R�ve 4...
post� le 22-3-2003 � 02:45 PM Un r�ve � raconter...
Bonjour tout le monde,
Encore une fois durant le gros de la crise, mon corps s'est crisp� de sa mo�lle et puis soudain...pffft! je le vois comme l'oiseau mais cette fois-ci, je me vois les yeux ouvert...la panique s'empare de moi car je me dis...suis-je mort?
Je tente de m'approcher mais je ressens une r�pulsion venant de ma personne comme s'il me disait vas t'en...mais je le vois respirer...je me sens mieux.
J'entends quelqu'un qui m'appelle et je crois reconna�tre sa voix...je me retourne et je me trouve en face de Saturne...je flotte sur son anneau...mais l�, j'ai eu une envie soudaine de parcourir cet bel anneau...l'enfant me treissaille...soudain je vois l'anneau devenir une glace lisse et transparante et l� l'enfant s'est mis � patiner...j'entends Saturne rire et �tre dans la joie de me voir glisser sur ses anneaux...
-Buzzz?!..., mon grand b�b�...vibre �a va te faire du bien...
Tout en patinant sans patin sur cette belle glace, j'acc�l�re la cadence...je glisse comme Guy Lafleur...comme Bobby Orr...comme Wayne Grestsky...comme Ga�tan Boucher...oui oui comme lui dans ce grand cercle glac�...je vois un trait de lumi�re � la vitesse que je patine.
-Oui mon Buzzz?!..., vas-y amuses-toi un bon coup.
Mais l�, je me dis que c'est bien beau tout �a, mais pourquoi je suis ici � faire l'enfant me laisse perplexe...
-Voyons Buzzz?!..., qu'est-ce qui te tracasse?
Je suis s�rement ici pour que tu me donnes la raison et de comprendre.
Je vois appara�tre son visage...c'est mon �pouse...mais l�...pourquoi je l'a voit...je me mets en col�re et furieux d'�tre l�...
Tu vois ce que tu me fais depuis le d�but...tu essaies que je sois dans mon meilleur �l�ment soit d'�tre heureux comme un gamin et de prendre la vie comme je l'entends mais toi tu es l� que pour le mirage car tu n'es m�me pas vrai...
Ses yeux s'obscurcissent et deviennent mena�ants...je ressens la glace se fendiller sous mes pieds...je cesse de patiner et l� je suis dans tous mes �tats de la col�re.
Tu vois, tu n'es pas capable de me comprendre et que tu agis avec ta violence de p'tite fille � m�man qui veut que moi comme un objet et que l'on te retire...
-Cesses de me faire du mal avec ta violence verbale...tu n'es qu'un minable pauvre p'tite cr�ature...un seul mot et tu est lav� ben raide...tu n'auras plus rien...tu seras qu'un rien que rien...
Pourquoi m'as-tu appel�...pour me dire encore que des sottises...pour que je sois encore plus m�l� dans mes sentiments...c� quoi ton estie de probl�me?...
-Tu te dis sans tache et tu pues...
La glace c�de et je tombe...je me sens dans l'eau froide et je me d�bats pour essayer de sortir de l'eau...� chaque fois que j'essaie de m'appuyer sur le rebord de la glace, celle-ci se brise et je replonge � chaque fois...moi qui a horreur de l'eau surtout dans un endroit que je connais pas...je ne vais jamais me baign� dans un lac...me voil� rendu que je suis dans une eau glac� de surcro�t...je r�ussis de m'agripper sur le rebord mais trop fatigu� pour me hisser en-dehors...je vois Saturne rire...
-Une p'tite douche d'eau froide avec �a te ferais le plus grand bien je pense...
Oublies la douche j'en ai eu plein mon truck de cette eau froide...tu le sais que j'ha�e l'eau froide clisse.
-Heille le comique, je le sais bien que tu reluques ailleurs, prends-moi pas pour une cave...
Mon Dieu que tu peux �tre stupide...tu le vois bien qu'il n'y a plus rien � faire...tu empoisonnes mon existence et que je ne peux rien y faire...je te connais bien trop...
-Tu sais ce qu'il t'attend...
En disant ces mots, je replonge dans l'eau...je vois Jupiter mais je le vois embrouill� comme si j'�tais vraiment sous l'eau...je nage pour le rejoindre mais il me parrait tr�s loin dans le fond comme d'un lac...je ne suis pas bon nageur au-dessus mais je suis champion dans la plonger sous l'eau...j'ai un tr�s bon retient de mon souffle.
J'entends crier Saturne pour que je revienne mais je m'enfonce de plus en plus et mon souffle commence � me br�ler l'int�rieur...je n'ai plus d'issue que je me dis...je m'enfonce davantage car je me dis...j'aime mieux mourir noy� que de revenir...je me r�veille.
Je sais ce que vous m'allez me dire...mais.