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«Cercle Bolivarien Luxembourg-Venezuela»


Avec l'avènement du mouvement bolivarien dans les années 1990 est né une nouvelle dynamique politique au Venezuela. En regagnant la souvernaineté sur la richesse petrolière, en réformant d'une manière radicalement démocratique les institutions, et en débutant un programme social conséquent pour la majorité de la population forcée à vivre dans la misère, le président Chavez a indiqué clairement la route à suivre.


Plébiscité depuis 1998 dans une douzaine d'élections et de référendums, Chavez s'est maintenu vis-à-vis d'une droite bourgeoise offensive et a continué à développer son programme politique.


C'est ce qui a fait de lui une référence pour les peuples de l'Amérique latine. En Bolivie et en Ecuador on se met en route sur une voie semblable.


Venezuela a créé contre le traité de libre échange proposé par les USA une coopération économique des Américains du Sud: ALBA.


A l'inverse des tendances néolibérales à la privatisation prenant partout ailleurs le dessus, Chavez a nationalisé le secteur de l'énergie et de la télécommunication.


Pendant que le pays voisin, la Colombie, privatisait les universités, au Venezuela furent crées des universités du peuple et des programmes de formation populaire: cette année-ci le pays a été déclaré libre d'analphabétisme pour la première fois par l'UNESCO.


Pendant que le gouvernement Bush essaye de nuire par des sanctions dans le domaine technologique au développement du Venezuela, Chavez soutient les pauvres aux USA par du mazout à prix réduit.


Alors que les USA s'enlisent en Iraq et en Afgahnistan dans des guerres sans fin, qu'elles ne peuvent plus gagner militairement, le continant américain voit naître un exemple de développement juste et solidaire dans la paix et le respect mutuel.


La révolution bolivarienne est l'exemple vivant qu'une alternative vis-à-vis de l'hégémonie néolibérale est possible. Ce procès est une occasion unique pour l'émancipation des peuples de l'Amérique latine et présente au-delà une perspective inouïe d'une alternative globale pour toute l'humanité.


Notre association a pour but de soutenir politiquement la révolution bolivarienne en informant correctement en toute indépendance et d'agir solidairement le cas échéant.

Cette lutte mérite notre soutien et notre engagement. Voilà pourquoi nous en appelons à la solicarité des progressistes du Luxembourg:


Aidez-nous à construire le «Cercle bolivarien Luxembourg-Venezuela»

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en tant que cotisant de soutien qu moins 25 €


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L'avant-projet de réforme constitutionelle
concerne 33 des 350 articles de la constitution du Venezuela.

Face aux interprétations erronées,
informez vous
ici sur les propositions nouvelles et sur la procédure qui est engagée.

Informez-vous ici sur les 5 moteurs de la nouvelle étape de la révolution bolivarienne et ici sur l'Alternative Bolivarienne pour l'Amérique (ALBA) !

Stop à l'hystérie !


Depuis que le Président du Venezuela a annoncé que son gouvernement ne renouvellerait pas la licence de la chaîne de télévision RCTV une campagne hystérique accuse Hugo Chavez de s’en prendre à la liberté d’expression dans le but de «museler l’opposition».


L'association «Cercle Bolivarien Luxembourg-Venezuela» tient à préciser que Hugo Chavez n’a pas fermé RCTV qui continue d'émettre. RCTV avait l’autorisation de diffuser ses programmes par le biais de fréquences TV qui sont propriété publique, cette autorisation n'a pas été prolongée et depuis le 28 mai 2007 une nouvelle chaîne publique TVes émet sur ces fréquences.


Il faut se rappeler que RCTV était directement et ouvertement impliquée dans le coup d’Etat du 11 avril 2002 contre le gouvernement démocratiquement élu d’Hugo Chavez. Nous nous permettons la question, quel Etat de l'Union Européene tolèrerait qu’une chaîne de télévision ayant ouvertement soutenu un coup d’Etat poursuive son activité au lendemain de l’échec du coup ? Dans quel autre pays le propriétaire de la chaîne ne serait pas poursuivi par la justice pour son implication dans le coup d’Etat ? Ni RCTV ni son proprétaire Marcel Granier ont été poursuivis, mais la chaîne n’a pas cessé de se livrer à la propagande la plus outrancière à l’encontre de Chavez – y compris en le qualifiant de «fou» et en soutenant des appels à son assassinat. Elle a systématiquement appelé à son renversement par la force.


En plus RCTV n'est pas la seule chaîne privée au Venezuela. D’après un rapport de juin 2006, la vaste majorité des grands médias vénézuéliens (Chaînes TV, stations de radio et journaux) sont entre les mains de propriétaires privés. En ce qui concerne la télévision, 90% du marché est contrôlé par quatre compagnies : RCTV, Globovision, Televen et Venevision. Le propriétaire de RCTV, Marcel Granier, possède également 40 chaînes de télévisions locales à travers le pays. 79 des 81 chaînes de télévisions sont privées, maintenant ce sont 79 de 82. La situation est sensiblement la même en ce qui concerne les autres médias : 706 des 709 radios et tous les journaux sont privés.


Voilà la réalité. Regardons-là en face!

Linklist de sites internet en français

www.pastoucheauvenezuela.be

www.lariposte.com/-pas-touche-au-venezuela-84-.html

Cercle bolivarien de Paris : http://cbparis.free.fr/

Cercle bolivarien de Toulouse: http://cercle-venezuela.blogspot.com

www.vive-fr.org/vive/

Petit avis pour l'aimable justice : nous déclinons toute responsabilité pour le contenu de sites étrangers sur la linklist, étant donné que nous n'avons aucune influence sur ce contenu.



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