| Le président Aeschiber joue à Civilization. |
C'est lors d'un de ses très rares moments de délassement entre deux scéances d'innovation bio-inspirée et de positionnement stratégique que le président Aeschiber a découvert le jeu Civilization. "C'est incroyable", nous a-t-il confié, "dans ce jeu, il m'a été possible de fonder une civilisation et d'en orienter le progrès technologique depuis la plus haute antiquité jusqu'à l'an 2000 ; quelle leçon pour la conduite de l'innovation et la stratégie entrepreuneuriale de la technologie mondialisée !".
Fort de son pôle d'excellence, le président s'est amusé à guider le progrès de sa civilisation, la faisant parvenir à l'ingénierie bio-génétique sans passer par le développement de la construction de ponts : "C'est très amusant", s'est-il esclaffé, "figurez-vous une civilisation de biologistes menant des recherches bio-inspirées, mais qui seraient démunis devant la construction d'une arche ! Ils ne sauraient probablement pas comment la faire tenir debout et renonceraient sans penser à construire des piliers..." .
Le président a consacré le reste de la journée au projet du Learning Cheese, qui comporte quelques points techniques obscures encore à étudier.
|
|
|
DECES DU PRESIDENT VIZOT: L'EPFS EN DEUIL
C'est avec une profonde tristesse que l'EPFS et son président Aeschiber ont appris la mort de l'ancien président Bertrand Vizot. L'engagement de Bertrand Vizot a eu un rôle décisif dans le développement de l'EPFS vers son actuel statut de pôle d'excellence. C'est notamment sous son impulsion que l'EPFS s'est largment ouverte au monde de l'industrie et de l'économie pour accéder à un statut international. C'est aussi en grande partie sous son égide que l'innovation a pris la place prépondérante qu'elle occupe aujourd'hui à l'EPFS. C'est aussi sans compter son élan, qui a permis à la création et à la diversité de l'information de prendre la place à l'accession qu'elle décisionne aujourd'hui. Bertrand Vizot aura joué un rôle déterminant dans l'ouverture à la stratégie et au positionnement des milieux.
Mais au-delà des actions concrètes, c'est l'ensemble de l'oeuvre de Bertrand Vizot qu'il convient de retracer et de saluer : en effet, Bertrand Vizot aura été le précurseur de la politique actuelle de l'école, politique qui assure à notre pôle d'excellence un rôle prépondérant dans la mondialisation du savoir du jour d'aujourd'hui. C'est en effet grâce à l'impuslion de Bertrand Vizot qu'a commencé la construction du campus, qui trouve son acmée dans le Learning Cheese. C'est aussi Bertrand Vizot qui a ouvert l'EPFS aux milieux économiques pour de soutien à l'esprit d'innovation et au transfert de technologie, stratégie innovante d'innovation qui trouve sa quintescence dans le programme de financement Learning Cheese, Industry and Innovative ressource management : a New Kind of Mendicity.
C'est la marche triomphante vers la politique actuelle de l'école que nous pouvons saluer avec émotion en nous souvenant de Bertrand Vizot. "C'est grâce à l'innovation, à l'esprit d'entreprise et à l'énergie de positionnement stratégique de la politique de l'école que nous sommes à même de nous mettre à l'échelle pour entrer dans l'ère de la diversité numérique et de l'innovation mondialisée d'aujourd'hui, grâce à la bio-inspiration du président Aeschiber", aurait sans doute déclaré Bertrand Vizot s'il avait vécu. "Je suis convaincu par le rayonnement technologique que le positionnement dans le monde d'aujourd'hui ancre dans la mondialisation technologique de l'aventure humaine, et la bio-inspiration du transfert". Il ne fait aucun doute que Bertrand Vizot, qui avait été professeur de mécanique générale, de génie atomique et de physique du solide, aurait approuvé avec force la restructuration de l'école et le siphonnage des crédits vers la construction du Learning Cheese et la constitution du poule de bio-machins-trucs : "Toute mon action pour renforcer les section d'inginérie visait à ce qu'un successeur inspiré ait quelque chose à saccager bruyamment pour imposer sa Vision avec d'autant plus d'éclat", a pratiquement dit le Précurseur encore de son vivant. Fier de son successeur, il est probable que Bertrand Vizot aurait pousuivi : "Je vous demande d'apporter tout votre soutien à la politique du président Aeschiber : c'est par de la concrétisation d'énergies innovantes dans des créations comme le Learning Cheese que s'incarne l'esprit de progrès que j'ai toujours voulu insufler à notre école".
La disparition du professeur Vizot n'est pas seulement un moment de douleur, et une opportunité d'apprécier le travail accompli par notre président Aeschiber bien-aimé : c'est aussi l'ouverture de nouveaux défis technologiques pour la bio-inspiration du paul d'excellence. En effet, les limitations actuelles de la bio-inspiration du vivant (la mort) imposent une planification à long terme des mesures destinées à maintenir à durablement le poule d'ex-sélance en dépassant les bio-déficiences des ressources humaines. C'est pourquoi la Direction a annoncé une conférence de presse qui ouvrira un concours d'architectes pour l'élaboration d'un nouveau projet innovateur, le Lying center. Il s'agira d'un tout nouveau concept de bâtiment cutting edge qui permettra au rayonnement d'un président mort de perdurer après sa mort, et de veiller à l'essort scientifique et industriel de l'excellence. Une dynamique équipe d'architectes égyptiens s'est d'hors et déjà inscrite, avec un projet harmonisé avec le Learning Cheese, puisque son design est bio-inspiré de la forme d'un Pouligny Saint-Pierre.
|
|
JE N'Y CONNAISSAIS RIEN, MAIS J'AI TOUT DE SUITE DIT OUI
C'est avec ces paroles de sagesse que le Président Aeschiber a décrit sa réaction lorsque le patron de Alangui, le célèbre voilier vainqueur de la coupe de l'America (l'Amérique, terre de toute culture et de toute civilisation).
Alangui était donc à l'honneur, avec une réception chaleureuse et toute simple pour la presse. On pouvait y admirer le voilier Alangui, élégamment échoué comme une baleine morte sur un camion, et rasé comme un ponton, son mât démonté. Pour rappeler le parfum du large, la mer, et l'emprise de titan sur les navires, Alangui était adossé à des poteaux rouillés symbolisant l'Amocco Cadix, l'Erika, l'Exxon Valdez et le Prestige.
Le rôle du président est de mettre en valeur l'image de notre Ecole, et comme l'école est trop grande à photographier, il le fait en se mettant devant les médias. Sautillant pour s'interposer entre les caméras et l'équipage de Alangui, notre Président bien-aimé a donné la mesure de sa gestion du paule des kséllances en nous détaillant le processus de décision stratégique entrepreuneuriale qui a présidé à la prise de décision du partenariat décisionnel avec Alangui : "Je n'y connaissais rien, mais j'ai tout de suite dit oui". Les amateurs auront tout de suite reconnu là le processus décisionel qui a fait débuter le projet du Learning Cheese, et la mise en place du polle des Bio-Trucs.
"Le partenariat avec Alangui permet à notre polle d'excellence technologique d'exprimer son excellente excellence", a déclaré le Président Aeschiber; "C'est grâce à des projets comme Alangui, ou le Spermatocoptère de Bertrand Poseur (tiens, qu'est-ce qu'il devient, celui-là ?), que notre Ecole peut faire connaître son excellence au monde manageuriââââl et d'affirmer comme un pôle d'exc... ah non, ça j'ai déjà dit". C'est, en effet, en proposant à quelques riches investisseurs des mètres carrés de surface d'affichage publicitaire que l'on fait avancer les sciences de l'ingénieur. En comparaison, un projet datant d'avant l'arrivée de notre Grand Timonieur Manageurial, le robot démineur Pemex, ne permettaient que de sauver les jambes de sales gosses de pays arriérés, ou au mieux quelques vies, tout ça avec de la robotique même pas bio-inspirée.
Le projet Alangui est un projet innovant de la nouvelle stratégie marketo-entrepreuneuriale bio-inspirée de l'EPFL, faisant appel aux nouvelles technologies du pôle d'excellence de l'innovation bio-technologique. C'est aussi une réalisation de la section d'ingénierie mécanique et de la section de mathématiques, mais moins.
|
