Trop bien je suis devenu un Elfe. S’écria Torhil

-Moi aussi. Et Kukul se mit à danser.

-Moi, j’ai pris du côté de ma mère on dirait. Irec était enchanté d’être devenu un Homme à part entière.

Torhil, Kukul, Irec et Rungi sortirent du temple et rejoignirent les généraux de la coalition.

Rungi des qu’il rejoignit les généraux balança cette phrase.

-Maintenant on trouve l’armée de Troclon et on leur dégomme la chose sur laquelle ils s’assoyent.

-Un Nain qui reste un maximum polie ça ne cour pas les rues.

-Et l’Elfe sylvain il y a des choses qui ne se disent pas et moi Darmor je te prévient que la prochaine fois je te ferai manger tes oreilles, OK ?

Heureusement Kukul, Irec et Torhil arrivèrent à ce moment là.

Elimel prie la parole.

-Je croyais que vous étiez des demis Elfes.

-Nous l’étions. Répondit Irec qui ne résistait pas aux femmes ( tant qu’elles appartiennent aux races Elfe et Humaine) ayant de si beaux atouts.

-Torhil et moi avons toujours voulut être des Elfes et Irec voulait être un Homme. Je crois que s’est notre récompense.

Un éclaireur Elfe sylvain les rejoignit.

-On les a trouvés ils doivent être à douze heures de marche mais ils semblent nous attendre car ils sont plantés sur leurs positions.

-Allons y. Proposa le représentant impérial. Tous furent d’accord même si ils s’avaient qu’il se pourrait qu’ils n’en revienne jamais. Tout l’armée parti vers celle adverse, les Nains chantaient leurs affreuses chansons et commençaient à se raide la gueule.

 

A l’aube du lendemain les deux armées se faisaient face. Pas un bruit n’était perceptible même par les oreilles des Elfes. Le vent soufflait de plus en plus violemment, la pluie fit son apparition et enfin un bruit se fit entendre, il était si fort que les oreilles elfiques furent choquées et tous les oiseaux encore présent à deux kilomètre à la ronde s’envolèrent d’un seul être. Ce bruit fit à peu près :

-BEURP !

En fait s’était une gorgée de bière qui passa mal dans le gosier de Rungi. Les autres Nains se mirent à rirent, les Elfes et les Humains le huèrent. Torhil ressemblait à un héro Haut Elfe, il portait un heaume rouge, une armure bleu en mithril, un écu et chevauchait un cheval blanc à la crinière blonde et dans sa main droite son épée. Kukul lui avait une armure simple cachée par un long mentaux vert qui se terminait par un capuchon qui recouvrait sa tête, son arc était bien sur dans sa main gauche et son destrier était de couleur brunâtre. Irec ressemblait à un parfait chevalier comme notre monde a connu au moyen âge et forcément son épée dans la main droite.

Derrière l’armée de la coalition un cavalier approchait, le cheval était noir comme l’armure du cavalier, il brandissait une longue et large épée. Il s’arrêta devant Torhil , Kukul et Irec.

-Vous croyiez être débarrassez de moi n’es ce pas ? Ce n’est pas parce que je suis un Elfe noir que je n’est pas le sens de l’honneur. Le cavalier noir souleva la visière de son casque.

Les trois natifs de Cortignac le reconnurent facilement l’ayant déjà vu dans son enveloppe corporel d’Elfe noir.

-Slash ! Dirent ils tous en même temps.

 

 

 

CHAPITRE 12

 

 

Les deux armées étaient toujours face à face, elles s’épiaient afin de pouvoir prendre le dessus. L’armée de Troclon avait beau être presque quatre fois plus nombreuses, la peur et le doute ne trouvaient pas leur place parmi les soldats de la coalition.

Elimel s’adressa aux généraux et à nos héros.

-Ils ont l’avantage numérique et le terrain est égal de chaque côtés : des collines pour les archers des deux camps et une plaine pour le combat mais nous avons un avantage.

-Lequel ? Demanda Kukul.

-Ils n’ont emmené que cinq balistes bien qu’elles soient à répétition.

-Et ? Redemanda Kukul.

-Nous les Hauts Elfes en avons apporté deux, les Nains ont emmené trois canons, l’Empire un canon et un mortier. Ce qui fait un total de sept machine de guerre.

-Dix ! S’interposa le chef des chevaliers bretonnien. Nous avons deux catapultes et un canon.

-Et nous, nous avons deux frondes géantes qui viennent d’être achevés de monter.

-D’accord douze machines de guerre. Termina Elimel.

Les cents archers Haut Elfes se mirent en place sur les collines accompagnés de deux cents archers Elfe Sylvain et de cent Bretonniens. Plus près du future champs de bataille, deux cents arquebusiers s’étaient installés, il y avait la moitié qui était naine et l’autre de soldats de l’Empire et avec eux cinquante frondeurs Halflings. L’infanterie et la cavalerie étaient prêtes à se lancer.

 

De l’autre côtés du champs de bataille on ne pouvait pas dénombré les milliers de guerriers. Il y avait des Orques et des Gobelins, des Hommes bêtes, des Elfes Noir, des Nains du chaos et quelque centaines de Skavens (un grand nombre ayant fuit après la mort de leur chef). Deux chefs s’étaient partagés l’armée Choco le démon et Momok le grand Orque. Les montures que se soient les sangs froid, les loups, les chevaux etc… commençaient à être nerveuses et leurs cavaliers avaient du mal à les empêcher de charger.

Les archers orque, Elfe noir et Nain chaotique tendirent leurs cordes au maximum et en même temps l’infanterie et la cavalerie de Troclon se mirent en marche.

 

Les machines de guerre de la coalition se mirent en action et abattirent un grand nombre d’archers ennemis. Ceux ci visèrent l’infanterie de la coalition et seul les Elfes noir touchèrent leurs cibles, les projectiles orques atterrirent parmi les hommes bêtes. L’infanterie bénigne était composée au départ de cent cinquante lanciers Asur, quatre vingt dix Elfes sylvain, deux cent guerriers des clans Nains, trente longues barbes, soixante dix brises fer, trois cents lanciers de l’Empire et quatre vingt épéistes, soixante guerriers Halflings et cent vingt Bretonniens. Les armes de jets de la coalition firent un désastre chez l’ennemi, imaginez que seulement cinquante projectiles loupent leur cible et voila six centaines de fantassins ennemis en moins. La cavalerie de Troclon se rapprochait très vite des premiers rangs mais une nouvelle salve de machines à répétitions suivit par les catapultes et le mortier réduit leur nombre de façon non négligeable ensuite quatre canons firent rebelote mais un des canons Nains implosa tua sur le coups ses servants. Les balistes ennemis déchirèrent les premiers rangs de la coalition, qui en plus se firent tirés dessus par les Elfes Noirs et quelques instants plus tard chargés par la cavalerie de Troclon. La charge terminée les premiers rangs déjà bien amochés par les archers Elfe noir étaient percés mais petit à petit l’égalité apparue mais elle fut de courte durée car les peaux verte, les Nains chaotiques, les Hommes bêtes et les Skavens se jetèrent dans la mêlée.

Les balistes à répétition avaient été détruites par les frondes géantes des Halflings et, les archers Elfes noirs depuis que les archers orques avaient fuit se faisaient arrosés par les archers se trouvant de l’autre côté du champs de bataille et les pertes ne se comptaient plus.

-Les archers ennemis fuient. Cria un capitaine archer Elfe sylvain. Les Elfes noirs qui n’étaient pas sur la plaine fuirent sans même se retourner. Slash tranquillement assis sur son cheval fût honteux de voir se spectacle qui ne faisait pas honneur à sa race mais il avait choisi son camps.

-Les armes de jets et les machines de guerre ont fait du bon boulot, l’égalité numérique est presque obtenue et toutes leurs forces sont dans la bataille. Constata Darmor.

-Presque ! Coupa le représentant de l’Empire. Ils ont encore leur démon.

-Plus pour longtemps. Les rassura Elimel. J’ai deux mages avec moi. Mages ! Bannissez le démon.

Les deux mages Hauts Elfes se mirent au travail. Un sorcier sylvain et un maître des runes se joignirent à eux. Choco ne pouvait plus bouger mais il était puissant et ne se laisserai pas faire.

Un cor elfique se fit entendre et des flancs du champs de bataille des cavaliers se lancèrent vers les soldats de Troclon déjà engagés au corps à corps. La charge comprenait deux cents soixante dix Asurs, cent Elfes sylvain, deux cents chevaliers de l’Empire et deux cents cinquante de la Bretonnie. Ces huit cents vingt chevaliers étaient séparés en deux groupes, un de chaque côté. Cinq chars de Tyranoc s’apprêtaient  à arriver de face sur l’ennemi avec l’aide des archers, arquebusiers et frondeurs. Une voix s’adressa justement à eux.

-Tireurs prenez vos armes de corps à corps et chargez !

 

Rungi était au cœur de la bataille et s’amusait comme un chat avec une pelote de laine à trancher tous les ennemis à porté de sa hache. Même ses ancêtres (ils sont au ciel) ne pouvaient compter le nombres d’arcs de cercle que le tueur avait dessiné avec sa hache et je ne parle même pas du nombre d’ennemis qu’il envoya en enfers. Malheureusement l’ennemi reprenait à nouveau le dessus et autour de Rungi le nombre de personne pouvant encore se battre avec lui était très…comment dire ? Plus beaucoup. A ce moment là ils entendit des voix qui lui étaient familières.

-Alors Rungi besoin d’aide ?

Torhil, Kukul, Slash et Irec massacraient de l’ennemi.

-Je voix que tu nous en as laissé. Rigola Torhil.

Comme aux abords de la clairière de l’autel blanc leurs armes luirent et résonnèrent augmentant leur courage. Slash se retrouva nez à nez avec Momok.

-Casses toi, fuient où je serais obligé de te tuer. Ordonna Slash à son ancien ami.

La charge avait comprimé les soldats de Troclon qui encerclés furent tous massacrés sauf un Orque de grande taille qui s’était fait un chemin avec son ki’koup et courait dans la direction des montagnes du bout du monde. Un grand hurlement résonna sur une très grande distance, il parait même que à trois jours de marche il fût perçut par des villageois. En fait s’était Choco qui fût bannis.

Elimel se tourna vers là où étaient les magiciens, deux étaient debout, un des mages Haut Elfe et le maître des runes, les autres étaient morts l’esprit déchiré par la magie de Choco. Le mage Haut Elfe s’effondra à son tour et le maître des runes fût inconscient pendant plus d’une semaine et son esprit était un peu abîmé…en fait beaucoup puisqu’il devint complètement taré. Des huit cents vingt chevaliers il n’en resta que soixante, quatre des chars revinrent, des mille cents fantassins trois cents étaient toujours aptes à se battre et un tiers des archers/arquebusiers était debout. Environ mille six cents soldats moururent pour défendre la Terre des forces du mal.

La bataille avait duré une journée entière, les survivants complètement épuisés allèrent dormirent sur les collines sauf ceux qui allèrent chercher les blessés. Torhil et Kukul cherchaient de leur côté pendant que d’autre cherchaient à un autre côté.

-Regarde tous ses ennemis, là, ils ont les jambes coupées. Torhil montrait du doigt deux lignes parallèles où les morts n’avaient plus de jambes.

-Je te jure que s’est pas moi.

Une voix résonna dans leur tête.

-Revenez me voir Tous, à l’autel.

Kukul et Torhil retrouvèrent Irec, Rungi était avec lui et décida de les accompagnés.

-Il ne nous reste plus qu’à trouver Slash. Conclut Irec.

Mais il ne le trouvèrent pas, et s’est en demandant au représentant de l’Empire qu’ils comprirent.

-Vous n’auriez pas vu Slash.

-Tu parles, ce connard vient de partir bras dessus bras dessous avec Elimel.

Deux heures plus tard Elimel apparue mine de rien et cinq minutes plus tard Slash vint de la même direction.

-On t’as grillé. Dit Torhil d’un ton abattu. Pourquoi toi ?

-On n’as pas le temps de se poser des questions il faut retourner à l’autel blanc. Se leva Irec.

Cette fois ci il trouvèrent la clairière en quelques heures, elle avait changé d’endroit.

Une pluie de poussières enchantées et le voile de lumière firent leur apparition, puis la silhouette se dessina.

-Se que je vais maintenant vous apprendre vous l’oublierez, jusqu’à ce que vous vous retrouviez. Ne me coupez pas la parole car j’ai peu de temps. Tous vos souvenirs sont faux, nous les dieux vous les avons fabriqués pour vous tester, votre véritable apparence est celle que vous avez aujourd’hui. Un grand destin vous attend, nous en avons maintenant la preuve. Retournez d’où vous venez, à travers le temps et l’espace soyer restitués à votre véritable vie. Les quatre guerriers disparurent et au moment de disparaître, pendant un très cour laps de temps, Momok apparu puis disparu et la clairière redevint normale.

-Seul…Je suis seul maintenant. Le regard de Rungi se porta sur les montagnes du bout du monde et il se mit en marche vers la terre de ses ancêtres.

 

 

Irec n’acquit quelque jours plus tard (je sais s’est bizarre mais souvenez vous à travers le temps et l’espace) dans l’Empire de père compte électeur et sa mère lui donna sa couleur de peaux, noir.

Kukul lui, se fût un an plus tard dans le clan des arbres du cœur qui avait trouvé sa place en Athel Loren.

Torhil et Slash n’acquirent deux ans plus tard mais pas sur le même continent, Slash allait vivre sur la terre meurtrie de Naggaroth et Torhil sur Ulthuan en Chrace.

 

Toi aussi lecteur, tu es peut être utilisé par quelqu’un, un pion sur un échiquier dont la vie ne compte pas plus que celle d’une pétale de fleur.

 

 

 

 

 

 

 

FIN

 

 

TORHIL                                                                                                                                  8/01/03

 

Dédicacé à mes amis : Slash, Kukul, Eric, Momoque, Benjamin, Choco, Dj et les autres.