Bienvenue aux nouveaux visiteurs qui arrivent nous voir.

 

 

 

Nous voici rendus à la page des Grands-Parents Bernard et Guité.

 

 

 

Je dois vous dire que l’oncle Antoine Bernard a recherché et écrit l’histoire de la famille Bernard  et de celle de  sa mère, les Audet il y a de cela bien des années.(en 1950)

Dans ces mêmes notes se trouve un compte rendu de ses activités durant une bonne partie
 de sa vie. (Une sorte d’agenda ou mini-biographie).

 Il la fit transcrire en deux copies. Il en donna une à son frère Clovis, avec la mention que
 cette copie devait revenir à sa nièce Germaine pour elle et ses enfants.

Celle-ci désire aujourd'hui partager cet ouvrage de l'oncle Antoine avec tous ses parents et amis.

 

 (Si vous vous servez de « "Notre Passé" et de" Recueil de Notes" ».  S.V.P. donner le crédit des écrits utilisés à l’auteur Antoine Bernard. Merci. C.M.)  

J’ai ré-écrit  cette histoire « Notre Passé » sur  Word.  (Le texte complet qui est assez long.)

 La voici en annexe.

Je l'ai aussi divisé en huit parties, par thèmes. Les liens pour accéder à ces parties de "Notre Passé" sont dans la partie inférieure de la présente page.

Un autre texte de l'oncle Antoine est "La paroisse de Maria 1860-1950 -- RECUEIL DE NOTES".

En 1950  il fit un relevé des archives de la paroisse de Maria, pour ensuite s'assoir avec son frère Clovis et écrire les commentaires allant avec les personnes concernées. Ces notes servirent au comité des fêtes du centenaire de la paroisse pour la conception du livre du "Centenaire de la paroisse de Maria 1860-1960."

Voici le "recueil de notes sur la paroisse de Maria."

 

Vous trouverez dans les liens suivants des photos de grand-père Clovis, de grand-mère Laura, de tante Angélique Audet, de François Guité et son épouse Rachel Ahier, ainsi que Maxime Audet et son épouse Lisette Bernard et  quelques autres de leurs parents, oncles, tantes et enfants. (Pour regarder les photos, cliquer sur les mots  en bleu ci-dessous.) 

Photos -page1-    

              page-2-

              page-3-

              page-4-

page-5-    

 

 

Grand-père Clovis et  grand-mère Laura

 

Les faits et gestes de notre grand-père Clovis furent relatés de plusieurs façons  et à plusieurs endroits depuis son décès en 1960. Je vais tenter de tous les arranger ici. (Le
mieux possible.) 

Voici ce que nous  savons de son histoire : Il était le deuxième fils (vivant) de Narcisse Bernard et Domitilde Audet. Il est né à la maison paternelle, (on pourrait aussi bien dire maternelle) située à environ 3 milles à l’ouest  du centre du village de Maria. De sa petite enfance, on (je) n’en sait rien.  

Vers l’âge de 10 ans, il devait aller suivre des cours de catéchisme, donnés par M. le
curé  à la sacristie de l’église située au centre du village.  

Sa bonne vieille tante Angélique, mariée à Bernard Loubert, n’ayant pas d’enfants et demeurant au village offrit à ses parents de l’héberger pendant la durée des cours.  

Il faut croire qu’il n’était pas un trop méchant garçon, puisqu’il demeura chez sa tante et
son oncle quand le "catéchisme" fut terminé. 

Il ne fut pas le seul neveu, ou nièce  hébergé par tante « Gélique ». On pense qu’ils le
furent tous quand le temps vint d’aller au « catéchisme » ou  le temps de la confirmation et autres rites par lesquels   les enfants devaient  passer dans ce temps-là.  

L’oncle Bernard et tante « Gélique » hébergeaient aussi les enfants des frères et sœurs
de Bernard, dont Sophie, la fille du capitaine André Loubert. Celle-ci, (Sophie) considérait Clovis comme son frère. Quand ils furent adultes, Sophie continua ses visites chez l’oncle Bernard Loubert, et quand arrivèrent les enfants de Laura et Clovis, ils furent considérés par celle-ci comme ses neveux-nièces, et elle venait souvent aider grand-maman aux travaux de
la maison. Comme elle était une excellente couturière, elle ne manquait pas d’ouvrage à ses visites.  

Je me rappelle de Sophie qui venait faire la couture à maman quand j’étais jeune. (Elle boitait un peu d’une jambe. Papa avait un coq qui s’était fait marcher sur le dos par un cheval
et qui boitait. J’avais alors 5-6 ans et j’avais dit à Sophie qu’elle marchait comme notre coq.) Pas trop poli le jeune!!! Hi Hi.  Bonne et vaillante Sophie. 

Grand-père continua d’aller à l’école au village tout en aidant aux travaux de  la ferme avec son oncle Bernard Loubert.  

Celui-ci mourut en juin 1893 âgé de 56 ans. Il semble que Clovis (âgé de 18 ans) continua
de s’occuper de la ferme et des biens de sa tante « Gélique » jusqu’au décès de celle-ci au mois d’avril 1916 âgée de 78 ans.

 

Continuons, voici ce que dit l’oncle Antoine dans « Notre Passé »

 

« Un premier mariage dans notre famille…Clovis, âgé de 28 ans, épousa Laura Guité,
24 ans, le 27 septembre 1904.

      Clovis avait quitté la maison paternelle vers l’âge de dix ans, en 1885, et avait toujours
vécu chez son oncle Bernard  Loubert et sa tante Angélique. L’oncle était mort, sans enfant,
et le bien restait naturellement au neveu qui l’avait cultivé depuis vingt ans.

Laura, fille de Joseph Guité (Jos.), tenait à l’ancêtre  Claude de la façon suivante, je crois; 1.-Claude, 2.- Joseph, 3.-François, 4.- Jos., 5.-Laura.—

Joseph Guité, fils de Claude, fut le père de Jean et François. 

Jean fut le père de Johnny, qui fut le père de Jos. Guité du Petit-Rang, père d’Edward.

François fut le père de John (Jean-François), Jos., Lévi, Isidore, Edward et Alphonse.

(N.B. Oncle Antoine les nomme comme les gens de Maria les appelaient,)

   

 

FAMILLE DE CLOVIS BERNARD :

 

MARIE-JOSÉPHINE GERMAINE, née le 5 septembre 1905, d. 11 juin 1909

JOSEPH-OSCAR, né le 24 février 1907, d. 6 juin 1909.

MARIE-ANGE LÉA, née le 31 décembre 1907, d. 7 juin 1909.

JEAN-MARIE, né le 10 mai 1909.

GERMAINE, née le 25 mars 1911.

LOUIS, né le 30 mai 1912, décédé au collège de Bathurst le 23 décembre 1928 de la     méningite.

MARIE-JEANNE, née le 26 août 1914, décédée à Maria le 14 février 1942.

ÉLISE, née le 24 février 1916. » 

Les trois plus vieux enfants sont tous décédés en même temps de la fièvre scarlatine. (Remarquer les dates) 

Comment  imaginer la peine de grand-père et grand-mère. Quel courage, et où l’ont-ils puisé pour pouvoir survivre pareille épreuve. Remarquons que Jean Marie venait de naître lors du décès de ses sœurs et frère. Il n’avait que un mois.  

Il faut dire qu’ils étaient de très bons chrétiens,  de vrais croyants  et mettaient en
pratique dans tous leurs gestes  les paroles du Seigneur que  prêchaient les  curés à
l’église. 

Il continua de besogner aux travaux de la ferme et de la « pêche à saumon » et de
s’occuper de différents organismes paroissiaux, tandis que grand-maman continuait
d’élever sa petite famille encore grandissante. 

Comme toutes les mères de cette période, les travaux ne manquaient pas autour de la maison, en plus de la préparation des repas, du lavage du linge, (à la main) elle s’occupait
de son jardin potager, de préparer la laine,   (produit de la tonte des moutons)  de la
démêler, de la filer et de tricoter les bas, mitaines, tuques et autres vêtements pour
eux-mêmes  et les enfants. 

Maman me disait que grand-maman chantait tout le temps, des fois elle chantonnait, mais
le plus souvent elle chantait tout en travaillant. Toutes sortes de chansons de son époque,
mais jamais de tristes. Sa préférée était probablement « Les Blés d’Or » Elle était toujours
de bonne humeur, ne se fâchait jamais, était d’une patience d’ange avec ses enfants et les autres qui venaient jouer avec eux. 

Elle était douée d’une mémoire hors de l’ordinaire, elle se rappelait de tout, les dates  des anniversaires, les dates des décès etc., de tous ses parents, grand-parents et cousins cousines, et même ceux de nombreux ancêtres ainsi que de nombreuses anecdotes les concernant.

 

Grand-père et grand-mère croyaient fermement en l’éducation des enfants. Ceux-ci
après avoir terminé les études primaires à la petite école du village, durent aller terminer
 leurs études en dehors. Les filles à Gaspé, Louis au Collège de Bathurst et J-M. suivit des cours d’un maître d’école, M. Bérubé, puis passa un an au Collège commercial de Saint-Raymond. 

Ils passaient une partie de leurs loisirs à la lecture des journaux (au moins 2) et de livres
 de toutes sortes. Ils jouaient aussi au « Bridge » à l’occasion. Il arrivait que M. le curé lui suggère un petit « Bridge » après les vêpres le dimanche après-midi. 

En plus grand-papa était un fin connaisseur et amateur de chevaux. Il possédait tout le
temps en plus de ses chevaux de trait, (de ferme) un cheval de vitesse qu’il utilisait pour tirer
le traîneau léger en hiver et le sulky en été.  

Maman se rappelle, dans sa jeunesse, qu’il avait un « grand » cheval blanc, il s’appelait « Poney » qui était un des « bons » du village, question de courir vite et d’être endurant.   

L’hiver, lorsque la mer était gelée assez pour les porter, les amateurs de chevaux organisaient des courses sur la neige de la baie glacée les dimanches après-midi. Ces occasions permettaient de voir et de juger de la « performance » des chevaux de chacun. Il parait que le « grand cheval blanc » à Clovis était assez difficile sinon impossible à devancer.  

 Les dimanches d’été, il ne manquait rarement  une course de chevaux qui se passaient
 à Nouvelle, et assez souvent à Bonaventure.

Il allait aussi voir l’Exposition de Québec au mois de septembre pour y admirer les plus beaux spécimens de la province. 

En vieillissant, à la fin de sa soixantaine,  il perdit graduellement l’usage de ses yeux, pour devenir complètement aveugle, ne pouvant plus lire ni se guider. C’était au début des années cinquante, et les médecins opéraient pour réparer et enlever les cataractes, mais ces opérations ne réussissaient  pas à toutes les fois. Il y avait encore des ratées. Il y avait dans la région quelques personnes dont l’opération n’avait pas réussie.  Alors, il hésitait…

Au bout de quelques années (4), voyant que les chances de réussite étaient meilleures, il se fit opérer. Ce  fut un succès.  

Lorsque rendu à la maison, les pansements enlevés, et qu’il eut la permission du médecin, il put enfin prendre un journal et le voir, et clairement, il le dévora de la première page jusqu’au dernier point de la dernière page… Et recommença. 

Quelle devait être sa joie d’avoir ainsi retrouvé la vue. Liberté!!!!!!

Quelqu’un a conté à maman avoir vu grand-papa et grand-maman, rendus à un âge
 assez avancé, qui prenaient une marche dans le champs en arrière de chez eux par une 
 belle soirée d’été en se tenant la main comme des amoureux de la première heure.  

Il y a une belle description des occupations de grand-père à la page 70  et 107 et 109 du
livre  souvenir « Le centenaire de la paroisse de Maria. 1860-1960 »

(Les photos sont un peu grosses, mais je ne peux faire autrement pour qu’elles soient
lisibles.)

 

Chorale 

 

Il avait une très belle voix et faisait partie de la chorale de Maria. Il y chantait à la grande
messe tous le dimanches, et souvent la semaine.  

À Noël, pour la messe de minuit c’est lui qui chantait le « Minuit Chrétien » et « Chantons la sagesse Éternelle ». C’étaient ses cantiques attitrés.  

Lors de soirées sociales et entre amis, lorsqu’on lui demandait de chanter une chanson, sa préférée était « Colinette » qu’il chantait très bien à ce qu’on m’a dit.

Tante Lili (Elise) en a trouvé les mots (quelques uns) ainsi que la musique. (C’était une opérette du temps du début du pays.) 

Même s’il demeurait chez son oncle depuis son enfance, grand-père revoyait ses parents régulièrement. Il les revoyait tous les dimanches à l’église, mais en plus profitait de toutes
les occasions, surtout les jours de fête,  pour aller chez-lui les visiter ainsi que ses frères et sœurs. Ainsi ces visites devinrent vite un rituel inchangeable.

Lorsqu’il fut marié et que les enfants naquirent, ces visites continuèrent avec sa femme et
ses enfants. 

La plus importante, celle qu’il ne fallait jamais oh! grand jamais manquer était le grand
réveillon du Jour de l’An où toute la famille était réunie,ses grands-parents, père et mère,
frères et sœurs, leurs maris, femmes, neveux et nièces.  

Quand ses parents devinrent vieux, c’est Alphonse son frère et son épouse Emma, qui
prirent  la relève et continuèrent de recevoir toute la parenté en ces mêmes occasions. 

Lors de ces rencontres, tout le monde chantait. Les aînés y allaient de leurs    chansons préférées, et encourageaient fortement les plus jeunes d’y aller et de participer, tous accompagnés à l’harmonium de la maison.  

Il y avait beaucoup de rires et d’amour dans cette famille. 

Il en vint que la progéniture se multiplia et qu’on les organisa en une petite  chorale
pour les faire chanter ensemble. 

Ces petites chorales furent probablement le prélude de la formation de la si magnifique
et remarquée chorale formée par les enfants de Donat, fils de Alphonse. .

 

 

Pêche à saumon

 

Grand-père Clovis avait une pêche à saumon qu’il tendait dans la mer, presqu’en face de
chez lui. Pour accomplir ces durs travaux, il était aidé par Louis Henry, un voisin et grand ami.
Ainsi lorsque la saison de pêche était terminée, il recevait l’argent de la vente des saumons
et pouvait payer le salaire de son compagnon. 

Comme il était situé à un endroit où il semble que cette pêche pouvait nuire à la remontée
des saumons durant la saison de la pêche sportive des  Américains sur la rivière
Cascapédia,ceux-ci en vinrent à une entente avec quelques pêcheurs dans la même situation,
et les payaient pour qu’ils ne pêchent  pas.

Cette entente aurait été négociée par John Hall Kelly alors qu’il était député (1904-1914). 

Ainsi à tous les ans grand-père recevait un chèque ($300.00 que m’a dit Charles Porlier)
des Américains, et malgré qu’il n’utilisait plus les services de celui-ci, il continuait de donner
à  Louis Henry sa part des bénéfices de la pêche à saumon.
 

Secrétaire municipal 

Durant les années de la grande crise économique, il travaillait comme gérant de la Caisse
de Maria, et comme secrétaire municipal depuis plusieurs années. Ces fonctions lui
permirent de voir et de  vivre les cas de misère et de pauvreté extrême de plusieurs de ses
concitoyens.

 

Il arriva à quelques occasions où il descendit à ses frais à New-Carlisle, chef-lieu du
comté, pour y    payer les taxes  passées dues et ainsi racheter les propriétés de pauvres
malheureux incapables de  les payer et qui risquaient  ainsi de perdre le peu qu’il leur
 restait.

En agissant de cette façon, il leur donnait un répit en attendant des jours meilleurs, et 
ceux-ci pouvaient  continuer à gagner leur vie, tout en gardant leur propriété. 

Il a ainsi attendu quelques années avant que ces gens puissent lui rembourser ces sommes,
sans demander un sous d’intérêt.
 

Ce qui ne manqua pas de frustrer quelques spéculateurs, qui le critiquèrent très fortement en
  tentant de trouver des manquements dans son travail de gérant de Caisse et de secrétaire
municipal. Le tout sans succès. 

Il fit plusieurs voyages à New-Carlisle pour aider des gens, plus ou moins instruits, à obtenir
les  titres de leurs propriétés, comme secrétaire municipal.

Il y avait dans ce temps une exception pour les paroisses où il n’y avait pas de notaire, que
 les secrétaires municipaux, (pas tous) pouvaient agir comme  notaire et préparer et faire
 enregistrer les procès-verbaux des transactions.
  

               

Pour lire le restant de l’histoire des familles Bernard, Audet et autres, je vous réfère
maintenant aux écrits de l’oncle Antoine.  

Il y aura moins de redondance tout en vous donnant le choix  d’y lire ce que vous voudrez.     
(et peut-être continuer à lire « Notre Passé »)

Donc, voici  une description très sommaire des paragraphes du récit de l’oncle Antoine
qui concernent particulièrement ses parents, frères, sœurs, neveux et nièces.

De la page 1 jusqu’aux pages 19-20 il y a l’histoire et  la généalogie des Bernard et des
 Audet entrecoupées de quelques anecdotes concernant la région de Maria, Carleton et
 les Acadiens.  De 1665 jusqu’en 1875 

Pages 8 : L’histoire des Loubert et Guité.  (1 page)

 Page 21 en 1890 : Le 14 avril, naissance de l’auteur. (7 lignes)

Pages 21 à 26 : L’histoire du chemin de fer de la Baie des Chaleurs et du gouvernement
Mercier.     De 1876 jusqu’en 1891. 

Les 6 lignes suivantes se suivent dans Notre passé. (4 pages)

Page 26 en 1893 : Description de l’hôtel Giroux.  

Pages 26-27 en 1895 : Son frère aîné, Edmond, s’éloigne de la maison familiale.  

Page 27 en 1897 : Son école, l’institutrice.  

Page 28 en 1898 : La mort de sa grand-mère et de son grand-père Audet. 

Page 28-29 en 1899 : La baleine, magasin T.B. Clapperton. (cliquer lien ci-haut)

Pages 29 en 1900 : Première communion et catéchisme chez tante « Gélique » 

 

Les 4 lignes de l'index ci-dessous, Décès, Travail, Réparation, Noces se suivent tous dans
Notre Passé. (1 1/2 pages)

 Page 29-30 en 1902 : Décès de sa grand-mère paternelle. (Henriette Loubert)  

Page 30 en 1903 : Travail avec son père aux champs. 

Page 30-31en 1904 : Réparation de la maison et voyage à Montréal.  

Page 34-35 en 1906 : Noces d’Alphonse et de Phil Porlier et familles. 

 

Les 3 lignes de l'index ,Caisse, Noces d'Isidore et Noces de Francis se suivent dans
Notre Passé. (2 pages)

Page 36 en 1908 : Caisse populaire. 

Page 36-37 en 1909 : Noces d’Isidore et son voyage dans l’ouest. 

Page 36-37 en 1909 : Noces de Francis et vieille maison, 

 

Naissance de Germaine et Première auto se suivent dans Notre Passé.(3 pages)

Page 40 en 1911 : Naissance de Germaine 

Page 40 en 1911 : Première auto à Maria. Paroles de tante « Gélique. » 

 

Les 3 lignes suivant le lien ci-dessous, En août, Anna et Noces de Brigitte se suivent dans
Notre Passé. (2 pages)

Page 43 en 1914 : En août, noces d’Anna et Emile et leur famille. 

Page 28 en 1914 : Anna et famille.  (Suite) 

Page 43-44 en 1914 : Noces de Brigitte et sa famille. 

 

Page 47 en 1917 : Maria-Montréal, Ida Fugère et autres se rencontrent en ville. Edmond
à Maria. (2 paragraphes)

 

Page 49 en 1919 : Fin juin, vacances chez Clovis. Voyage en auto. 

 

Page 51 en 1919 : Juillet, photo de famille dans le p’tit rang. (6 lignes.)

 

Page 52 en 1920 : Noces d’or du Curé Gagné en septembre et fête familiale.(3 paragraphes)

 

Page 53 en 1922 : Le 17 juillet, Noces d’or des parents.(3 paragraphes)

                en 1924: lettres de maman et Germaine. (3 lignes)

Page 69 en 1925 : Papa malade, retour d’Europe.  (3 lignes)

 

Les 2 lignes suivantes, Décès et Noces, se suivent dans Notre Passé

Page 70 en 1928 : Décès de Louis en décembre. (2 lignes)

Page 71 en 1929 : Noces Corine et Armand Thibodeau.(3 paragraphes)

 

Les 3 lignes suivantes se suivent dans Notre Passé. (3 pages)

Page 71 en 1931 : À Gaspé au couvent, rencontre Jeanne. 

Page 72 en 1933 : En mars déménagé vieille maison et rimettes sur la maison. 

Page 73 en 1933 : À Montréal, Jeanne, J-M.et Amélia. Élise au Carmel en octobre. 

 

Les 2 lignes suivantes se suivent dans le texte.

Page 73 en 1934 : En avril, décès de Bernard Bugeaud. (6 lignes)

          5 mai 1934: La famille à Mtl. vêture d'Elise. (5 lignes)

 

Page 75 en 1935 : Élise quitte le Carmel en mars. (6 lignes) 

Page 75 en 1935 : Le 20 mai, arrivée de Graciette. Début août Élise à Gaspé. (6 lignes)

Page 79 en 1936 : Le 17 oct, noces Fred et Germaine le 21 oct arrivée Mtl.(2 paragraphes)  

Page 80 en 1937 : 25 avril, Jeanne et Amélia à Montréal. (1 ligne) 

Page 81-82 en 1937 : Le 31 octobre, décès de sa mère et poèmes à ses parents.(3paragr)

Page 82 en 1937 : Funérailles de sa mère,  Nöel.  (4 lignes) 

Page 86 en 1939 : Naissance de Suzanne,Béatrice à l'hôpital.(7 lignes.)

Page 86 en 1939: Fred à Montréal. (2 lignes)

Page 87 en 1939 : Jeanne malade début.20 juin,27 juillet.(1 para.le 20 et un gros para.le 27)

 

Les 2 lignes suivantes: Jeanne, Fred, se suivent dans le texte.

Page 91 en 1940 : Jeanne au San. 23 juin. 

Page 91 en  1940 : Fred sur la montagne le 21 juillet. Le vieux Ford avait manqué de freins. 

 

Les 2 lignes suivantes sont dans la même page dans le texte de Notre Passé.

Page 91 en 1940 : En août, Clémence et Marthe entrent en chez les Ursulines.(2 lignes) 

Page 92 en 1940 : Noces de Phil Porlier. (2 lignes)

 

Page 94 en 1941 : Fred à Montréal le 28 janvier. et  un petit peu plus loin,
                                 et Jeanne à Cartierville. (8 lignes)

 

Page 94 en 1941 : Avril à Juin 1941, Jeanne malade. (2 lignes)

Page 97 en 1941: En juillet, naissance des jumelles à Germaine. (6 lignes)

Page 100 en 1942 : Jeanne décès. Samedi 14 février. (1 paragraphe et acrostiche)

Page 101 en 1942 : Chez Clovis, chambre de Jeanne. (3 lignes)

 

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